⛔
Je me réveillai lentement, me sentant entravé.
Je fronçai le front et ouvrit difficilement les yeux.
Une lumière assez violente m'éblouissait. Je posai alors ma main gauche sur mes yeux, tentant de les protéger de ces quelques rayons de soleil qui avaient réussis à passer la barrière du rideau.
Je me mis à bailler et mon regard se promena sur mon corps où je constatai un bras et une jambe comme un étau, emprisonnant mon corps.
D'abord surpris, j'exquissai ensuite un sourire en me tournant vers leur propriétaire.
Mon cœur se gonfla de bonheur et je ne pus m'empêcher de poser mes lèvres sur celles en forme de cœur, en face de moi.
Leur propriétaire gémit un peu puis me serra plus contre lui avant de mouvoir à son tour des lèvres.
D'un baiser tendre, il se transforma en un plus langoureux et sensuel.
J'entourai alors son cou de mes bras, tirant sur ses cheveux pour approfondir notre baiser et soupirai de béatitude lorsque nos langues se joignirent enfin pour une danse endiablée.Nous finîmes par nous détacher à bout de souffle, les cœurs battant, essayant de retrouver une respiration plus calme... mais c'était peine perdue.
Je sentis sa virilité tendue tout contre moi, ce qui me grisa encore plus.
Plus émoustillé que jamais, toute gêne ou timidité aux oubliettes, et je m'emparai de ce membre gorgé de sang et commençai des mouvements lascifs de mes doigts
Mon amant soupirait, les yeux fermés sous les plaisirs ressentis.
Je jubilais face à l'effet que je lui faisais.
J'étais le maître du jeu et j'adorais ça.Alors, je me redressai et posai mes lèvres dans son cou, mordillant légèrement sa peau, puis je l'embrassai à pleine bouche, ma main jouant toujours avec son bas-ventre.
Je délaissai ses lèvres pour ses boutons de chair et il gémit de plus bel.
Lorsqu'il voulut me toucher à son tour, je lui fis comprendre que c'était moi le seul meneur cette fois. Il se laissa faire et retomba sa tête sur l'oreiller.Ma main toujours en mouvement sur son anatomie, je descendis mes lèvres sur son torse, son ventre, les parcourant de myriades de baisers papillon.
J'arrivai alors sur sa cuisse gauche et remontai lentement vers l'intérieur.
Je le sentis se tendre entre mes doigts, sa respiration devint plus rapide.
Je souris face à sa réaction et restai un instant à admirer son visage se tordre de plaisir.
Il rouvrit les yeux, me questionnant du regard. J'avais stoppé les mouvements de ma main.
Mon sourire s'élargit pour un plus vicelard et sans qu'il ne s'y attende, je remplaçai ma main par ma bouche.Il cessa de respirer.
J'enclanchai alors les mouvements de ma bouche, ma main et ma langue à la rescousse.
Je l'entendais soupirer de plaisir, une main sur la bouche pour couvrir ses cris et l'autre enfoncé dans mes cheveux, les tirant pour tenter de rythmer la cadence que je lui imposais d'une torture jouissive.
Je m'arrêtai alors et le regardai les yeux pleins d'envie et de luxure...." Laisse toi aller... Je veux t'entendre. Je veux entendre ta voix... Je veux t'entendre crier mon nom, mon amour..." , lui sussurai-je suavement.
Il gémit plus au son de ma voix, son membre frétilla entre mes doigts me faisant moi-même frissonner et soupirer d'excitation.
Puis, il s'exécuta et enleva sa main de sa bouche.
Je continuai alors mon massage buccal, frémissant de béatitude lorsque mon nom franchi ses lèvres dans ses légers cris de plaisir.
Ses soupirs mélangés à ses mots d'amour me comblaient et mon adrénaline ne fit qu'augmenter ainsi que la vitesse de mes mouvements.
Quand je le sentis presque au bord de l'explosion, je m'arrêtai.
Puis je me levai et me mis au-dessus de lui, les jambes de part et d'autre de son corps et les mains près de sa tête.
On resta quelques secondes les yeux dans ceux de l'autre, brillants, haletants et, au moment où j'allais l'embrasser à nouveau, je sentis un doigt s'insinuer en moi, puis d'autres. Je criai de surprise et de plaisir et posai mon front sur son épaule, tremblant sous les sensations exquises que me procuraient ses phalanges qui se mouvaient en moi.
Je lui intimai ensuite de les sortir puis je me positionnai à nouveau au-dessus de lui puis m'ampalai sur son membre dressé.Nous gémîmes de concert lorsque nous fîmes enfin plus qu'un.
Je restais un instant ainsi, savourant à nouveau ce bonheur d'être plein de lui dans tous les sens du terme.
Au bout d'un moment, n'en pouvant plus d'attendre, il grogna et entama un mouvement.
Alors, à mon tour, je me mis à me mouvoir, prenant le commandement.
Je m'amusais et prenais plaisir à le voir en plein extase sous mes mouvements tantôt lascifs tantôt rapides.
Sans gêne, nous hurlions notre plaisir, exacerbant notre excitation.Je sentais au fur et à mesure cette tempête déchaînée qui m'entraînait vers le fond. Ma respiration se coupa, je m'accrochais à lui pour ne pas me noyer, je sentis que lui aussi car il s'accrochait à moi, enfonçant ses ongles sur les paumes de mes fesses qui se martelaient violemment en rythme sur lui.
Puis, le trou noir.
J'hurlai, jouissant d'une béatitude extrême, il me suivit quelques secondes après puis je m'affalai sur son torse mes forces m'ayant lâchées.Je restai encore un instant ainsi, il m'entoura de ses bras et posa tendrement ses lèvres sur mon front.
" Putain Jin ! Tu es définitivement un délice sans fin... murmura-t-il, essoufflé.
- Toi aussi...
- Hum... Je t'aime... Je t'aime tellement... souffla-t-il avant de m'embrasser à nouveau tendrement sur les lèvres.
- Moi aussi...
- C'était un réveil extraordinaire. Le meilleur que je n'ai jamais eu.
- Hm... J'espère pouvoir encore te réveiller ainsi de temps en temps.
- Il nous reste encore toute la vie devant nous...", me sourit-il avant de me serrer plus contre lui.
Nous passâmes les deux jours suivants, dans notre cocon, dans notre bulle, dans cette auberge de montagne à nous aimer de toutes nos forces comme s'il n'y avait pas de lendemain.
Mais la réalité nous rattrapa bien vite.
Bien qu'ayant prévenu Jimin pour qu'il ne s'inquiète pas, il fallait bien s'occuper du reste.J'avais dû m'excuser pour l'annulation de mon stage en France, reprendre mon boulot, ce qui s'était avéré relativement simple vu que j'étais le chef et propriétaire de mon propre restaurant.
Le plus difficile fut pour Hoseok.
Il avait pris la décision de quitter Sana.
Et c'est en larme qu'il était venu ce soir-là à mon appartement.
Je ne lui en voulais pas, c'était normal qu'il pleure, qu'il souffre - ils avaient été ensembles près de deux ans - même si mon cœur se brisait à chacune de ses larmes versées.Le plus délicat, se fut de revoir Namjoon...
Les regards tristes et emplis de douleur qu'il posait sur nous, sur moi.
Alors nous ne montrions aucun signe d'affection devant lui.
Et nous comprîmes après que c'était cette attention que nous avions pour lui qui accentuait sa souffrance.
Bien qu'au départ je me sentais mal et désolé, j'avais fini par accepter, par accepter la situation, par m'accepter... et par ne plus m'en vouloir d'être amoureux, d'aimer de toutes mes forces......
Je suis Kim Seokjin, j'ai des défauts mais aussi des qualités.
J'ai commis des tas d'erreurs dans ma vie mais elles font aussi parties de moi.
J'en ferai sûrement d'autres mais cela ne m'empêchera pas d'avancer, d'oser, d'aimer.Oui, enfin, je vais de l'avant.
J'ai décidé de vivre pour moi, de m'aimer. Enfin...Je regardai un moment mon reflet dans le miroir et réajustai mon costume en souriant.
On m'appela et je répondis en me dirigeant, heureux enfin, vers mon avenir.
Il me paraissait radieux car il était là.Je me ruai alors vers lui, vers celui qui m'aimait et m'aidait à continuer à m'aimer.
Je me ruais vers mon bonheur.
Vers ma lumière, mon rayon de soleil.
Vers mon amour, l'homme de ma vie.
Vers lui...Mon Évidence.
Mon Épiphanie.Jung Hoseok.
🚫
Voilà, un petit bonus citronné, tout fluffy...😉
😂
J'espère qu'il vous a plu.
🙃JSK
💜
VOUS LISEZ
🚫𝑼𝒏𝑺𝒑𝒆𝒂𝑲𝒂𝒃𝒍𝒆 𝑺𝒆𝑪𝒓𝒆𝒕 🛇 [𝑽𝒎𝒊𝒏]
FanfictionTaehyung rentre enfin en Corée du Sud après près de six ans. Il va enfin rencontrer le futur fiancé de sa sœur jumelle avec qui il a développé une forte amitié. Cependant, il ne s'attendait pas à revoir en même temps le jeune homme qui l'a sorti de...