44 Télépathie, caresses et canapé

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_ Tu sais Dean, lorsque j'étais vivante je me sentais tellement quelconque et banale avec tous mes défauts. Jamais je n'avais eu autant d'attention autours de moi. Et bien tu sais quoi? Ça fait peur...

_ Je comprends ce que tu ressens mais je ne te laisserais jamais ne t'inquiètes pas. Dès la première fois ou je t'ai vu je n'ai pu détourner mes yeux de ta lumière. Tu n'imagines pas à quelle point ton âme brille sur tout ce qui l'entoure.

_ Arrêtez Monsieur le poète, tu vas me faire rougir, dis je en lui souriant.

J'étais sur de ressembler à une tomate mais en même temps ce n'était pas la première fois avec Dean. Et puis, j'adorais sa sensibilité sous ses dehors de guerrier.

_ Je ne vois pas pourquoi j'arrêterais quand je vois la résultat...

_ Hey, non mais on ne se moque pas.

J'aimais bien ces petits jeux entre nous. Qui aimes bien châties bien comme on dit. Il me prit dans ses bras et sa bouche se posa sur la mienne.


_ J'espère que tout se passera bien. J'ai peur tu sais de ce qui va se passer. J'ai peur de faire des erreurs et de faire du mal à ceux que j'aime.

_ N'ai pas peur ma chérie. Je sais qu'il y a beaucoup d'inconnu quant à l'avenir mais je fais confiance au destin pour te montrer le chemin à suivre. Rien est acquis et tout est à faire. Il faut croire en toi et te faire confiance.

_ Pour le moment j'ai envie de croire en tes mains sur mon corps. Continues tes caresses Dean, j'en ai besoin.


Dean joua avec sa langue à caresser mes lèvres. J'entrouvris ma bouche pour accueillir sa langue que je taquinais rapidement de la mienne. J'avais envie de le sentir tout contre moi alors je n'hésitais pas à entourer son cou de mes mains. Les siennes me tenaient la taille de façon à me plaquer tout contre lui. Je sentais son membre dressé tout contre ma cuisse.

Sa bouche décrivit un chemin de feu le long de mon cou jusqu'à ma poitrine. Il s'écarta juste le temps de me retirer mon débardeur et mon soutien gorge. Il me regardait comme ci j'étais la huitième merveille du monde et ça me rendait fière. J'aimais ce regards là. Du coup je m'enhardis à me caresser les seins juste pour l'entendre gémir. Il se frottait carrément à moi pendant qu'il admirait le spectacle.

J'arrêtais et attrapais la ceinture de son pantalon pour le faire glisser sur ses hanches. Je le laissais à hauteur de ses genoux et glissais à Dean un regard coquin, très coquin même. Tellement coquin que je le vis me fixer en oubliant de respirer...

Je me laissais glisser à genoux sur le sol et je me mis à caresser son ventre plat et ses abdominaux. Je ne savais pas combien d'heures de sport il lui fallait pour avoir ses tablettes de chocolat ou si son statut d'ange de la Mort lui fournissait ce corps d'athlète mais moi j'adorais... Je déposais des baisers en plus de mes caresses tout en baissant son pantalon tout en bas. Pas de caleçon mais un sexe chaud, dur, tendu m'attendait.

Je le pris dans ma main et commença à faire glisser mon pouce sur le bout jusqu'à voir une petite goutte de liquide en sortir.

Après un dernier regard à Dean qui ne respirait toujours pas je le pris en bouche et tout en le caressant avec ma main je l'aspirais tout entier. Ma langue aimait le sentir, il était tellement doux. Je voulais le goûter. Je prenais mon temps puis j'accélérais la cadence avant de ralentir à nouveau.

J'adorais les frissons que je faisais naître sur son corps.

_ Doucement chérie, tu vas me tuer...

Je préférais continuer que de lui répondre.... et après quelques minutes je tenais fermement ces hanches. C'est gémissements et ses mouvements m'indiquaient que la libération était proche et je tenais à lui faire plaisir jusqu'au bout. Il avait ses mains qui maintenait ma tête en cadence le long de sa hampe.

Il hésita tout de même mais j'eus gain de cause. Ce fut à la hauteur. J'aimais définitivement tout chez lui et ça me faisait peur. Je ne voulais juste pas le perdre. C'était l'homme de ma vie, de ma mort, mon destin.

Il éjacula en laissant échapper un râle ses lèvres. Il avait un goût en adéquation avec le reste de sa personne. Divin.

Après un dernier soubresaut, il me releva et on s'installa dans le canapé face à l'énorme bais vitrée. Il me tenait dans ses bras, sur ses genoux.

_ Tu m'étonneras toujours tu sais.

_ Pourquoi tu dis ça?

_ Cet instant. Je ne m'y attendais pas tout simplement.

_ Je voulais te faire plaisir...

_ Je sais et ça me touche.

Nous étions bien . Instant de calme avant la tempête.


La Faucheuse Lui Va Si Bien (En Cours)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant