J'ai décidé d'ouvrir un petit recueil supplémentaire où je caserais tous les prompts que j'ai trouvé ! Ce seront des écrits plutôt courts, sur divers couples, j'espère que vous les apprécierez.
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Les mains de Carlos glissent sous son corps. Lando a toujours trouvé le plus âgé très doué de ses mains et, bon dieu, sait tout ce qu'ils ont fait avec ses mains. Enfin. Ils sont ensemble depuis moins d'un an et il est toujours plein d'insécurités à ce sujet. Il a toujours peur que l'espagnol se laisse de lui et de ses hésitations et de ses peurs.
Ils échangent un autre baiser enflammé. Il mordille la lèvre de son compagnon en essayant de rester à peu près calme. Si les touches de son partenaire lui font un certain effet, il a un problème. Un gros problème.
Il est très, très chatouilleux.
Carlos s'en est déjà rendu compte au fil du temps passé ensemble mais ne s'en souvient certainement pas lorsqu'ils se trouvent dans ce genre de moment.
Les doigts de son coéquipier voguent le long de ses côtes et c'en est presque trop. Il frissonne et doit se mordre la lèvre pour essayer de ne pas gâcher l'instant présent.
Un léger, très léger, gémissement s'échappe de sa bouche. Mélangé à un rire. Carlos s'arrête et lui lance un regard intrigué. Et soudainement, son self-control s'effondre.
— D-Désolé ... c'est juste ...
Il essaye de reprendre son souffle, un fou-rire incroyable le prenant à la gorge. Il en a presque mal aux abdos et doit se recroqueviller pour essayer de se calmer, se libérant de la prise de son petit-ami.
— Oh mon dieu, je ne vais pas ... réussir à m'arrêter.
— Est-ce que tu peux m'expliquer pourquoi tu rigoles, cabrón ?
Maintenant, Carlos a vraiment l'air sérieux. Il essuie les larmes qui ont commencé à perler aux coins de ses yeux et se relève sur ses coudes, offrant un regard presque provocateur à son compagnon, masqué par un faux-semblant d'innocence.
— Je suis désolé ... mi amor ? Tu sais, je suis très chatouilleux. Ce n'est pas du tout contre toi. Je t'aime, s'il te plaît, reviens ?
Lando cligne des yeux doucement et son espagnol laisse échapper un grognement empli de frustration.
— Dios mios ! Tu me mèneras à ma perte un de ces jours.
Mais les lèvres de son petit-ami retrouvent quand même les siennes.
_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_-_ Plutôt amusant à imaginer. Ne sont-ils pas une paire adorable tous les deux ?
