J'ai décidé d'ouvrir un petit recueil supplémentaire où je caserais tous les prompts que j'ai trouvé ! Ce seront des écrits plutôt courts, sur divers couples, j'espère que vous les apprécierez.
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Sergio et Lance entretiennent une discussion calme. De là où il est, Esteban peut en entendre quelques échos. Il préfère parler avec Daniel, et par extension avec Max, qui a du mal à lâcher l'australien aujourd'hui. Ce n'est pas tellement dérangeant. Il laisse une oreille traîner sur la convo de son ancien coéquipier et de son ami, un peu impoli, jamais trop.
— Et qu'est-ce que tu veux pilotes alors ?
Hilarité générale avant que le canadien ne tousse pour ne reprendre un peu de sérieux et réponde.
— Je veux piloter ça.
Lance le désigne lui. Ses yeux s'écarquillent et la tartine qu'il était en train de déguster ne semble pas apprécier cette surprise non plus puisqu'il s'étouffe avec. Il tousse violemment et accepte sans grand mal le verre d'eau que Daniel lui offre.
— Qu'est-ce qu'il y a ?
Il ne répond pas avant de se retourner vers les deux qui viennent juste d'avoir cette discussion. Sergio lui fait un petit salut de la main.
— Ça t'évitera d'écouter les conversations. Privées.
Esteban le foudroie du regard et se rapproche d'eux rapidement, avant de se planter devant Lance.
— Toi, moi, dehors. Vite.
Son ton est froid, non négociable.
Le canadien déglutit et finit par le suivre. Une fois à l'extérieur, il pousse un profond soupir.
— Lance, tu ... pourquoi est-ce que tu fais ça ? On ne peut pas être discrets si tu sors ce genre de phrases.
— Peut-être parce que je n'ai pas envie d'être discret !
Il hausse les sourcils, surpris par le soudain éclat de son compagnon. C'est ce qu'ils avaient convenu pourtant, comme ils sont des pilotes de formule un ...
— Quoi ?
— Je n'en peux plus de te voir tout sourire avec tout le monde dans le paddock ! Trop conciliant ...
— Donc, tu es jaloux ?
Lance fait la moue.
— Oh. Je me suis attendu à beaucoup de choses de ta part, pas de la jalousie.
Esteban s'avance et pose ses lèvres sur celles du garçon qui lui fait face. Celui ci agrippe sa taille fermement, peu partageur.
— Tu sais très bien que je suis à toi, tout à toi.
— J'ai juste ... peur de te perdre.
Ils restent collés l'un contre l'autre, dansant légèrement à la musique qui se dégage de l'intérieur du bâtiment. Son visage posé au creux du cou de son petit-ami.
— Tu ne me perdras pas, jamais.
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juste un peu d'eux, parce qu'on n'en a jamais assez, je trouve. J'aime instauré un peu de jalousie, hihi...
