J'ai décidé d'ouvrir un petit recueil supplémentaire où je caserais tous les prompts que j'ai trouvé ! Ce seront des écrits plutôt courts, sur divers couples, j'espère que vous les apprécierez.
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Quiconque décrivait Charles comme quelqu'un de totalement zen avait, vraisemblablement, tort. Et Pierre tire ce constat pour avoir sur le CV une dizaine année d'amitié et deux ans de relation amoureuse avec le-dit.
Il aime son bel et tendre, ce n'est pas ça le problème. Il sait bien comment prendre soin de lui. Ils se sont déjà retrouvés dans ce genre de situation, l'un comme l'autre, ce n'est jamais qu'un jour de plus dans leur routine.
Les examens finaux approchent.
Habituellement, ils évitent de trop se voir pendant ce genre de période. L'un comme l'autre devienne électriques, irascibles et invivables, ayant leurs propres insécurités et besoins; ça peut éclater comme un orage entre eux.
Ils ont déjà tenté et ont eu des disputes un peu trop violentes. Au point où ils auraient pu rompre ou en venir aux coups.
Mais là, Pierre ne se voyait pas abandonner son petit-ami une fois de plus. Il sait qu'il doit être présent pour lui. Alors il est là. Avec son copain à bout de nerfs, à deux doigts de fondre en larmes et de tuer quelqu'un. Lui sûrement.
— Est-ce que tu peux me faire une faveur et te taire ? J'ai besoin de trouver la solution de cet exercice et tu n'aides pas en citant des répliques Disney en ce moment crucial !
Il n'a cité Disney qu'une seule fois, pour sa défense.
— Eh bien, au moins avec une bouche fermée, je peux faire ça.
Il s'avance jusqu'à là où son petit-ami est nonchalamment assis, se saisit de son menton et pose ses lèvres sur les siennes. Charles, surpris, s'étouffe un peu mais profite pleinement du baiser.
— Tu as besoin de respirer d'accord ? Tout va bien se passer.
Il se rapproche encore un peu et prend cette fois son monégasque dans ses bras, le serrant fort contre lui. Le plus jeune s'enfonce à son tour dans l'étreinte, calant son visage dans son cou.
— Désolé.
Il passe une main dans ses cheveux doucement.
— Ce n'est pas grave, Charlie. Je suis là pour ça.
— Non ... Je ne veux pas que notre relation en souffre. Je t'aime.
— Je sais bien, mon cœur. Je t'aime aussi.
Il sent Charles se détendre au fur et à mesure contre lui et sourit. Il est quand même content d'être venu au final. Il doit bien prendre soin de lui à son tour. Un relais perpétuel entre eux-deux.
— Alors, on s'y met à ces révisions ?
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Une relation d'interdépendance et pourtant un amour assez fort pour outrepasser les obstacles ... je chéris fort tous ces ships de f1 en tout cas.
