J'ai décidé d'ouvrir un petit recueil supplémentaire où je caserais tous les prompts que j'ai trouvé ! Ce seront des écrits plutôt courts, sur divers couples, j'espère que vous les apprécierez.
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Nico s'ennuie. Et il en faut beaucoup pour qu'il s'ennuie quand même. Mais Kevin est en train de travailler des dossiers quelconques et lui en crève d'ennui. Et de manque d'attention.
Ils n'ont jamais eu la relation la plus saine qui soit. Qu'attendre d'une relation qui débute sur de la rivalité, du manque de confiance et des insultes ?
Ils ont fait en sorte que ça marche d'une manière ou d'une autre. Peut-être est-ce le hasard qui les a réuni ensemble. Mais ils ont été là au bon moment l'un pour l'autre. Dans les moments difficiles et au final ce n'est pas si mal qu'ils soient tous les deux. Ce n'est vraiment pas si mal.
Ils ont leur petit routine jour après jour. Ils s'aiment et leur amour va de pair avec leur haine. Ils se détestent aussi. C'est difficile, même après tout ce temps, de définir ce qu'ils représentent.
Amour passionnel ou haine controversé ?
Un peu des deux, il en a peur. Il voudrait que rien ne change, il voudrait que tout reste pareil. Des dîners romantiques aux engueulades matinales. Tout.
— Tu veux entendre une blague ?
— Pas vraiment.
Kevin a à peine relevé à peine ses jolis yeux bleus de son ordinateur.
— S'il te plaît ?
Cette fois il fait en sorte que leurs regards se croisent proprement et offre même à son compagnon un petit sourire en coin qu'il sait qu'il adore. Ce dernier déglutit avant de grommeler :
— OK. Vas-y.
Il exulte. Considérant cela comme une petite victoire. Dans ce genre de quotidien on ne sait jamais quels combats on va mener.
— Toc Toc ?
— Entrez.
Le choc s'affiche sur son visage tandis que le danois se moque ouvertement de la tête qu'il fait. Nico se renfrogne aussitôt.
— Je te déteste.
— Non, ce n'est pas vrai.
Kevin dépose son ordinateur sur la table basse et s'avance jusqu'à lui, l'embrassant du bout des lèvres.
— Ce n'est pas vrai, répète-t-il. Tu m'aimes.
Il se sent fondre dans ce regard profond, si profond. Il ne peut définitivement pas résister à ces iris qui s'enflamment sous le coup de la colère et qui s'adoucissent dans des moments tels que celui-ci.
— Oui.
Sa voix est un peu rauque.
— Je t'aime, Kev.
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comment faire ce petit recueil sans passer par ce ship ? La question se pose toujours et je dois dire que je n'y arrive pas !
