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Kylian
Mercredi 26 août 2020
Monaco 06h33

Cette nuit aura été compliqué pour tout le monde je croit, Erika est malade comme pas possible, Alyam et Naya c'est la même et moi je n'ai fait que méditer sur mes paroles d'hier sur cette plage. Ça n'excuse en rien ce que j'ai dit mais j'étais en colère qu'elle n'est pas osé m'en parler pour pas me blesser. Venant d'elle j'aurais pu tout encaisser. J'aurais jamais du lui dire ça, je me suis détesté la seconde d'après, mais vous comme moi on savez que c'était déjà trop tard. Cette nuit elle et moi, avons dormi dans le même lit, je ne compte pas abandonné comme ça. Tout aller très bien entre nous et ça va continuer pour l'éternité.

Quand je suis rentré hier, elle ne dormais pas, je l'ai vu sangloté même si elle pensait être discrète. Je sais qu'elle regrette qu'a moitié de m'avoir quitté hier, elle l'a fait pour mon bonheur serte mais on s'aime et l'amour est plus fort que tout. Je l'ai regardé dormir toute la nuit, parce qu'avec trois personnes qui vomissent partout dans cette maison c'est compliqué de dormir, alors j'ai utilisé ce temps à bonne escient.

[...]

Antoine, Erika et Mia sont en bas à table. Je sais qu'ils on entendu notre discussion après le jet ski et je sais aussi que quoi qu'il arrive, ils prendront le parti de Justine. C'est pas grave parce que je ne compte pas l'enfoncé comme j'ai déjà pu le faire auparavant.

- Tia ! s'exclame Mia

Elle a sauté dans les bras de Justine comme si sa vie en dépendait. Elle a dit bonjour à tout le monde sauf à moi.

- Je pu la mort ou quoi ?

Elle a regardé toute la table comme si elle attendais que quelqu'un prenne la parole, voyant que personne ne s'était décidé à parler. Elle m'a regardé, sans avancé. Je me suis levé et je me suis posé devant elle, attendant qu'elle me dise bonjour. Elle a doucement posé ses lèvres sur ma joue. Rien que son contact pourrais me faire bander.

- Vous puez de la gueule le matin pour ne pas vous embrasser normalement ? intervient Antoine.

- Gueule, gueule, gueu- répète Mia, qui s'est par la suite fait réprimandé par ses parents.

Encore une fois elle joue la timide.

- Elle m'a largué comme une sombre merde, retorquais-je alors que Mia répète pour la seconde fois.

Erika s'est levé pour aller la mettre au coin, la petite s'est mise à hurler comme si on l'avais mise en prison à vie. Justine ne pouvant pas s'en empêcher est parti réconforter sa nièce.

- Il s'est passé quoi encore ? Demande Antoine fatigué par nos histoires.

Le calme était revenu puisque Mia avait cesser de pleurer pendant que Justine essuie ses larmes de bébé.

- On s'est prit la tête concernant d'éventuels enfants et elle m'a largué.

- Quoi ? Elle voulais un enfant et pas toi ? demande Erika.

- C'est le contraire, elle ne veut pas d'enfants alors que moi je l'ai pousser dans les démarches pour qu'on en ai un.

- Ca a toujours était son rêve les enfants, vous avez dû mal vous comprendre !

- J'ai peut-être eu mon bac au rattrapage mais je suis pas bête à ce point. J'ai très bien compris et pareil pour le moment ou elle m'a larguer.

Antoine et Erika se sont regardé et à leurs expression je pouvais voir qu'ils étaient désespéré.

- Vous êtes toxique l'un pour l'autre ! réplique Antoine

- Regarde même ton frère a trouver une stabilité à son âge. Continue t-il

- Je suppose qu'il vous a tout raconté et qu'il m'a fait passé pour la méchante, mais je m'en fiche ce qui est fait n'est plus à refaire ! réplique Justine avec Mia dans les bras qui évitaient le regard de ses parents.

- J'ai jamais donné mon accord pour cette séparation donc on ne peux pas dire que quelque chose ai était fait ! répliquais-je

- Si bien sûr que si ! Je t'ai quitté et tu arrive pas à avalé la pilule !

- Tu m'a quitté parce que tu es égoïste et que tu pense que me quitté me rendra heureux mais c'est faux ! Tout ce que tu pense est faux, je ne veux pas d'enfants si tu fais toujours parti de ma vie, on a jamais eu besoin d'un bébé pour être heureux alors pourquoi ça devrait être le cas aujourd'hui ?!

Erika avait récupéré Mia des bras de Justine pendant que je m'expliquais. Nous étions à présent seul. Elle s'est déplacé pour s'assoir sur le canapé alors je l'ai suivi.

- Tu dis ça maintenant mais dans deux ans ou même dans cinq ans, tu changeras peut être d'avis et ça seras trop tard pour faire marche arrière parce qu'on seras peut être marié ou j'en sais rien !

- Tu veux te marier avec moi alors ? souriais-je

Elle a ri elle aussi.

- Bien sur que je voudrais me marier un jour avec toi mais pas si ça te rend malheureux !

- Jamais je ne pourrais être malheureux si tu es à mes côtés et que ma famille est en bonne santé ! Alors maintenant arrête de nous mettre des barrières et embrasse moi !

Elle m'a regardé, les mains croisé comme si elle réfléchissais encore, alors je me suis précipité pour l'embrasser sans attendre.

- Promet moi que si un jour tu es malheureux tu me quitteras !

J'allais lui rouler un deuxième patin mais elle m'a stoppé :

- Kylian je suis sérieuse.

- Jamais ! Tu m'entends ? Parce que jamais je pourrais me passer de toi !

Elle a sourit un peu timidement, mais je le pense. Elle est la femme de ma vie, aujourd'hui et même pour les cinquante prochaines années de notre vie.

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Soixante quinzième chapitres.

949 mots.

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dix sept ans • Kylian MbappéOù les histoires vivent. Découvrez maintenant