Imagines (aucune commande)

Damon Salvatore

Tu t'es souvenu du jour ou toi et Damon vous êtes avoué vos sentiments.
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3 ans plus tôt

« Est-ce vraiment nécessaire? Je ne comprends pas en quoi cela est utile à notre situation actuelle », as-tu dit. Tu as bougé, et les chaînes avec lequel ta soeur t'avais attachées à la chaise de la cuisine s'enfonçait dans ta peau. Bonnie laissa échapper un profond soupir.

Pour tenter de t'apprendre à te libérer dans une « Situation du mon réel », Bonnie avait eu recours à Damon pour kidnapper sa petite soeur, de ton lit au matin tu t'étais retrouvé enchaîner à l'une des chaises de ta cuisine.

En tant que puissante sorcière Bennet, tu étais une proie alléchante pour de nombreuses créatures sur surnaturelles qui venaient rôdé autour de Mystic Falls.

Tu connaissais toutes sortes de sort; celui pour le feu, la destruction massive, la mobilité et plus encore. Mais c'était un sort que tu ne pouvais tout simplement pas maîtriser.

C'était juste un mot. Un mot stupidement simple qui aurait pu briser tes chaînes il y a plus d'une heure, su tu avais simplement eu le focus. Mais avec Damon qui te regarde essayé de te libéré... Tu devais admettre que ta concentration n'étais pas au top. Ton béguin pendant des années pour cet homme s'est avéré être réciproque pour toi.

« Détends-toi. Tu dois te concentrer. Concentre-toi sur les chaînes, et pendant que tu lance le sort, imagine la rupture des chaînes » dit-elle, d'une voix aussi douce qu'elle le pouvait. Son pied a commencé à taper alors que tu essayais une fois de plus, seulement pour ne voir à nouveau aucun changement dans ta situation actuelle.

« J'essaye. Je le fais vraiment! », grogne-tu, les yeux fermés fortement et le visage plissé en un froncement de sourcils. Tu te jetais en arrière avec la chaise autant que tu le pouvais, inclinant la tête en arrière et poussant un soupir. Du coin de l'oeil, tu as vu Damon se déplacer de l'endroit où il était, appuyé contre le comptoir de la cuisine, te regardant alors qu'il se rapprochait de toi.

« Peut-être qu'on devrait donner une pause à ta soeur, Bonnie. » suggéra Damon. Il posa ses mains sur une chaise, se pencha légèrement sur la tienne et te fit un clin d'oeil lorsqu'il croisa ton regard. Tu rougis, tournant ta tête dans l'autre sens pour regarder ta soeur aînée.

« Elle a besoin d'apprendre, Damon » soupira à nouveau Bonnie. Elle semblait faire ça de plus en plus souvent c'est dernier temps. Damon la regarda.

« Eh bien, elle n'apprendra pas très bien si continuons à la pousser. Elle est fatiguée, donne-lui une minute, une chance de boire de l'eau au moins. » Bonnie plissa les yeux à la demande de Damon, mais finit par accepter, sortant elle-même de la cuisine pour faire une brève pause.

« Tu sais, tu a l'air plutôt bien attaché » murmura Damon, ricanant devant la rougeur de tes joues qui se propagea vite sur le reste de ton visage.

« Damon, arrête de jouer avec moi » dis-tu doucement. Il se moquait de toi ouvertement depuis un moment maintenant, pour des raisons qui te sont inconnues. Tu ne savais pas si Damon était capable d'être sérieux sans déconner cinq minutes.

Au moment où il t'a rencontré, il a su qu'il était amoureux. Il était dans la maison à la recherche d'un object que Bonnie l'avait envoyé récupérer chez toi.

Ne sachant pas que la maison était occupée, il est entré, claquant la porte derrière lui, te réveillant alors que tu faisais une sieste sur le canapé.

Il n'a réalisé que tu étais là que lorsque tu lui as lancé un tisonnier de feu, le manquant de peu. Il se tourna rapidement, l'attrapant avant qu'il n'entre en contact avec sa tête, et se figea lorsque ses yeux rencontrèrent les tiens. « Eh bien, je suis foutu », avait-il pensé presque instantanément. Il est tombé amoureux de toi, et il est tombé durement, encore plus qu'il ne l'a fait avec Katherine et Elena.

« Qui as dit que je me moquais de toi? » Il plissa les yeux, marchant de derrière la chaise pour s'accroupir devant, l'angle te laissait le regarder légèrement vers le bas. Tu as haussé les épaules sans croisé son regard. Il t'attrapa doucement le menton, te forçant â le regarder dans les yeux.

« Tu sais, c'est vraiment drôle la façon dont tu ne l'as pas encore remarqué », murmura-t-il. Il était presque nerveux, ce qui te rendait nerveuse à ton tour. Le grand Damon Salvatore, nerveux? L'enfer gèlerait plutôt.

« Remarqué quoi? » tu as chuchoté en retour, le coeur commençant à accélérer légèrement. Damon le remarqua, ses lèvres se courbant. En un petit sourire avant de prendre une profonde inspiration.

« J'ai remarqué que j'étais amoureux de toi depuis le moment où je t'ai rencontré. » Tu avais inspiré fortement, les yeux écarquillés. Le regard de Damon s'élargit, et il se leva rapidement, détournant les yeux et refusant de rencontrer les tiens.

« Je suis désolé, je n'aurais pas du te dire ça. Je vais juste... euh... sortir. » il ne voulais toujours pas croisé ton regard, choisissant plutôt de marcher rapidement vers la sortie de la cuisine.

Trouvant soudain la motivation en toi, tu avais chuchoté avec ferveur vatos, finalement tu as entendu le son des chaînes brisées glissant sur le sol de la cuisine.

Tu as bondi, l'attrapant doucement par l'épaule et le tourna pour qu'il puisse te faire face. Ses yeux semblaient s'élargir encore plus alors qu'il te regardait. Si son coeur battait encore, il subirait probablement un arrêt cardiaque. Et il t'a soudainement embrassé.

Avant que tu ne puisse bouger, ses bras s'enroulèrent étroitement autour de ta taille, t'attirant plus près de son corps. Il était sur le point d'approfondir le baiser, quand un bruit vous fit sursauter tous les deux.

C'était Bonnie, debout dans l'embrasure de la porte, les yeux grands comme des soucoupes.

« C'est quoi ça? »
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Aujourd'hui

Tu t'es souri intérieurement, en te souvenant des événements de cette journée et de la quantité de lumière et de joie que Damon avait apportée dans ta vie.

« A quoi pense-tu pour sourire comme ça ma belle? » marmonna Damon, sa voix trahissant sa fatigue. La lumière du soleil avait traversé les rideaux arrivant droit dans vos yeux, alors que vous étiez allongés dans votre lit, blottis contre les draps.

« Je pense juste au faite de combien je t'aime », dis-tu doucement, te penchant en avant pour l'embrasser doucement sur le nez. Il t'adressa un sourire endormi avant de te rapprocher de lui, enroulant un bras autour de toi pendant que tu posais ta tête sur sa poitrine.

« C'est drôle, je pensais justement à la même chose. » il s'assoupit une fois de plus, sa prise sur toi se détendant légèrement. Tu souris, levant la tête pour embrasser sa poitrine avant de la reposer doucement. Vous vous êtes endormis tous les deux, enfermés dans une chaleureuse étreinte.

Oui, tu aimes Damon Salvatore de tout ton coeur. Mais c'est loin d'être aussi fort que la manière dont il t'aime.