Raphël Santiago

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Je revenais du Pandémonium parce que mes amis m'ont abandonné là-bas, merci à eu *sarcasme*. Maintenant, je dois marcher dans le quartier le plus effrayant de New-York. Je porte un jean skinny moulant et un crop top noir avec une veste en cuir noire. J'ai les cheveux bruns et légèrement, ils sont lâchés sur mes épaules.

Je suis arrivé dans l'un des mauvais quartiers de la ville où se produisent tous les crimes. J'ai atteint une ruelle qui était sensé me ramener à la maison.

Quand je suis arrivé au milieu de la longue ruelle, j'ai entendu l'une des poubelles trembler. Puis, j'ai entendu une autre trembler. « Il y a quelqu'un? » j'ai demandé. Pas de réponse. Eh bien, c'était peut-être juste un chat ou quelque chose comme ça.

Ensuite, un gars avec une arme est sorti et l'a pointé sur moi. « Donne-moi tout ton argent! » me cria-t-il. Je n'ai plus d'argent sur moi j'ai tout dépensé au Pandémonium. « Je n'en ai pas. » dis-je effrayé. « Jetons un coup d'oeil alors » il a dit. Il a regardé dans mon sac à main et quand il a vue qu'il n'y avait pas d'argent, il a dit « eh bien, tu vas devoir mourir ma jolie. » il m'a dit en remontant son pistolet vers ma tête. « C'est la fin », pensai-je.

Tout d'un coup, un gars d'apparence plus jeune que mon agresseur a sauté du toit très rapidement. Il a couru vers le gars et lui a briser la nuque. Mon agresseur est tombé au sol totalement mort. Le gars qui m'a sauvé était vraiment mignon - attendez, il pourrait vouloir me tuer moi aussi.

« Est-ce que ça va? » il me demande. Je m'en fichais qu'il veuille aussi me tuer. Avoir quelqu'un qui me sauvait et se souciait de moi, me donnait un sentiment incroyable. C'était la première fois depuis très longtemps que quelqu'un se souciait de moi, alors je lui ai fait un câlin. Cela lui a pris du temps avant de resserrer l'étreinte en passant ses bras autour de ma taille. « Merci » dis-je. Et voila que maintenant je pleurais. « Hé, ne pleure pas, c'est fini. » dit-il calmement en m'attirant contre sa poitrine.

Puis, je me suis souvenu, il a sauté d'un immeuble et il a couru très vite. Quand, nous nous sommes séparés, je lui ai demandé « Qu'est-ce que tu es ? » « Promets-moi que tu ne paniquera pas ? » Il a demandé. « Promis, il m'en faut beaucoup pour paniquer. » Je lui ai dit. « Je m'appelle Raphaël et je suis un vampire. » Il m'a confié. « C'est incroyable. » dis-je en touchant son visage en le regardant montrer ses crocs. « Quoi? » Il a demandé. J'ai levé les yeux. « J'ai dit que c'était incroyable et d'ailleurs je m'appelle t/p. » J'ai dit. « Eh bien, c'est très agréable de te rencontrer. » Il a dit et puis m'a embrassé la main.

Nous avons commencé à marcher jusqu'à chez moi. Quand nous sommes arrivés, nous avons tous les deux échangé nos numéros. « Merci de m'avoir sauvé » J'ai dit. « Et merci d'avoir été si cool sur le faite que je sois un vampire. » Il a dit. « Pas de problème, j'aime les gars avec des crocs. » J'ai répondu et nous avons rigolé.

Nous nous sommes arrêtés et nous nous sommes regardés dans les yeux. Il a commencé à se pencher vers moi. Enfin, nos lèvres se sont touchées et ont bougé de manière synchronisée. Nous nous sommes séparés.

« Wow » avons-nous tous les deux dit. Nous nous sommes encore embrassés. « Bonne nuit, beau vampire. » J'ai dit. « Fais de beaux rêves, petite terrestre. » Il a dit. « Mes rêves seront à propos de toi. » Je lui ai dit. Nous avons tous les deux ri à mon commentaire ringard. Puis, il est parti. « Je n'oublierai jamais ce moment »pensai-je.

Imagines (aucune commande)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant