Imagines (aucune commande)

Raphaël Santiago

Les choses ont été difficiles ces derniers temps. J'ai commencé à sortir avec Raphael il y a environ un an. Je l'aime de tout mon cœur, mais je ne pense pas qu'il ressente la même chose. Depuis un mois, je ne l'ai pas vu autant et j'ai oublié une chose spéciales. Je pense qu'il me trompe. Je ne sais pas pourquoi, mais j'ai juste un pressentiment. Je ne veux pas l'affronter, cependant. Et s'il se fâche ? Et s'il pense que je suis trop collante et s'en va ? Ugggghhh.

Je suis entré dans la salle de formation de l'Institut de New York. J'étais tellement en colère qu'il saute notre rendez-vous de ce soir. J'ai commencé à frapper le sac de boxe. Je n'arrêtais pas de le frapper encore, encore et encore.

 - T/P ! T/P ! J'ai entendu quelqu'un crier. Je sortis de mes pensées et vis Izzy juste à côté de moi avec un visage inquiet. Ensuite, j'ai baissé les yeux sur mes jointures pour les voir à vif de sang. Je ne ressens pas la douleur cependant. J'étais engourdi. Izzy n'a pas demandé ce qui n'allait pas, mais elle a juste pris mes mains, les a nettoyées et les a bandé.

Izzy et moi nous sommes assis sur son lit. Je regardais toujours mes mains.

 - Qu'est-ce qui ne va pas ? demanda Izzy.

 - Je pense que Raphael me trompe. J'ai dit. 

 - Oh chérie. Izzy m'a tiré dans une énorme étreinte, et j'ai laissé mes larmes couler. Nous nous sommes séparés et elle m'a regardé dans les yeux. Pourquoi penses-tu cela ? Elle a demandé. 

   - Eh bien , je ne le vois plus beaucoup, et il n'arrête pas de rater des rendez-vous comme ce soir nous en avions un de prévu... C'est juste que... je ne sais pas. J'ai dit.

J'ai quitté la pièce où Izzy m'a sortie un bon et long discours sur le fait que je n'avais pas besoin de lui, et que je devrais l'affronter et aller de l'avant. Mais la vérité c'est que j'ai besoin de lui. Je l'aime. Je ne pouvais pas le quitter. Je ne pouvais pas l'affronter. Je ne pouvais rien faire. J'étais faible et inutile. Il me trompe probablement parce que je ne suis pas assez bien pour lui. Je sortie de mes pensées lorsque Raphaël est sorti de nulle part et m'a poussé contre le mur. 

 - Tu penses vraiment que je te trompe ? Il demande. "Oh non, il m'a entendu." Je me suis maudite mentalement 

- Non non. J'ai menti.

 - Ne me mens pas. Il grogna.

 - Bien, d'accord, oui je le pense. J'ai dit.

 - Pourquoi ? Demanda-t-il, la curiosité tombant juste de sa voix. 

 - Parce que tu manques tous nos rendez-vous, et je ne te vois plus jamais.  J'ai dit la dernière partie à voix basse. Il se pencha plus près et posa ses lèvres contre les miennes. 

 - Tu sais que je t'aime. Il a poursuivi Et je ne te quitterais jamais. dit-il en me regardant dans les yeux. Je l'ai embrassé. 

 - Je sais, c'est juste que, tu sais quoi ? Peu importe, je te crois et je t'aime. J'ai dit. Il me retire du mur et nous nous embrassons à nouveau. Puis, il regarde mes mains. 

- Que s'est-il passé ? tu vas bien ? Qui a fait ça ?  Il demande. 

 - Je me le suis fait toute seule, j'étais en colère parce que tu avais à nouveau manqué notre rendez-vous, alors j'ai frappé dans un sac de boxe un peu trop fort, et voilà. Je fini de lui expliquer. Il m'a attrapé et m'a embrassé plus fort qu'avant. 

 - Je suis tellement désolé, mon amour. Il dit. 

 - Ce n'est pas de ta faute-

- Bien sûr que si. Si j'avais été là pour toi, tu ne l'aurais sûrement pas fait. Il dit.

 - Alors, où étais-tu toutes ces fois ? J'ai demandé.

 - J'étais nerveux. Il a dit. 

 - Nerveux pour quoi ? J'ai demandé. 

 - Pour cela. Il a dit. Il s'est agenouillé et a sorti une magnifique bague en diamant. J'ai haleté et j'ai commencé à pleurer, couvrant ma bouche. T/p, je t'aime depuis le premier jour où je t'ai rencontré. Tu étais à l'Hôtel Dumort avec le reste de tes amis. Tu étais magnifique. Tu as toujours été la dans mes bons moments comme dans les mauvais, et je t'aime. Alors... T/p N/f, veux-tu m'épouser ? Il demande. 

 - Oui ! tu as répondu aussitôt. Il me passe la bague au doigt et se lève. Il me serre dans ses bras et me soulève en tournant. Je l'aime tellement, cela compense totalement toutes les fois où il était parti.