Imagines (aucune commande)

George Weasley

Je grimpe par la fenêtre de la chambre des jumeaux assez peu gracieusement et tombe sur le lit de Fred dans le processus. George est dans la pièce et me regarde comme si j'étais Rogue et s'est juste glissé vers la fenêtre de sa chambre. Oh attends...

George se met à crier mais je couvre sa bouche rapidement. Je peux l'entendre sous ma main dire : « Je suis désolé Fred et je t'ai fait des farces toutes ces fois professeur rogue, je jure que nous ne le referons plus jamais et nous aurons une retenue avec vous pour le reste de nos vies, mais ne le faites pas s'il vous plaît »

Je n'y peux rien. Je retire ma main de sa bouche et éclate de rire. Bien sûr, ce n'est pas mon rire. Techniquement, je suis le professeur Rogue. Pour faire court, j'ai pris une potion de Polynectar. « George c'est moi, t/p! » lui dis-je avec un sourire. George, l'air vraiment paniqué, recule jusqu'à ce que son dos frappe la porte. Il me regarde avec de grands yeux.

« C-comment puis-je savoir que vous ne mentez pas !! »il balbutie.

« D'accord, si j'étais vraiment Rogue, comment saurais-je que tu t'es fait pipi dessus la fois où nous avons visité cette maison hantée quand nous étions enfants parce que Fred t'a fait sursauter ? »Je demande. George soupire de soulagement et tient ses mains sur son cœur.

« C'est toi! » dit-il avec soulagement, il frappe alors mon épaule avec beaucoup de force. "T/p! tu m'as foutu la trouille ! » il pleure. « Pourquoi diable es-tu à l'intérieur du professeur Rogue ? Non, attends, ça ne sonnait pas bien... »

Je ris et ferme la fenêtre avant de m'asseoir sur son lit. « J'ai bu de la potion Polynectar, Fred et moi l'avons utilisé pour faire une blague à Percy et Ron. C'était hilarant, c'est aussi le professeur Rogue ! » Je ris.

« Je me souviens quand vous l'avez volé tous les deux à ton père. Je pensais que vous l'aviez déjà utilisé » dit-il en s'asseyant à côté de moi. Je secoue la tête.

« Trop risqué à l'école ». George hoche la tête en signe de compréhension. Soudain, il fait une grimace de dégoût.

« D'accord, c'est drôle et tout mais quand vas-tu redevenir... toi ? Je me sens vraiment mal à l'aise avec Rogue dans ma chambre » admet George. Je ris et regarde son horloge.

« Dans environ cinq minutes", dis-je.

Cinq minutes plus tard, j'ai fini par redevenir moi-même. George me prend soudain dans ses bras. « Je suis tellement content de revoir ton visage » couine-t-il. Je ris et le repousse.

« Je vais enfiler des vêtements que j'ai laissés ici l'autre semaine et retirer ces fichues robes. Ne regarde pas ! » dis-je avant de récupérer une partie de mes vêtements du haut de la commode. Je vois que Molly les a repassés et pliés soigneusement pour moi et souris. Elle m'a toujours traité comme si j'étais sa propre fille.

PDV George

T/p m'a dit de ne pas regarder mais je ne peux pas m'empêcher de jeter un regard effronté dans le miroir qui me permet de voir son reflet. Mec, elle a un beau corps ! Une fois qu'elle a fini, je me retourne. « Geeorrge, tu regardais ! » elle gémit.

« Non! »

« Eux, comment se fait-il que tu t'es retourné avant que je te le dise ? » elle pose une main sur sa hanche. Je me gratte la nuque et souris.

« J'ai tenté ma chance » je prétends. Elle lève les yeux au ciel et jette les robes sur mon visage. Je les jette par terre pour la regarder avec ce regard 'tu ne viens pas de faire ça'. Elle recule lentement en souriant.

« Ok George chéri, ne faisons rien de violent à t/p, car c'est une petite fleur si délicate-» Je cours vers elle et elle se jette vers la fenêtre. Avant qu'elle ne puisse le faire, je la coince sur le lit de Fred et commence à la chatouiller. « S-stop » crie-t-elle. « G-George je suis désolé. Je suis je-je suis désolé ! » elle couine de manière incontrôlable tout en riant en même temps. Finalement, je m'arrête pour lui laisser le temps de reprendre son souffle. Je respire fort aussi mais c'est parce que j'ai réalisé à quel point nous sommes proches et que je la chevauche. Nous nous regardons dans les yeux. Lentement je me penche. T/p ferme les yeux une fois que mon visage est vraiment près du sien. Juste au moment où nos lèvres sont sur le point de toucher la porte s'ouvre, claquant le mur dans le mur par la même occasion.

« Woah les gars! » Fred crie en couvrant ses yeux, « Maman vient juste de nettoyer mes draps, je ne pense pas qu'elle serait très heureuse si vous avez des plis partout sur eux », sourit-il dans l'embrasure de la porte. Je descends de t/p et elle s'assoit. J'attrape ensuite un oreiller et le lance sur la tête de Fred. Il rit et se baisse, l'évitant.

« Aww Freddie tu n'aurais pas dû nous arrêter, je veux dire, nous savons tous que c'est le seul sexe que ton lit aura jamais dessus » t/p sourit très doucement à Fred qui devient rouge vif.

« Ouais eh bien... tu... je-je... que... euh... » souffle-t-il et quitte la pièce en faisant rire t/p et je ris.

« Je vais dire bonjour à ta mère rapidement, et je vais m'assurer que Fred ne répande pas de conneries sur nous » t/p m'informe avant de quitter la pièce.

Une fois qu'elle est partie, je frappe le mur (ce qui fait mal). « Si proche » Je murmure avec colère avant de quitter également la pièce. La prochaine fois , qu'il y aura un moment entre t/p et moi, je verrouille la foutue porte.