Si mignonne et si pure, amuïe au canapé,
La verge dans la bouche en captive luxure,
Fesse nue élevée alors qu'une main sûre
Lui plonge un doigt aimant long comme elle a happé !
D'un mouvement habile, il se plaît à saper
Sa régularité en palpant la couture
De son vagin gonflé, et la livre en pâture
À ses instincts de chair dont elle est rattrapée.
Ah ! si naïve ainsi appliquée ardemment,
S'efforçant d'ignorer le vif harcèlement,
Car toujours le plaisir l'imbibe par montées...
Alors exorbitée et tenant une bite,
Elle reste absorbée en l'onde qui l'habite...
Puis reprend son ouvrage à demi éhontée.
Écrit le 18 juillet 2024. Publié le 2 novembre 2024.