Chapitre 83

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Bonjour,

Désolée du retard ! Je posterai moins régulièrement, puisque mes examens approchent de plus en plus, donc j'ai moins de temps ! Pourtant, j'ai des idées plein la tête !

Par ailleurs, certains lecteurs ont du mal à lire les chapitres privés, je vais devoir remettre en public. Tant pis pour le site malfaiteur.

Les chapitre 82 et 83 sont donc accessibles à tous.

Attention, très long chapitre.

Par ailleurs, la fin approche (et oui).

Bonne lecture.

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~Ursula~

Lorsque j'ouvre les yeux, je suis éblouie par une halo blanche.

Je me sens apaisée et emplie de quiétude dans cette pièce immaculée et à l'odeur aseptisée.

Je sens le début d'une migraine apparaître et soudainement, mon mal de crâne s'amplifie et ne finit plus.

Mes yeux se sont enfin habitués à la lumière et je remarque que je suis probablement dans une chambre d'hôpital.

Je tourne la tête et aperçoit Liam, avachi et assoupi sur une chaise.

Je dis son prénom mais ma voix n'est que murmure.

J'essaie de me lever mais mon mal de crâne m'empêche de faire le moindre effort physique. Ma tête retombe lourdement sur le lit, et le bruit qui s'en suit fait sursauter Liam qui se réveille.

- Oh Ursula, ça va mon cœur ? Demande-t-il en se précipitant sur moi.

Il dépose un baiser sur mon front et je lui réponds d'une petite voix :

- Ça pourrait aller mieux. J'ai dormi combien de temps ?

Il regarde sa montre avant de m'indiquer que j'ai eu dix-huit heures de sommeil.

- Tu as eu une commotion cérébrale, mais les médecins ont dit que tout ira bien. Quand j'ai vu ton père pointait son arme sur toi, j'ai eu le réflexe de te pousser, un peu trop brusquement, d'où la commotion. Je suis désolé, c'est de ma faute.

- Au contraire, tu m'as sauvée la vie. Je t'aime.

- Je t'aime aussi.

- Que s'est-il passé d'autre ? je demande.

- Tout doucement. Je vais appeler le médecin pour qu'il contrôle ton état et on en parlera après, d'accord ?

Je hoche ma tête, avant de l'observer sortir de ma chambre.

Par ailleurs, celle-ci est décorée avec bon goût, ce qui est plutôt surprenant. Je suis sûre d'être hospitalisée dans un établissement privé.

Liam entre dans la pièce avec le médecin, un homme plutôt âgé qui doit avoir la soixantaine.

- Bonsoir Madame, je me présente, je suis le docteur Da Silva, dit-il en portugais.

Les yeux vaironsOù les histoires vivent. Découvrez maintenant