<< Des belles personnes Mais des vilains coeurs ...>>
____________Choqué, déçue, bête, naïve voilà ce qui me définissait quand le père a ouvert sa bouche. Finalement comment a t-il pu me faire sa a moi ?
Jamais je n'aurais pu imaginer ou pensé que m.Oumar ma utiliser pour nourrir son avarisme et celui de son fils. Jamais je n'ai pensé qu'il m'a séparé de ma mère qui est morte à présent dans le seul but d'arranger sa vie à la perfection en deruisant la mienne. Depuis le début il avait cette intention de marier à son fils dans leur propre intérêt à tous. Pourtant je faisais confiance à ce monsieur car pour moi c'était lui, le seul riche parmi tant d'autres qui avait aidé ma mère lorsqu'elle en avait besoin. C'était un peu logique qu'il me prenne contre la somme d'argent qu'il a donné à ma mère mais je n'avais pas soupçonné ses véritables négociations oui il a négocié avec la maladie de ma mère pour remplir ses poches de billets facilement. Il m'a utiliser pour ouvrir les portes de la chance à son fils pendant qu'il sait parfaitement que ce dernier ne m'aime pas et que je suis la perdante... Décidément la vie ne m'est d'aucune utilité ni de fiabilité, elle ne privilégie pas comme elle le fait avec certaines personnes qui n'ont point connu ce que moi j'ai connu. Mais je ne souhaite non plus à aucun être vivant d'être aussi victime de la vie, ou de vivre c'est que j'ai douloureusement vécu. Mais si j'avais su que ce n'était le début de mon lourd calvaire....Bref c'est vrai je n'avais pas mon mot à dire lorsqu'il m'a dit que j'epouserai son fils et cela dans deux semaines. Beaucoup ont cru que je voulais de ce mariage principalement layla, aissata qui n'ont pas eux même compris le manège de m.Oumar qui était de leur côté. ya même lamine qui m'a fait savoir qu'il savait que je voulais de ce mariage, selon lui je suis amoureuse de Hassan et me marier à lui serait le jackpot, c'est mon rêve par dessus tout... Jusqu'à maintenant sa phrase me hante.
Mais ils ont tous faux à part que j'aime Hassan c'est exact et visible mais je n'ai jamais songé de l'épouser encore moins dans ces conditions la...
"je t'aime mais je sais qu'entre nous c'est impossible "*point de vue extérieur*
M.Oumar était devenu honteux face à la jeune fille qui le regardais avec dégoût, il ne savait plus ou se mettre car au fond de lui il pouvait ressentir la confiance que cette pauvre orpheline lui portait mais voilà que maintenant cette dernière ne lui fait plus un minimum de confiance. Elle se sent trahis par la seule personne qui était sensé la protégé ! Quelle prodige !
La jeune fille criant son chagrin à voix basse regarda inlassablement m. Oumar ainsi que aissata qui ne cachait pas sa joie, puis quitta le salon qui représente la salle de son mariage, en larmes devant des gens qui se moquaient intérieurement d'elle mais qui faisait bonne figure.
M.Oumar : -fâché - mais qu'est ce que j'ai vu encore mon dieu tu as vu aissata à force de me pousser à bout tu ma fait dire des mots que je ne pensais pas
Aissata : mais arrête de crier on ne dit pas ce qu'on ne pense tavais les mots au bout de ta langue en plus c'est la vérité que t'a dit je ne vois pas le problème
M. Oumar : -en criant- tu ne vois que cette fille se sent mal et trahis pour elle je l'ai utilisé pour mon propre intérêt de dresser Hassan, tout sa c'est par ta faute aissata tu n'a jamais aimé cette fille et tu as toujours fait en sorte de la blesser
Ismael: calme toi oumar ne fait pas attention à aissata tu sais comment elle est parfois, vas y plutôt voir comment va Mariem c'est mieux
M.oumar: prend soin de ta femme(aissata) car sinon je vais pas me retenir ...
Il s'en va dans la chambre où était Mariem qui pleurais comme à son habitude. C'est dans ses larmes qu'elle puise sa force, c'est en pleurant qu'elle se console puisque a part sa elle n'a rien pour la réconforter et lui dire de tenir bon que cette épreuve va bientôt faire ses adieux. Mais elle était jeune et seule, aucun moyen de réfléchir longuement comme chez les adultes qui réfléchissent pour régler leur soucis. Quant à elle sa réflexion était ses larmes.