partie56

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<< j'ai longtemps crié vengeance sans guerre ni épée car mon sourire seul fera ma revenge sans crier ni blesser...>>
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Hassan

Je viens de quitter la villa de mes parents pour y laisser les clés de ma maison vu que je pars resté quelques jours chez oumou, comme d'habitude.

Je passe au centre commercial pour tenter de trouver quelques cadeaux à mes neveux et à leur mère.

Après avoir finaliser mes achats, mon chauffeur me rejoins au cc avec ma voiture qu'il vient de récupérer au garage pour une histoire d'entretien.

Je vous épargne le trajet. Néanmoins nous sommes arrivés plutôt que prévu à cause de la fluidité de la circulation.

Après des sonneries acharnées, le portail s'ouvre, ce qui laisse apparaître mes neveux et leur mère, se tenant à la véranda. De la je pouvais distinguer les dents de Aly, qu'il montrait à travers un grand sourire, qui m'était spécialement destiné.

Moi: HÉÉ LES CHAMPIONS VENEZ SALUER TONTON...

Immédiatement Aly et oumar se lancent dans une course, mais comme toujours c'est Aly qui a les longues jambes donc c'est lui qui gagne.

Les enfants: TONTONNNN.....

En les enlaçant...

Moi: mes champions vous allez bien les grands?

Eux:OUIÎII....!!

On se dirige à l'intérieur de la maison, l'autre grosse se tenait toujours à la véranda.

Moi: dit les enfants vous avez fatigué maman aujourd'hui ?

Aly: non on fait plus de bêtises

Moi: ah non vous devez faire de grosses bêtises afin fatiguer maman daccord les enfants.

Ils se ravisent tous les deux.

Oumou: tu es sérieux quand tu dis sa Hassan ? Tu sais en plus l'influence que tu as sur eux?

Moi: bah ouiais ça me ferais rire de te voir exaspérer; surtout avec ton gros ventre. Ça t'apprendrait à faire moins d'enfants.

Oumou: mais j'en ai que deux... enfin trois je ne sais pas ce que tu diras quand j'aurai mes dix enfants.

Aly: non...maman je veux pas beaucoup de frères comme oumar.

Moi: à ce que je vois le petit s'est chargé de la réponse.

Oumou: blabla...allez entrons maintenant j'ai mal au pieds à force de t'entendre m'offenser. Si tu n'étais pas mon frère je t'aurais tchiipeer mais comme tu peux le constater je ne le peux pas au risque de me faire tarter de coups.

Lol j'aime trop la taquiner. Oumou est tellement fragile qu'il suffit d'un seul mot pour la vexer.

Moi: aller c'est bon je rigolais toi meme tu sais.

Oumou: t'inquiète je l'avais très mal remarqué-sec-

Moi: mon dieu. Tu me pardonnes oumou??

Oumou: comme tu vois je n'ai pas le choix donc oui.

Moi: enfin. Ou sont mes épinards ma soeur chérie ?

Oumou: l'hypocrisie te tuera Hassan mdrr...a que ma soeur chérie.

....: bonjour monsieur

C'ést fatou.

Moi: ah toi...la gentille fatou comment tu vas ?

Mariage Arrangé : Le Prix De L'amour Où les histoires vivent. Découvrez maintenant