<< je ne sais pas ce que je suis.
Est ce que je suis quelqu'un de nouveau ?...>>
____________Nima
Instinctivement, j'ai laissé couler quelques larmes.
Ça faisait tellement longtemps que je n'tai pas vu, des années entières que je pleurais ton absence en silence...
Je retrouve devant ma porte, cette femme qui fut un jour ma mère. Elle n'était plus elle même, la vie lui avait montré de nouvelles facettes...
Moi: qu'est...qui t'es arrivée...?! Repond moi.?
Elle était accompagné d'un jeune homme que je ne connais pas.
J.homme: elle ne sait presque pas articuler, il lui faut des minutes pour pourvoir prononcer une phrase.
J'en avais le coeur qui chauffait.
Moi: ...mais dit moi ce qui lui est arrivée ?
Aufait, ma mère était dans un fauteuil roulant, de vue, elle avait les membres paralysés. Ses yeux étaient figés. Elle faisait peur à voir dans son état...je ne sais pas si c'est normal ou pas que je ressente ça , mais je me sentais imputer !
Je me sentais mal pour elle malgré qu'elle m'a assez fait souffrir auparavant.J.homme: elle a fait un accident de voiture il y'a un mois. Tout ce temps elle sejournait à l'hôpital accompagné de son mari. Mais ce dernier en a eu mare, du coup il m'a donné tous vos coordonnées et m'a ordonné de la ramené ici. Qu'il ne peut pas en prendre soin plus longtemps. C'est madame nimatou **** non?
Ah lui!! Je regrette de partager son sang?!.
Moi: c'est Hamal n'est ce pas?
J.homme: oui. Il m'a confié cette tâche. Je dois maintenant partir. Merci beaucoup madame.
Moi: attendez ! Qui êtes vous genre votre profession ?
J.homme: je suis infirmier à lhopital s***********.
Moi: hum daccord. Dites à Hamal, qu'il a une fois encore commis une grosse erreur! Une enorme bêtise qu'il ne pourra jamais y remédier. Et qu'il il va le regretter très amèrement ! Je lui en fais la promesse.
J.homme: mais madame...
Moi: passez lui juste ce petit message.
J.homme: daccord. Aurevoir madame, prenez soin d'elle. Aussi, elle parle de temps en temps il faut y veiller.
Moi: merci.
Il part. Je la fais entrer à l'intérieur à l'aide de son fauteuil roulant. J'avais la haine contre Hamal son mari qui est un gros lâche. Si je pouvais je supprimerais ce lien qu'il y'a entre nous à jamais. Mais malheureusement je ne peux pas me vider de mon sang et en remplacer par un autre.
Je la pose au salon. Je remarque en même temps qu'elle faisait des gestes avec ses mains. Elle reporte son regard sur moi, sa bouche s'ouvrait difficilement et lentement. J'ai cru comprendre qu'elle ressentait l'envie de me communiquer genre.
Je m'agenouille devant elle, de sorte que j'arrive à bien me mettre à son niveau .
Je prend ses deux mains tremblottantes dans les miennes. Malgré qu'elle ne m'a jamais aimé, je me sentais mal pour elle. Et je donnerai tout pour l'enlever dans l'état où elle se trouve...
Sniff c'est ma mère après tout.
Moi: ... vas y dit moi? Qu'est ce que tu veux dire ?... je sais que tu peux parler...
Elle me presse la main droite comme pour puiser de la force pour sa bouche.
Elle tâte les mots jusqu'à ce que j'entende une phrase longue et lente, mais elle en vaut le coup.