Imagines Marvel

Peter Parker - "Who is this guy ?"

Peter Parker :

Peter et toi étiez ensemble depuis un peu plus de 6 mois et vous filiez le parfait petit bonheur. Le seul problème était qu'il doutait beaucoup de lui, et avait donc très peur avec les autres gars qui te tournaient autour.

Pourtant, tu n'en avais rien à faire des autres : tu étais amoureuse de Peter et ne voyait donc que lui. Tu n'étais pas stupide, tu voyais bien les tentatives des autres gars mais n'y prêtais même pas attention.

Un jour, tu étais assise à une table de la bibliothèque. Peter devait te rejoindre pour travailler un peu mais il venait de t'envoyer un SMS pour te prévenir qu'il aurait un peu de retard. Tu traînais alors un peu sur ton téléphone en l'attendant, ne voulant pas commencer à travailler sans lui.

Au bout d'un moment, tu sentis un regard insistant sur toi. Relevant la tête, tu croisas le regard d'un mec de ton âge qui t'observait de sa table à l'autre bout de la bibliothèque. Voyant que tu l'avais vu, il se leva, quittant ses potes. Pas intéressée, tu rebaissas les yeux sur ton téléphone, demandant à Peter s'il arrivait bientôt. Mais du coin de l'œil, tu vis le type s'arrêter juste devant ta table. Tu l'ignoras superbement mais il se racla la gorge et lâcha un petit « Salut » avec un petit sourire.

- Salut ? répondis-tu en levant un sourcil, stupéfaite.

En voyant qu'il ne répondait pas, tu repris :

- On... se connaît ?

- Pas vraiment, non. Mais je te regarde depuis tout à l'heure et je te trouve super mignonne alors...

Tu le coupas en comprenant où il venait en venir :

- Je t'arrête tout de suite, j'ai déjà un petit copain.

Considérant que la discussion était close, tu te reconcentras sur ton téléphone. Mais il n'avait visiblement pas la même perception que toi puisqu'il reprit :

- Une jolie fille comme toi, je m'en doute. Mais on n'est pas obligés de lui dire, tu sais, dit-il en s'asseyant en face de toi sans même te demander.

Il te fit un petit clin d'œil, pensant sûrement que ça allait te faire craquer, mais tu restas stoïque devant sa tentative.

- Sérieusement, arrête. Ça ne sert à rien, je n'ai aucune intention de le tromper. Alors fous-moi la paix, tu veux ?

- Eh Bella, t'énerve pas !

- Je ne m'énerve pas. Juste, dégage.

Il tenta une approche, posant sa main sur la tienne. Mais tu l'enlevas aussitôt, en profitant pour lui décocher une gifle bien méritée. Le bruit de ta main sur sa joue retentit dans tout l'étage.

Satisfaite, tu te rappuyas contre le dossier de ta chaise mais aperçus une silhouette du coin de l'œil. Jetant un coup d'œil dans sa direction, tu reconnus Peter qui t'observait, les mains dans les poches et le regard soucieux. Tu te levas alors mais il fit demi-tour, s'en allant. Tu récupéras tes affaires et lui courus après, laissant le séducteur du dimanche en plan.

Tu le rattrapas dehors, lui coupant la route pour l'arrêter.

- Pete ! Qu'est-ce que tu fais ?

- C'est qui ce type ?

- J'en sais rien !

- Il vient te parler, tranquille ?!

- Pete, enfin !

Énervé, il détourna les yeux. Mais ne l'entendant pas de cette oreille, tu pris son menton entre deux doigts pour le forcer à te regarder dans les yeux.

- Pete, tu m'as bien vu, non ? Je m'en fous de ce type, je l'ai repoussé !

Il ne répondit pas mais continuait à te regarder, peut-être un peu plus convaincu qu'avant.

- Pete... Pourquoi t'es jaloux, comme ça ? Je t'aime, tu n'as aucune raison d'avoir peur, voulus-tu le rassurer en prenant ses mains dans les tiennes.

Peter serra tes mains dans les siennes en haussant les épaules, fuyant ton regard.

- J'ai peur de te perdre, répondit-il simplement.

- Mais pourquoi ?

- Parce que je n'ai aucune idée de la raison pour laquelle tu es avec moi.

Stupéfaite, tu mis quelques secondes à reprendre tes esprits.

- Pete... murmuras-tu.

Tu vins poser tes mains sur ses joues et rapprochas ton visage du sien pour lui dire sur le ton de la confidence :

- Je t'aime Peter. Parce que tu es adorable, gentil, beau, généreux, honnête, prévenant, et tellement d'autres qualités que si je devais les citer toutes, on serait encore là le week-end prochain.

Tes compliments le laissèrent stoïque. Parce qu'en plus de toutes les qualités que tu avais cité, Peter était modeste au possible, et était toujours surpris qu'on pense autant de bien de lui.

- Tu n'as aucune raison d'être jaloux, Peter. Je t'aime comme une folle et crois-moi, ce n'est pas près de changer.

Il t'accorda un petit sourire, ému. Tu vins déposer tes lèvres sur les siennes et il te rendit rapidement le baiser, puis te serra fortement contre lui, nichant son visage dans ton épaule.

- Je t'aime, T/P... murmura-t-il.

- Moi aussi je t'aime, Pete.

Et voilà pour Peter ! 🕷🕸

Ça vous a plu ?

La prochaine sur Tony ! 😊