The Belial's echelon [en correction]

Serve un grande servizio, signore

J'adorais l'Italie !
J'avais toujours voulu y mettre les pieds et voilà qu'aujourd'hui c'était comme un rêve qui se réalisait.
En plus mes deux gamins présents. J'étais la personne la plus heureuse qui soit à ce moment précis.
Dès que nous sommes descendus du jet, nous sommes montés dans une limousine qui apparemment nous attendait. Nous avons été conduit dans l'un de ces hôtels neuf étoiles comme on en voyait rarement dans le monde. Belial était devenu nettement plus agaçant depuis son retour.
Il me semblait que quelque chose avait changé en lui.
Son orgueil était aussi gros que la tête d'un Teletubbies.
On aurait dit qu'il se sentait capable d'affronter le ciel à lui tout seul.
En plus de ces changements comportementaux, j'avais également constaté qu'il avait l'air bien plus fort que la veille. Cependant je me refusais de croire que c'est ce brusque gain de puissance qui l'avait transformé en ce sens. Mais ça c'était son problème à lui pour ainsi dire.
Nous avons été logés dans une suite VIP, là où les présidents et les rois comme le très richissime Roi d'Arabie Saoudite étaient logés quand ils leur arrivait de passer dans le coin. Tout ce luxe au frais de Mr Toivonen. Belial prenait à ses frais toute les dépenses lors de mes déplacements à l'international.
Quel chic patron il faisait !
Mais tout ce luxe ne devait pas me détourner de la véritable raison pour laquelle j'étais venu jusqu'ici ; retrouver Lindlton.
Apparemment ils avaient déjà localisé la position de Clark.
Asmodée et Astaroth était en ce moment en train d'aller le secourir des griffes de ses ravisseurs.
Pour éviter tout cas de récidive il valait mieux que l'on retrouve et neutralise Lindlton.
J'avais donc commencé à chercher un réseau de cambriolage dès le lendemain matin.
Je ne m'en faisais pas pour les petits puisqu'il étaient entre de très bonnes mains. La garderie de l'hôtel ! Une première ! il fallait dire qu'il avaient vraiment pensé à tout ces italiens !
J'ai eu vent qu'il existait un type capable de me mettre en contact avec l'un des plus grand imitateur de pièce de collection au monde. «Si ce n'est le !» m'a t-il très exactement précisé.
Il traînerait à priori dans l'un des casino les plus emblématiques d'Italie ; le San Remo, tous les mardis soir. Ça tombe bien nous étions mardi, ce qui signifiait que dès ce soir il devrait normalement s'y rendre si mes sources étaient avérés.
Je suis alors rentré à mon hôtel me préparer pour une soirée très particulière. Je n'étais jamais allé dans un casino. Je n'avais même jamais pensé à y aller un jour.
Mais comme le proverbe le disait si bien «Dans la vie tout ne se passe pas forcément comme on le prévoit».
Mais ce n'était pas une si mauvaise chose tout compte fait.
En particulier pour une personne comme moi qui de son vivant désir tout expérimenter.
Ça allait être une merveilleuse expérience !
Encore une fois je ne savais pas comment m'habiller pour me rendre à l'endroit où j'étais supposé allé.
J'ai alors une nouvelle fois demandé les services de mademoiselle Winters.
Elle me conseilla un pantalon blanc en tissue de soie, une chemise blanche avec sous les cols un noeud papillon noir. Et pour couronner le tout une veste blanche avec des bordures noires. Elle me conseilla des chaussures en peau de crocodile teinte en noires.
Ça existait ça ? J'aimais bien quand-même, même que j'adorais les conseil vestimentaire qu'elle me donnait. Mais cette fois-ci je n'étais pas chez moi. Où allais-je bien pouvoir trouver tout cela ?
J'allais devoir aller faire les courses. J'allais sortir de ma chambre quand Belial me conseilla simplement d'envoyer un des coursier de l'hôtel. J'ignorais qu'ils payaient des gens pour faire les courses de leurs clients mais maintenant que je le savais je trouvais que c'était une excellente idée. J'avais beaucoup d'appréhension sur le «Est-ce qu'il allait réussir à trouver tout ce que je lui ai demandé ?». Surtout qu'il avait mit un certains temps et que s'il ne trouvait pas tout ce que je lui avais demandé, je n'aurais probablement pas le temps d'aller chercher moi-même. Heureusement qu'il avait fini par tout avoir !

Coursier -Je vous prie de bien vouloir excuser tout le temps mis monsieur mais c'est que j'ai vraiment eu beaucoup de mal à trouver les chaussures que vous m'avez demandé d'acheter. J'ai finalement pu les trouver dans une autre ville monsieur, m'expliquait le coursier.