Charlie

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///!!!!\\\ Ce chapitre contient des scènes explicites, je suis consciente de ce que j'écris pas de ce que vous lisez ///!!!!\\\

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- C'est toi qui commandes Charlie.  Je rougis de plaisir.

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Il prend d'assaut ma bouche avec un entrain et une sauvagerie jusqu'alors inconnus.

Et je n'en démords pas.

- Maintenant. Soupirais-je.

Il me répond, son souffle chaud, et légèrement alcoolisé, caressant mes lèvres gonflées d'être tant, et agréablement, martyrisées.

- Tout ce que tu voudras bébé.

Je soupire, le « bébé » me fait rougir, non de honte, mais de plaisir brut et intense.

J'accepte sans rechigner, je souris même entre ses lèvres.

Je me relève légèrement, et il place son sexe contre le mien. C'est là que les choses deviennent vraiment intéressantes.

Je suis tellement mouillée ! Je n'ai pas le temps pour la douceur, ou la délicatesse.

Il me maintient les hanches, et je l'enfonce, avec un soulagement effrayant, au fond de moi.

Bonté divine.

Ma tête sur son épaule, je lâche un puissant soupir, et je l'entends grogner. Sa main gauche prend ma nuque et me caresse les cheveux, et sa bouche vient torturer mon lobe d'oreille. Je suis atterrée de sentir que j'adore totalement ce geste. Moi qui ai toujours détesté que l'on me touche au-delà du cou, et même que l'on me touche tout court. Mais les oreilles ont toujours été le pire, Alors que là, j'adhère complètement.

Je roule des hanches, les soulèvent, et je sens son corps se tendre, je sens nos respirations saccadées devenir chaotiques.

Il va et vient en moi, en soupirant mon nom autant de fois que je soupire le sien. Je flotte littéralement entre ses bras. Je sens mon vagin palpiter de plaisir, mes seins devenir lourds, mon ventre se tendre comme une arbalète, et ma peau frissonner sous ses doigts.

Absolument tout à cet instant me fait exploser de plaisir.

J'ai toujours préféré être au-dessus pendant l'acte, mais là, sur lui, sur Enzo... C'est encore mieux.

Je domine, tout en me laissant dominée par ses caresses.

Je n'avais jamais ressenti ça. Jamais. C'est si passionné, si...intense...

Ma respiration se bloque, mes veines bouillonnent, ma tête divague, et mon cœur cesse de battre. Les ongles plantés dans son dos, les dents contre la peau de son épaule, je jouis en murmurant son nom.

- Enzo...

Il me rejoint en un ou deux va-et-vient, et souffle mon nom.

- Charlie...

Je reste molle sur lui, et il se laisse aller contre le lit.

Bon sang, c'était génial. La meilleure baise de tous les temps.

Mais qu'est-ce qu'on venait de faire ?

Mon cerveau ne semble pas d'humeur à la réflexion. Tant pis. Les remords, ce sera pour demain.

Enzo me fait délicatement rouler sur le côté, et nous nous faisons face, là, allongés sur mon lit, et complètement nus.

Je scrute le moindre détail de sa peau, les moindres contours de son anatomie incroyablement bien fournie. Un régal pour les yeux, je dois bien l'admettre.