Charlie

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Helloo les Charliers ! Et voilà le chapitre tant attendu, un peu déroutant je vous l'accorde, mais vous verrez de vous même ! Il faut que je vous sollicite aujourd'hui, et j'aurai besoin d'un MAX de RÉPONSES  de votre part alors : JOUEZ LE JEU !! 

Ayant réécrit le prologue, je vais publier la deuxième version que j'ai raccourcie, qui sera disponible au tout début de l'histoire,  à la suite du premier, et vous allez voter pour sauvegarder L'UN OU L'AUTRE ! J'ai besoin de vous les ami(e)s ! 

A vos claviers !

PS : J'en profite pour réviser un peu le casting et je ne sais pas si je préférerais Daniel Sharman en Thomas finalement, car pour Enzo, ça me travaille depuis un moment mais j'ai une vision un peu différente maintenant de mon personnage, dites moi ce que vous en dites en coms et je verrai !

-M-

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-Wow, ça va ? Me demande-t-on.

Des cheveux noirs toujours en bataille, des yeux bruns, on pourrait croire que je viens de tamponner un corbeau. Merde, je viens de me prendre Thomas en pleine face.

-Ouais, merci. Et désolée.

Il me relâche doucement, et je retrouve un équilibre assez correct pour rester debout.

-Pas de problème. T'es pressée ?

Je le regarde bizarrement, j'en ai conscience, mais pourquoi est-ce que je n'ai pas remarqué plus tôt que Thomas a les yeux noirs ? Ça me perturbe autant que ça me fascine, ils sont vraiment plus sombres que ce que je pensais !

-Oui, enfin non. Je rentre juste chez moi.

Il redresse la bandoulière de son sac sur son épaule, avant de répondre.

-Oh, ok. Est-ce que tu veux... enfin, t'as fini les cours et moi aussi, tu veux qu'on aille boire un café ?

Je reste surprise, non, bouche bée. Il me demande d'aller boire un café ? Pour de vrai ?

Je ne veux pas passer pour une folle, mais Thomas est...bizarre. Et pas très bavard qui plus est. Je ne vois pas ce qu'on pourrait se dire devant un café.

Mais il serre la mâchoire et je me sens coupable, même s'il n'est pas bavard, il est sympa, on a déjà parlé quelques fois, ou échanger quelques mots du moins. Peut-être que je peux être une personne gentille pour une fois ? Et au lieu de rentrer me morfondre, parler avec quelqu'un de totalement neutre pourrait être bénéfique, non ?

-Laisse tomber, j'ai des trucs à faire et...S'empresse-t-il de me dire, mais je le coupe avant qu'il ait fini sa phrase.

-J'allais accepter, Thomas.

Il me scrute, perplexe.

-Oh.

C'est le seul son qui sort de sa bouche.

-Tu veux qu'on aille où ? Je lui demande.

Il hausse les épaules, et se détend.

-Il y a un café à deux pas d'ici. Répond-t-il.

-Parfait.

C'est un peu étrange, et nous restons muets jusque devant la devanture dudit café. Je suis un peu mal à l'aise, et son stoïcisme me perturbe vraiment. Nous nous installons à une table, et il prend enfin la parole.

-ça ne te dérange pas, d'être ici, hein ?

J'aimerai lui dire que ce qui me dérange c'est que c'est bizarre, mais je secoue la tête en lui affirmant que non.