Pdv Dimitri:
Je suis en train de conduire vers l'hôpital, mon petit-ami secret à mes côtés. Je le vois mal, et ça me fais de la peine alors je veux le réconforter.
- Tu sais chou, tu n'est pas obliger de lui dire pour nous. Je ne te force à rien! Je sais que c'est dur pour toi.
- Je sais mais je veux lui dire avant qu'elle parte. Je veux qu'elle s'en aille en sachant que je suis heureux, dit-il en laissant couler une ou deux larmes.
- En tout cas sache que je te suivrai peu importe ton choix, et que je t'aime, plus que tout, lui assurai-je en sa main dans la mienne.
- Je sais merci. Je taime Dimitri, vraiment!
Et c'est en se tenant la main quon arrive à l'hôpital. On se dirige vers la dame de l'accueil et c'est Granit qui prend la parole.
- Bonjour. J'aimerai voir la patiente de la chambre 537 s'il vous plaît.
- Bien sûr, il vous faut juste remplir quelques fiche par sécurité.
Et à peine cinq minutes plus tard, on se tient devant la porte.
- T'es sur de toi? Tu ne regrettera pas après?
- Non. Je taime et elle doit le savoir. Je sais qu'elle sera heureuse de le savoir. Et je te rappelle qu'on va vivre ses derniers souffles. C'est trop important.
- Je te fais confiance, repondi-je en l'embrassant.
Je sens bien qu'il retient ses larmes. Il ne veux pas qu'elle le voit faible. Il inspire un grand coup et toque trois fois à la porte avant d'entrer. Je le sens se tendre à la vision qu'il a.
- Bonjour maman.
Voir sa mère comme ça le rend vraiment mal. Elle est allongée sur un lit d'hôpital, branchée à plusieurs machines et a l'air mourante, ce qui est le cas. Mais malgré tout, elle garde le sourire. J'ai toujours admirer cette femme pour son optimisme, elle voit toujours le positif.
- Bonjour mon chéri. Comment tu vas?
- Ça peut aller. Mais c'est à toi qu'il faut poser la question.
- Moi je ne pourrai pas être plus heureuse à l'idée que mon fils soit là pour moi jusqu'au bout de ma vie. Je sais que d'ici deux petites heures tout sera fini, mais je sais que ce qui m'attends après sera parfait. Et je suis sûre que tu passera cette épreuve de la vie avec courage, comme toujours.
- Je ne suis pas seul! Il y a Dimitri avec moi.
- Bonjour Carole.
- Comment vas tu Dimitri?
- Je suis très triste pour vous parce que vous êtes comme ma deuxième mère, mais si vous vous ne vous sentez pas mal, alors je vais bien.
- Ne t'en fais pas pour moi. Et moi ça me fais très plaisir que tu accompagne Granit. Depuis déjà très jeunes, j'ai l'impression que vous comme des frères. Je me rappèlerai toujours le jour où tu es arrivé en tenant la main de Dimitri. Vous aviez à peine quinze ans. Au début j'ai cru que vous sortiez ensemble mais vous n'étiez que meilleurs amis
.
Mon amant me regarde, comme paniqué. Je décide de prendre la parole pour qu'il n'y ai pas de blanc.- Je me suis toujours senti chez moi dans votre famille et je ne vous en remercierai jamais assez Carole!
- Oh que si que tu m'a remercié. Rien qu'en venant ici aujourd'hui. Bon changeons de sujet! Comment ça se passe dans vos clubs?
On a commencé à parler de foot pendant une bonne demi-heure mais Granit ne parle pas beaucoup. Je sais qu'il est stressé à l'idée de dire à sa mère que nous sommes en couple depuis déjà dix mois. Mais je parle assez pour occuper Carole.
VOUS LISEZ
OS foot CH
Short StoryC'est un recueil d'os foot. Il y en aura avec des joueurs suisses, avec d'autres joueurs et aussi un peu avec des pilotes de formule 1. Homophobes, dehors.