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Charles Leclerc x Lewis Hamilton: "Parti pour sa passion"

RIP Antoine!!!
Accident tragique qui prouve et rappelle à tous les fans de F1 qu'il ne faut JAMAIS oublier que chaque pilote risque sa vie à chaque course, chaque qualification, chaque essais. Ils le font par passion et par envie et sont conscients des risques. Mais nous, spectateurs, nous ne nous rendons pas vraiment compte du danger qu'ils prennent à chaque fois, pour eux, pour leur passion, mais aussi pour nous, pour nous offrir du spectacle. Ne l'oublions pas et il fait être reconnaissants envers tous ces pilotes. Respects à vous TOUS, F1 F2 F3... tous mélangés. MERCI.
Sinon, sur une note plus positive, j'adore vraiment ce ship, même si mon pilote préféré est Lando Norris. Et je vais réutiliser le groupe d'amis que j'avais créer dans le chapitre sur Lando et Charles parce que je l'adore! On fera genre qu'ils ne sont jamais sortis ensemble;) Voilà je vous laisse avec le chapitre!<3
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Pdv Charles:

D'habitude je regarde la course de F2, pour soutenir mon frère et mon ami d'enfance, Antoine Hubert. Mais aujourd'hui j'ai une réunion pour la seconde moitié de saison. Ça me fait clairement chier mais il faut y passer, pas le choix c'est important.

A la fin de la réunion, un mécano qui n'a pas participer à la réunion puisqu'il ne fait pas parti des chefs arrive et glisse un mot à mon directeur stratégique. Celui ci prend un air grave et a l'air mal à l'aise.

- Bien, c'est la fin de la réunion, merci d'être venu.

Tout le monde se lève pour partir. Je fais de même mais me fais arrêter.

- Non Charles, reste avec moi encore cinq minutes.

Je me rassois, perplexe. Vu la tête qu'il tire, je m'attends au pire. Genre que je ne vais pas pouvoir participer à la course à cause d'un problème à la voiture ou encore que mon frère est blessé.

- Je... j'ai une mauvaise nouvelle pour toi. Ça concerne la course de F2.

Premier réflexe:

- Mon frère va bien?

- Oui ton frère va bien. Mais c'est Antoine.

Mon cœur commence à battre la chamade. Je me demande ce qu'il a pu se passer et j'espère que ce n'est rien de trop grave.

- Il... il a eu un choc violent ce matin contre le mur puis contre un autre coureur.

Je stress. Ma respiration se saccade. J'ai peur.

- Il n'a pas survécu...

Tout s'écroule. Plus rien existe autour de moi, juste du vide. J'essaie de me rendre compte des mots qu'on vient de me dire mais je n'arrive pas à réaliser. Ça ne peut pas être vrai. Il ne peut pas être mort.

Je crois qu'il est parti sans un mot pour me laisser seul mais je n'en ai pas la certitude. Rien n'est plus sûr.

Quelqu'un pose sa main sur mon épaule, ce qui me sors de mon trouble. Je me retrouve et trouve Lewis debout devant moi, dans le stand Ferrari, avec une tête triste et inquiète. Je ne parle pas, je n'y arrive pas.

- Aller viens. On rentre à l'hôtel.

Il me tire de ma chaise, tout en douceur. Je le suis, machinalement. Il a passé un bras sur mon épaule pour me soutenir. J'avance sans vraiment y prêter attention. Je ne suis plus maître de moi-même.

Arrivé dans ce que je croit reconnaître comme être notre chambre, il me pose délicatement sur le lit. Et à ce moment précis, je me rends réellement compte de la situation: je viens de perdre l'un de mes amis d'enfance que j'aime énormément.

Et je craque. Je pleure comme j'ai rarement pleuré. La dernière fois c'était à la mort de mon père. Et ça fais mal, très mal. Je me sens vide de tout. Je ne veux rien faire si ce n'est que pleurer.