Alvaro Morata x David De Gea: "Tu m'agace j'te jure"

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Ceci est un os humour mais avant j'ai un service à vous demander. J'aimerai que vous aillez signaler en masse les deux personnes que je vais vous présenter car j'ai trouver leurs commentaires complètement inappropriés et je ne veux pas de haine dans mon recueil. Merci d'avance ça en aidera plus d'un.

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Voilà merci de me lire et j'attends vos retours sur mon travail et non mon Non-travail

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Voilà merci de me lire et j'attends vos retours sur mon travail et non mon Non-travail. Merci et bonne lecture <3
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Pdv David:

Enfin. On arrive à la marina ou nous louons un voilier pour une semaine. C'est notre escapade à nous deux. En plus nous avons prit un skipper entant donner qu'aucun de nous deux ne sais naviguer.

Je dis enfin parce que pour arriver ici ça a été laborieux. En même temps, je ne suis pas aidé vu le petit ami que je me coltine. Il a fait tellement de gaffe aujourd'hui c'est incroyable. Il en fait tout le temps mais je ne savais pas qu'il pouvait en faire plus que d'habitude. Mais apparement si.

Gaffe numéro une, la valise dans le taxi. C'est espèce de génie s'est rendu compte qu'il avait oublié sa valise dans le taxi une fois seulement quand on est arrivé au desk pour enregistrer nos bagages. Il a donc fallu appeler le taxi pour qu'il nous amène au plus vite sa valise. Ça nous a quand même valu vingt euro puisqu'il a fallu payer la course supplémentaire.

Gaffe numéro deux, le café. Une fois le baggage retrouvé et la douane passée, on a décidé de s'arrêter prendre un café au salon business puisqu'il nous restais encore un peu de temps. Mais évidemment c'était sans compter l'adresse légendaire d'Alvaro qui a renversé l'entièreté de son café sur lui. Le voilà donc avec des habit trempé et puant le café froid.

Gaffe numéro trois, le taxi. Arrivés à l'aéroport de Split, en Croatie, on devait nous rendre à une petite ville à côté de Split. On devait donc prendre un taxi pour nous y rendre. Monsieur a voulu gérer ça tout seul, et vu que je suis gentil et un peu con, je l'ai laissé faire. Grosse erreur puisque cet imbécile n'a pas du tout compris ce qu'a dit le chauffeur puisqu'il parle très mal anglais. On s'est donc retrouver au centre ville de Split, à une heure de la où on devait être.

Enfin bref, on y est et c'est ce qui compte. On rencontre notre skipper pour la première fois. C'est un beau jeune homme de 27 ans qui s'appelle Antonio. Il est assez fin mais bien musclé quand même. Et en plus il est vraiment hyper sympa et il parle l'anglais à la perfection. Que demander de plus.

Ayant pris un voilier de 54 pied, Antonio va de temps en temps avoir besoin de notre aide , pour amarrer ou jeter l'encre par exemple. Mais autant Alvaro que moi, nous sommes prêts à l'aider et à faire ce qu'il nous demande. Il faut toujours obéir au skipper, première règle de navigation.

On est maintenant partis du port et on arrive à une petite baie pas très loin pour y passer la nuit. C'est vraiment magnifique. On va dormir à l'encre, en pleine nature, seuls. Tout ce dont je rêvais en venant ici.

Antonio nous dit qu'il a besoin de quelqu'un pour mettre l'encre à l'eau et Alvaro veux absolument y aller. En fait pour vous expliquer, pour mettre l'encre à l'eau il faut ouvrir une sorte de trappe et il y a une télécommande dedans pour monter et descendre l'encre. C'est ce que mon petit copain fait.

Mais il n'a pas anticipé le fait qu'avec le vent, la trappe se ferme toute seule. Et il n'a évidemment pas mis son pied au bon endroit et la trappe s'est refermée de tout son poids sur son pied.

- AAAAAAAAAAAAHH. PUTAIN!!!

- Arrête de gueule et viens la que je te désinfecte.

- Mais ça fait maleuuuuuuuuuh.

- Je sais je sais. N'empêche que t'aurai pu faire gaffe.

- Oui bah j'ai pas regardé ou j'ai mis mon pied c'est tout.

- Bah n'empêche que maintenant tu te retrouve avec une belle grosse plaie. Tu m'agace j'te jure.

- Oh ça va hein. Ça peut arriver à tout le monde.

- Mais oui. Bon maintenant tu va rester assis là et tu ne bouge plus jusqu'à ce soir, t'as fait assez de conneries pour aujourd'hui.

- Gneugneugneu.

- Garmin va.

- Bon ta gueule et va continuer de mettre l'encre y'a Antonio qui attends et moi je peux plus marcher.

- C'est bon j'y vais calme toi.

En descendant l'encre je me suis que j'avais vraiment un empoté à la place d'un petit ami. Mais c'était mon empoté à moi, et rien qu'à moi.
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Chapitre très court désolée mais je devais parler de cette atroce douleur que j'ai ressenti à ce moment là. Parce que oui c'est ce qui m'est arrivée:)
Voilà bisous <3

OS foot CHOù les histoires vivent. Découvrez maintenant