Marco Reus x Toni Kroos: "Laissez moi partir!"

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*le match est fictif!!!*
Pdv Marco:
25 mai 2019

On vient de perdre 3-0 contre le Barça. Je suis vraiment déçu et contrarié. Ce n'est pas un match important mais quand même, j'aime pas perdre. Mes coéquipiers, eux, s'en foutent royalement. On dirait presque qu'on a fait match nul pour eux.

Ils partent tous en direction du bus pour aller à l'hôtel. Je me retrouve donc seul quelques seconde avant de moi aussi prendre mes affaires et me diriger vers la porte. Si j'avais su ce que me coûterai ces quelques secondes...

Alors que je m'apprête à me retourner pour faire face à la porte, celle-ci s'ouvre sur deux joueurs que je  reconnais immédiatement: Vidal et Rakitic. Je vois dans leurs regards une pointe de pitié mais surtout énormément de méchanceté et de moquerie. Je ne me suis jamais entendu avec eux deux. Ça me fait peur.

- Alors la ptite pute allemande? On a perdu?

- M'appelle la pute Vidal.

- Sinon quoi? Tu va aller tout dire à Mario? Ouh j'ai peur!

- Et puis Vidal a raison. Tu vas devenir notre pute. Mais dommage pour toi, tu ne sera pas payer.

Je comprends alors se qu'ils veulent faire. Je me fige immédiatement et me recule le plus loin possible. Je suis terrorisé à l'idée qu'ils aient au bout de leurs actes.

- Vous allez pas le faire quand même?

- On va se gêner tiens.

- Nan! Nan s'il vous plaît faites pas ça!

- Oh! Comme c'est mignon. La ptite pute à peur. Dis moi Arturo, par quoi on commence?

Je vois le chilien se déboutonner le jean avant de sortir son membre. Non je ne peux pas. Je ne veux pas qu'il me touche ou quoique se soit d'autre.

- Suce moi.

- Non! Laissez moi partir!

- La porte est bloquée par une chaise. Tu pourras pas t'enfuir l'allemande.

- Je vous en supplie laissez moi partir!

Ma voix se brise et je commence à avoir les larmes qui me montent aux yeux. Je voudrai m'enfuir mais je suis bloqué entre eux et le mur, à l'opposé de la porte.

- SUCE!!!

- Nan s'il vous plaît!!

- Ivan met le à genoux et tiens le.

Le blond s'approche de moi. J'essaye de tendre les bras pour le repousser mais il me les attrape et les passent dans mon dos. Je ne sais pas si c'est la peur mais je n'ai plus aucune force. Il m'agenouille avec force et me traîne jusqu'à Vidal. J'arrive pas à croire qu'ils vont m'obliger à ça. Ces gars sont des monstres.

- Ouvre la bouche.

J'essaye de résister mais Ivan m'ouvre la bouche de force et Arturo n'attends pas une seconde avant de rentrer son membre dans ma bouche. Il me la baise ensuite violemment jusqu'à venir dans ma bouche.

- T'es trop bonne la pute.

J'ai une énorme envie de vomir. Et je l'aurai bien fait sur lui mais je sais qu'ils m'auraient encore plus de mal sinon.

- A moi de m'amuser maintenant.

Quand je vois Ivan se déshabiller complètement je crains le pire. Mais le pire c'est quand Arturo me soulève pour me déshabiller moi entièrement. Et malgré tous mes mouvements pour tenter de les en empêcher, ils y sont arrivé à deux. Moi voilà donc entièrement nu devant deux personnes qui ne sont là que pour me violer et me faire du mal. Les larmes coulent d'elles même, sans sanglots.

- Arrête de pleurer sale chienne.

Vidal me remets debout, face au mur, dos à Rakitic. J'ai peur. Les quelques secondes semblent des heures quand soudain Ivan me pénètre entièrement et extrêmement violemment. Je hurle come je ne l'ai jamais fait auparavant. Il enchaîne les coups de reins bestiaux sans me laisser le temps de m'habituer.

J'ai mal comme je n'ai jamais eu mal. Et en même temps ça me dégoûte au plus haut point. Je me sens soudain l'envie de vomir. Je tourne ma tête pour le faire. Mais ça n'empêche pas Ivan de continuer, ça fait même rire Vidal. Un torrent de larmes coulent sur mes joues quand il me vient une idée. Peut-être qu'il y a encore des gens dans l'enceinte et qu'on pourrait m'entendre.

- A l'aide! Aidez moi!

- Tu crie pour rien salope. Tout le monde est parti. Et aucun de tes potes ne viendra te chercher.

Soudain la porte s'ouvre. Oui nan mais parce que enfaite ils ont bloqué la porte du mauvais côté. Mario. Mon sauveur.

Mais il n'a pas du tout la réaction que j'attendais. Quand il nous a vu, il a refermer la porte et il n'est pas revenu.

- MARIO! MAAAARIIIOOOOO!

Mes cris sont inutile. Il ne revient pas. Je pleure encore plus qu'avant en voyant mon ami partir. Mais au moins, Ivan est sorti de moi et il se rhabille en vitesse, tout comme Arturo.

- Putain mec on s'est fait griller!

- Merci j'avais pas remarqué connard. Faut qu'on se tire Arturo!

- Attends.

Vidal se dirige vers moi.

- Qu'on soit bien clair l'allemande. Toi et ton pote vous ne direz rien à qui que se soit. Sinon on vous tue, vous et vous femmes et maris. Et t'inquiète pas qu'on en a les moyen.

J'hoche faiblement la tête. Mais quand ils ouvrent la porte pour sortir, ils se font assommer pas Mario et Axel. Ces derniers se dirigent ensuite vers moi en courant.

Je suis assis sur le sol, nu, tremblant et pleurant. Mario me prends délicatement dans ses bras alors qu'Axel se sait pas trop ou se mettre. Mais je suis incapable de bouger ou de parler, juste de pleurer.

Je suis mort de honte. Je me retrouve nu, devant mon meilleur ami et un de mes amis proches, à pleurer sans bouger. J'ai honte de ce qu'ils m'ont fait. J'ai l'impression d'avoir trahi Toni, mon mari depuis trois ans. Jai l'impression d'être quelqu'un de faible et je n'aime pas ça. Je me sens sale. Comme si ce qu'il vient de se passer a sali ma personne.

Mario et Axel me relèvent et m'assoient sur un banc. Ils me rhabillent délicatement, en faisant attention de ne pas me brusquer.

- Ca va frère?

- Mario! T'es con ou quoi? Ça peut pas aller!

- Ouais c'est vrai. Va falloir en parler Marco. Tu peux pas les laisser faire.

- Je... on... on peut pas...

- Il le faut!

- Non... ils nous tueront, entraînant ta femme et Toni avec! Je... Toni n'y est pour rien et vous non plus, je veux pas vous tuer.

- Ils bluffent.

- Non je ne pense pas. Mario t'as bien vu ce qu'ils ont fait à Marco! Ils sont capables de tout mec!

- Je peux pas vous tuer...

- Bon Marco calme toi, d'accord... Ça va aller!

- Dites rien à Toni, s'il vous plaît... J'ai besoin de lui...
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Os en deux parties.
Il m'a prit vraiment beaucoup de temps à écrire et c'était vraiment dur d'essayer de retranscrire une émotion que je n'ai pas vécu personnellement. Mais je trouvais important de parler de ce sujet.
C'est pourquoi j'attends particulièrement votre soutien sur cet os, surtout dans les commentaires.
Gros bisous <3

OS foot CHOù les histoires vivent. Découvrez maintenant