Charles Leclerc est un pilote de formule 1 qui vient d'arriver chez Ferrari au début de la saison. Il est dans l'ombre totale de Vettel. Ce chapitre prend beaucoup de références au grand prix de dimanche passé, à Shanghai.
Si jamais j'aime aussi beaucoup la formule 1 donc il y aura sûrement quelques autres chapitres avec des pilotes.
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Pdv Paul:Je suis rentré dans notre suite d'hôtel à Shanghai. Charles avant un grand prix aujourd'hui et comme je n'avais pas de match, je suis venu le retrouver hier. Mais vu comment ça s'est passer, je m'attends à tout, aux insultes et aux cris.
Je suis rentré avant lui puisque son dirigeant a voulu lui parler, et je pense pas qu'il voulait lui dire des mots gentils. Je sais qu'il sera très énervé mais je suis prêt à le calmer. J'entends la porte s'ouvrir, puis claquer.
- Putain de merde!
- Aller viens là et dis moi tout, dis-je en tapant sur le lit.
- J'en ai tellement marre!, dit-il en s'asseyant à côté de moi.
- Je sais.
- Non mais sérieux, pourquoi se serai toujours à ce connard de Vettel de gagner et de me passer devant. Il a plus d'expérience peut-être mais c'est pas une raison.
- Je te comprends. Mais c'est une de ses dernières années et après la star ce sera toi.
- Pas si sur. Ce mec, tant qu'il pourra me faire chier il le fera, croit moi!
- Mais il peut pas être si terrible que ça non?
- Mais tu rends pas compte. Je suis caché derrière son ombre et je n'ai aucune reconnaissance. Mais si c'était que ça se serai moins pire, mais là il va plus loin cet enfoiré. Même hors du circuit c'est un vrai connard avec moi. Il me régresse toujours, viens toujours vers moi pour me dire que je suis qu'une merde qui atteindra jamais son niveau, que je mérite pas ma place chez Ferrari. Et c'est pas tout...
- Il y a quoi de plus?
- Je peux pas le dire.
- Chéri tu sais qu'il faut que tu me parle sinon je pourrais jamais t'aider.
- Je sais mais je dois pas.
- Fait moi confiance, je suis la pour toi.
- Il...il m'a déjà menacer. Et le pire c'est qu'il ne me menaçais pas directement mais...mais il voulais s'en prendre à toi si je le laissais pas devant. Alors j'ai eu peur et je l'ai fait.
- Attends comment il sait pour nous?
- Il m'a vu une fois quand je t'envoyais un message.
- Il t'a menacé quand?
- Au Grand Prix en Australie, le premier de la saison. J'ai eu tellement peur qu'il s'en prenne à toi.
- Il ne pourra jamais rien me faire chou, il a aucune chance. Et ce qu'il te dit c'est juste des paroles pour lui permettre de gagner, mais jamais il aurait oser m'attaquer.
- Je sais pas. Tu sais avec cet enculé on sait jamais.
- Mais et les dirigeants? Ils disent rien?
- Bah déjà ils savent pas et même, ils s'en battrait royalement les couilles. Vettel c'est leur chouchou, leur expérimenté, le valeur sure comme ils disent. Alors que moi je suis juste quelqu'un qui est là au cas où mais sinon, je sers à rien.
- Mais non, dit pas ça!
- Mais c'est vrai. T'as bien vu aujourd'hui, on a pas fait dix tours qu'on me dit de me pousser pour laisser passer Sebastian, parce que soit disant j'allais pas assez vite pour rattraper les Mercedes. Alors oui c'est vrai qu'ils étaient plus rapides que moi, mais on a bien vu après que Vettel allait pas plus vite.
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OS foot CH
Short StoryC'est un recueil d'os foot. Il y en aura avec des joueurs suisses, avec d'autres joueurs et aussi un peu avec des pilotes de formule 1. Homophobes, dehors.