Chapitre 92 : Non, c'est dangereux !

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Un soir, Ambre prit sa cousine Hermione, son cousin Harry et ses deux meilleurs amis Luna,, elle a finalement décidé (Luna) de venir, qu'Harry le veuille ou non. Harry avait protesté mais avait fini par accepter à contre cœur. Luna avait réussi à le faire céder, son argument principal, est qu'ainsi il pourra la protéger. Car Hogwarts, il faut le reconnaitre sera certainement incertain depuis la mort du directeur.  Et Draco à part dans sa chambre d'ami, non loin de la chambre d'Hermione. Les adultes eux discutent  dans le salon des Potter's. Elle les avait convié  dans sa chambre pour leur parler de leur mission. Celle de partir à la chasse aux Horcruxes.

Elle les fît assoir sur le lit,  pendant qu'elle prit place sur une chaise. Elle les fixa un par un puis prit la parole :

- Vous êtes sûr de vouloir venir  tous avec moi ? Vous pouvez toujours changer d'avis. Cela risque d'être dangereux, je ne sais pas ce qui nous attend. De plus il va falloir faire très attention à nous. Il nous faudra être sur  nos gardes. Il peut nous arriver n'importe quoi. Tout ce que je sais, c'est qu'il y a au moins le vrai médaillon en Horcruxe. Le reste des Horcruxes, je ne sais pas à quoi ils ressemblent  ni où ils sont. Ni même où est le véritable médaillon. Je ne sais pas non plus comment les détruire véritablement. Elle avait dit cela sans prendre de pause, sans reprendre son souffle.

Ils l'écoutèrent sans l'interrompre sans savoir que quelqu'un était en train de l'écouter aussi derrière la porte. Il ne pouvait  pas s'en empêcher après avoir entendu le mot dangereux sortir de sa bouche. L'homme en question fronça les sourcils à la suite de ses paroles. Il n'osa pas entrer et attendit la suite. De basse il était juste monté (c'est pas bien d'écouter aux portes Sevy Chou !)  pour aller la voir. La suite ne tarda pas à venir :

- On est conscients du danger qu'il pourrait y avoir cousine. On ne sait  pas non plus ce qui nous attend. Mais ont est prêt à se battre si il le faut. Les autres firent oui de la tête, montrant leur accord sur ce que disait Hermione. Celle ci continua sur sa lancée :

- On  fera attention à nous, à nous tous. On veillera à ce qu'il nous arrive rien. On  veillera les uns sur les autres et on s'entraidera. Ne t'en fais pas nous resterons sur nos gardes. On se doute que tu ne sais pas à quoi ils ressemblent ni où ils sont mais ont finira par le savoir. Ainsi que le vrai médaillon. Quant à comment les détruire, cela aussi ont le découvrira un jour... Je rajouterais quelque chose cousine. On a  toujours fait les quatre cent coups ensemble. Depuis le début de notre année scolaire, depuis nos onze ans. On a  toujours étaient là tout les cinq. Alors je ne vois pas pourquoi ça s'arrêterait. Et tu a besoin de nous Ambre. À nous cinq on sera plus fort. Un pour tous, tous pour rien comme disent les moldus  !

- Exactement ! S'exclamèrent les autres.

Ambre leur sourit faiblement avec un regard remplit de reconnaissance. Puis les prends dans ses bras en murmurant un faible "merci beaucoup" en ajoutant de faire attention à eux. Ils la serrèrent  très fort dans leurs bras. Ils ne disaient plus un seul  mot. La brune avait encore quelques questions pour eux mais pour le moment elle préféra profiter de cette étreinte collective. Tout à coup, un Severus visiblement en colère rentra en trombe dans la chambre d'ami prévue pour Ambre. Ils sursautèrent et la brune s'écarta vivement d'eux.

- Qu'es qu'il ne va pas mon ange ? L'interrogea, Ambre d'une voix douce.

- Ce qui ne va pas ?! J'ai tout entendu ! Et je te l'interdit. Je vous l'interdit à tout les cinq ! Ou alors je viens avec vous ! Se fâche, Severus. (Normal après hein!) 

"Qu'es que...Ah...merde...bon...bon sang, Ambre...Rassure le ! Calme toi surtout ne t'énerve pas ! Reste zennnnnnn. On verra les autres questions plus tard...mais je sais déjà quand partir. De toute façon j'ai déjà tout prévu. En attendant rassure Sev....Par Merlin pourquoi faut-il qu'il nous entende pile oú j'en parle ? Raaaah ! J'aurais dû attendre qu'ont soit partit ! Bon..ce n'est pas grave tant pis...maintenant, rassure le en restant zen. Zen attitude." (Trop moi mdr)

- Severus...Souffla-t-elle doucement.
- Pour commencer tu as des cours à tenir. Ensuite c'est une mission qui nous concernent. Pour finir je te jure que l'ont fera attention. On reviendra sains et saufs. Je te reviendrais mon prince. Je te reviendrais toujours. Quel que soit ce qui se passe. Fait moi confiance. Termine-t-elle en parlant calmement. Dans son discourt elle avait posé une main sur son bras.

Il s'était détendu, à sa voix calme et à sa main si douce posé sur son avant bras. Il plongea ses yeux Onyx dans ses yeux verts émeraudes la regardant avec tout l'amour qui lui porte.  Elle le regarde de la même façon. Prit d'une soudaine impulsion, il l'embrassa à pleine bouche en la serrant contre lui. Elle lui rend son baiser avec la même intensité, l'intensifie en l'embrassant à en perdre haleine. Tout en  le serrant contre elle à son tour. Ils voulaient en profiter avant qu'elle ne parte à la chasse aux Horcruxes. Il ne voulait toujours pas qu'elle parte mais lui faisait confiance. "Tu as intérêt à me revenir ma princesse."  Lui souffla-t-il au creux de son oreille après avoir rompu à contre cœur le baiser. Il lui caressa tendrement la joue, lui fait un baiser sur son front puis s'éclipsa de la chambre.

- On a eu chaud ! Soupire, Draco.

- Oui un peu plus et...La brune fût couper par sa tante Lily qui les appelles. 

Elle consulta les autres du regard, puis ils descendirent. En les voyant, la rousse les informa que le ministre était là et qu'il voulait les voir. Un peu inquiet, ils allèrent le voir. Celui ci les attendait dans le salon et avait demandé  aux adultes et aux autres "enfants" d'aller ailleurs. Ce qu'ils avaient fait. Il  leur ordonna de prendre place dans le canapé, en face de lui. Cela fait, il déroula un espèce de parchemin qui était en faite le testament d'Albus Dumbledore.

- Ceci est le testament d'Albus Perceval Wolfric, Brian, Dumbledore. Il vous a légué certaines choses. Déclara froidement, Srimgour. (pas très recommandable). 

Ils se regardèrent un bref instant mais ne disent rien, attendant la suite.

- À Draco Lucius Malfoy-Weasley. Je lui lègue mon déluminateur. (objet, qui "récupère la lumière et la rend)  Qui je l'espère lui sera utile. Le ministre tendit au blond un  genre  de briquet. Ce dernier le prend et le rangea dans sa poche de jean. Il l'essayera plus tard.

- À Luna Maria Black-Lovegood. Je lui remets  mon couteau spécial pour survivre, qui marche aussi bien qu'une baguette. Je suis sûr qu'elle en fera bon  usage. Continue, Scrimgour en tendant le dis couteau à la blonde qui le prit aussitôt avec un sourire rêveur. Elle le regarda un instant puis le plia. Cela devait être un couteau suisse et le mit elle aussi dans sa poche mais de veste.

- À Harry James Potter, je lui délègue mon phénix. Fumesek. En espérant qu'il s'en serve le moins possible mais qu'il sera là quand même au cas où. Le phénix, s'envola jusqu'au brun et se posa sur son épaule. Harry lui glissa un ordre à l'oreille. Fumesek le regarda en hochant la tête puis disparût. Le jeune Potter lui avait ordonné de les suivre à distance quand ils partirons. 

- À Hermione Jane Potter. Je lui donne mon livre sur les contes de Beedle le barde. J'espère qu'elle y trouvera dans ce bouquin, une bonne lecture. Comme avec les précédents, il lui tendit le livre. Elle le consulta du regard en le regardant de tout les côtés. Elle connaissait comme les quatre autres les histoires de ces comtes, étant donné  que sa tante Nymphadora et son oncle Remus, leur avait conté. Elle le rangea ensuite dans son sac  qu'elle avait gardé  autour du cou.

- Et enfin à Ambre Marie Lupin. Je lui laisse mon livre sur Merlin L'enchanteur qui j'espère lui permettra d'apprendre des choses. Et je lui rend son premier vif d'or qu'elle à attrapée à sa première année lors de son premier match de Quiddich. Le ministre lui donne le livre et le vif d'or qui les prend également se demandant pourquoi il lui avait légué ce livre mais elle y réfléchira plus tard. Pour le moment, elle les rangea tout deux dans son sac à main, l'ayant elle aussi autour de son cou.  Le testament se ferma tout seul par magie quand il eut fini.

L'homme se leva, les salua d'un bref signe de tête et transplanna.

La grande soeur de Teddy LupinOù les histoires vivent. Découvrez maintenant