5.5K 168 34
                                    

Olivia

Une musique de métal/rock retentit ce qui me réveille d'un coup. Je regarde un peu de partout dans ma chambre et voit qu'il a posé une Bluetooth sur ma table de nuit.

Je vais vraiment le tuer, je sors de mon lit assez rapidement, là je m'en fiche si je suis présentable ou non.

Je rentre directement dans sa chambre sans prendre la peine de toquer, il met en pause le son et me sourit. Il ne porte qu'un jogging laissant son torse bien battit à ma vue.

C'est pas le moment d'être déconcentré.

Payton: Le réveil était comment ?
Me: Lo giuro-
(Je te jure-)
Il me coupe avant que je termine ma phrase.
Payton: Oui je sais tu vas me tuer.

Il roule des yeux, je me dirige vers lui d'un pas déterminé et le pousse en posant mes mains sur ses pectoraux. Il touche le mur auquel il était déjà proche, il est assez surpris aussi.

Mais j'ai seulement réussi puisqu'il ne s'y attendait pas, je souris et me tient devant lui.

Me: Que ça soit claire, tu ne me réveilles plus de cette manière et tu ne te moques plus de moi, je ne suis pas fragile.

Et en quelques secondes c'est moi qui suit contre ce mur, sa tête est extrêmement proche de la mienne.

Payton: Dominante en plus...
Me: Non je ne me laisse pas marcher sur les pieds c'est différent.
Payton: Comme tu voudras, je continuerai de toute façon.

Je descend le regard vers son torse, est ce que je vous ait dit à quel point il était tatoué ? Ils sont super beaux. Ils partent aussi sur ses bras musclés et trois sur son cou.

Je pose mes doigts sur ses abdos bien dessinés et les caresses avec le bout de mes ongles.

Il relève ma tête pour que je le regarde dans les yeux.

Payton: A quoi tu joues ?
Me: Je veux juste que tu saches que c'est moi qui décide.
Payton: Bien sur, dans tes rêves.

Je souris légèrement et mon genoux frappe son entrejambe, il pince ses lèvres entre elles pour ne pas laisser apparaître un cri de douleur.

Me: Continue à me réveiller comme ça et à te moquer de moi je te promets que je te rend stérile et que tu ne pourras plus l'utiliser.

Je sors de cette chambre, pas besoin qu'il me réponde je sais qu'il arrêtera ses conneries.

Je rentre dans ma chambre pour ouvrir mes volets, j'allais entré dans ma salle de bain mais on toque à ma porte.

Me: È aperto !
(C'est ouvert !)

C'est mon père qui entre dans ma chambre, il claque la porte derrière lui et me salue.

Padre: J'espère que tu comprends, je sais qu'il ne t'arrivera rien cara vu que l'un de tes gardes du corps sera avec toi.
Me: Et si ils me torturent comme Diego et Nino ?
Padre: On va s'entraîner aujourd'hui.
Me: À tirer ?

Il acquiesce, je sais déjà bien tiré, je pense qu'il sera impressionné, en tout cas je l'espère.

Padre: Et on va voir si tu as oublié tes cours de défense qu'on t'avait donner il y a quelques années.
Me: Tu verras, je n'ai rien oublié.

Il sourit légèrement et embrasse ma tête.

Padre: Pas de petit déjeuner, je ne veux te voir boire que de l'eau, rien d'autre.

My bodyguard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant