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Olivia

Payton: Je crois que je l'aime.

Je n'ai qu'une seule envie la tout de suite c'est de rire, mais rire très fort. C'est comme ça qu'il m'aime ? En tuant mon bonheur à moi ?

Me: C'est mal de l'aimer ?
Payton: Je ne sais pas, je pense à elle tout le temps...est-ce que c'est grave ?
Me: Ça ne l'est pas.

Il hoche légèrement sa tête de haut en bas puis se lève pour marcher quelques pas et sortir de la poche de son jean deux billets de 100$, je les prend et le remercie.

Me: Je peux y aller maintenant ?

Il s'avance vers moi d'un seul coup et sa tête se retrouve au même niveau que moi, ses lèvres touchent les miennes.

Pourquoi est ce que j'ai l'impression de me sentir vivante ou heureuse lorsqu'elles sont sur les miennes ?

Il les détachent lentement et me regarde dans les yeux.

Payton: Désolé...
Me: Non pas besoin, tout va bien.
Payton: Je ne m'excusais pas pour le baiser mais plutôt pour ce que j'ai put ressentir alors que vous n'êtes pas la femme qui me rend fou dans tout les sens du therme.

Je souris intérieurement, est-ce qu'il pense réellement ce qu'il dit là ? Ou c'est juste pour que la streapteaseuse devant lui s'en aille ?

Peu importe à vrai dire, entendre dire ça de la bouche de Payton Moormeier c'est quelque chose quand même.

Qu'est-ce que je dis là au juste ?

Payton: Je pense que vous devriez y aller, j'ai du boulot demain soir et je veux être en forme.
Me: Ne me dite pas que vous vous couchez à neuf heures du soir.

Il sourit légèrement et hoche sa tête de gauche à droite.

Faut que je sache ce qu'il fait demain soir, j'ai un putain de plan !

Me: Et qu'est-ce que vous avez prévu pour vous couchez aussi tôt ? Un rendez-vous avec cette fille ?
Payton: Non elle me déteste...c'est du boulot. J'ai un rendez-vous sur le port de la ville.
Me: Laissez moi deviner vous êtes dans les affaires non ?
Payton: Disons sa comme ça.

J' acquiesce légèrement et me lève à mon tour et pose mes doigts sur ses épaules.

Payton: Je suppose que vous demain vous travaillez non ?
Me: C'est exact, chez mon client favori.

Je regarde l'heure sur sa montre et voit qu'il est vingt et une heure dix sept.

Me: Il se fait tard, j'ai du boulot qui m'attend à vrai dire.
Payton: Je ne vous retient pas plus longtemps alors, bonne soirée.
Me: À vous aussi.

Je sors de chez lui assez rapidement et part vers la voiture ou m'attendais Victor et les hommes de mon père. J'ouvre la portière et entre dans la voiture et m'assois à côté de Victor dans la banquette arrière.

Me: J'ai une meilleure idée.
Victor: Ah bon ?
Me: On va le rendre connu.
Victor: Tu veux le balancer aux flics et aux FBI ?
Me: Oui, je sais où ils sont demain soir.
Victor: Tu es sûr que c'est vrai au moins ?
Me: Oui et puis au cas où, il ne va rien m'arriver.
Victor: Si tu penses que c'est une bonne idée alors vas y.

Je lui souris simplement, au moins quelqu'un qui est confiance en moi.
Les hommes de mon père nous regarde tout les deux et je leur font signe de sortir une seconde fois de cette voiture et ils le font et marche plus loin.

Je prends le sac qui était à mes pieds pour retirer ma jupe et mettre à la place un jogging noire simple. J'enfile un teeshirt par dessus mon corset et l'enlève en passant mes mains sous mon teeshirt bleu.

My bodyguard Où les histoires vivent. Découvrez maintenant