My bodyguard

①⑤

Olivia

Je m'assois à califourchon en m'assurant bien sûr que mon fessier soit prêt de son sexe.

Ça fait deux ans, ça ne s'oublie pas ce genre de chose non ? Faut que je me rassure parce que ça va pas le faire sinon.

Il pose une de ses mains sur mes hanches, il me sourit légèrement et je lui rend. Bon ça va aller !

Je pose mes doigts sur les boutons de sa chemise pour le lui enlever rapidement. Une fois sa chemise au sol j'admire quelques secondes son corps qui est pas mal musclés. J'embrasse son cou et lui suçote légèrement pour qu'il est juste une petite trace rouge.

Je descend ensuite mes lèvres sur son torse pendant que mes doigts caressent ses abdominaux.

Il retire ses mains de mes hanches pour les poser sur mes joues, il remonte mes lèvres jusqu'à les siennes.

Je lui prend la cigarette qu'il avait dans sa main, je prend une bouffée et la recrache rapidement. Le mégot se retrouve rapidement dans ses mains et il l'éteint avec les doigts.

Je mordille doucement ses lèvres, il allait poser ses mains sur mon fessier mais je l'arrête avant.

Me: C'est moi qui touche pour l'instant...

Il acquiesce en posant ses mains sur mes hanches, je l'embrasse donc langoureusement en bougeant mes hanches pour frotter mon sexe sur le sien.

Ses doigts se creusent sur mes hanches et je souris légèrement quand je sens qu'il durcit.

On se détache à bout de souffle, je descend mes doigts sur la braguette et le bouton de son pantalon. J'embrasse son ventre tout en descendant jusqu'au dessus de son sexe.

Une alarme retentit, cela veut dire que quelqu'un s'est introduit dans la maison. Je me retire rapidement pour le lui redonner sa chemise.

Milo: Je vais faire le tour de la maison.

Et il s'en va une arme dans la main vu qu'elle était dans la poche de son pantalon.

Me: Tu as une deuxième armes ?
Payton: J'ai pas le droit de t'en donner une.
Me: Pourquoi ? Parce que c'est toi le garde du corps et moi la petite protégée, je me débrouille bien seule au cas où.
Payton: Ta gueule et reste près de moi.

Je roule des yeux et le suit donc, on part vers le stand de tir, je prend l'arme que j'avais poser sur la table et la charge rapidement.

Me: On peut entrer dans la maison.
Payton: Reste quand même derrière moi.

Je roule des yeux et me mets à son niveau.

Payton: Écoute moi une seule fois dans ta putain de vie s'il te plaît.
Me: Ok ok c'est bon.

On avance tout les deux ensemble même si je suis derrière lui. Je préfère l'écouter la dernière fois au bal on aurait dut y aller directement quand il me l'a dit donc je ne vais pas faire la même connerie et l'écouter.

Nous sommes dans le salon et un homme assez grand très musclés et tatoué et ici entrain de regarder la déco. Jackson arrive aussi en meme temps que nous.

Jackson: Vous êtes qui ?!
Il ne dit rien ou ne fait rien. Payton charge son arme pour qu'il réagisse mais rien.
Payton: Vous avez entendu ?! Qui êtes vous ?!

Le gars se retourne enfin pour regarder les deux américains puis me regarde ensuite tout en me fixant comme il faut la poitrine.

??: C'est ta copine ? Putain tu t'es bien mis depuis la dernière fois ! Et toi Jackson toujours personne ?

Ils se connaissent, je ne comprends rien.

Payton: Qu'est-ce que tu fous ici ?
??: Je vous cherchez idiot. Je ne me suis pas présenté à la magnifique copine de mon cher Payton, je suis John Rumman.

Maintenant qu'il le dit je reconnais sa tête, c'est un mafieux assez recherché a New York.

Jackson: Qu'est-ce que tu veux ?
John: Vous tuez et peut être me taper ta copine pour après la tuer aussi. Vous pensiez me prendre pour un con combien de temps ?!

Les hommes de mon père arrivent et je leur fait un signe de ne pas tirer.

John: C'est votre maison ?
Me: Celle de mes parents.
Payton: Bref je ne comprends pas de quoi tu parles John tu sais qu'on est honnête.
John: La pute que je t'ai acheté s'en ait pas une ! C'est une putain d'agent du FBI !
Jackson: Ce n'est pas possible, on n'est pas connu sur les dossiers du FBI ni même des flics...
John: Faut croire que non.

Payton: Tu l'as tué ?
John: Non mes hommes sont entrain de la faire souffrir, je veux mon argent.
Payton: On ne l'a pas.
John: C'est simple, pas d'argent, une balle dans la tête pour chacun de vous deux.
Me: Vous voulez combien ?
John: Un peu plus d'un million cinq cents milles dollars.

Ils ont vendu une femme à ce prix là ?!

Me: Bon écoutez, vous pouvez tout les deux les tuer je vous jure ça me fera des vacances et mon père me prendra enfin des gardes du corps italien mais sortez de chez moi je ne veux pas une goutte de sang ici.

John: Ce n'est donc pas ta copine, je me disais aussi...

Il s'approche de Payton et moi, les hommes de mon père le suive tous avec leurs armes et Payton me pousse légèrement pour que je me trouve derrière lui.

Payton: N'y pense pas.
John: L'argent ou cette fille ?
Jackson: On va trouver l'argent.
Me: Hé non les gars calmez vous. Pas besoin je vais avec monsieur.

Payton fronce les sourcils en me regardant, je lui fais un clin d'œil discret, j'ai une idée.

Me: Passer moi quelque chose à me mettre s'il vous plaît.

Un gars retire sa chemise pour me la donner, je le remercie et l'enfile. Je m'approche cette fois ci de ce John.

Me: On va s'amuser.
John: Tu l'avais caché ou ?
Me: Nul part il travaille pour mon père.

Je pose mes mains sous sa chemise et il me sourit avec un regard pervers.

Me: Range ton arme. Et vous, vous pouvez disposer tout va bien.

Je m'adresse aux hommes de mon père, il acquiesce simplement et s'en vont même si je sais qu'ils ne sont pas loin.

Son arme se retrouve dans la poche arrière de son jean, je le lui prend et la lance à Jackson.

John: Qu'est-ce que tu fais ?
Me: Laisse toi faire, ils ne vont rien te faire de toute façon.

Je le pousse légèrement pour qu'il s'assoit sur le fauteuil, je m'assois ensuite sur ses cuisses, il allait poser ses mains sur mon fessier mais je l'empêche sinon il s'aurait que j'ai une arme qui est tenue grâce à mon maillot.

Je pose mes mains sur son torse et lui sourit doucement.

Me: Espèce de gros porc.

Je prend rapidement mon arme et lui tire sur ses parties genitales, il hurle de douleur bien entendu les hommes de mon père arrive quand ils ont entendu le coup de feu.

Payton: J'ai mal pour lui aussi.

J'allais me retirer de ses cuisses mais il m'attrape par les cheveux et Jackson lui pointe son arme sur la tempe pour qu'il me lâche et il le fait rapidement.

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Heyy girls
Suite jeudi ou vendredi prochain je pense
Love u 💕