Chapitre 14 ⚠️

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NDA :
Attention ce chapitre contient des descriptions qui pourraient ne pas convenir aux plus jeunes ou aux plus sensibles.
Il n'y a rien de sexuel, mais ce n'est pas la partie la plus agréable de l'histoire de Lily.
Vous pouvez passer ce chapitre si vous le souhaitez je vais faire en sorte que le suivant colle avec le précédent.

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  —  Ne t'inquiète pas. Tout va bien se passer...

Je le sens qui m'emmène dans le jardin de sa maison, celle où je l'ai vu à la fenêtre. Je ne veux pas y aller. Mais je ne contrôle plus mon corps. Je vois, j'entends, je ressens, mais je ne peux plus ni bouger, ni parler.
J'ai peur !

  —  N'aies pas peur. Je vais bien m'occuper de toi.

Il me caresse la joue de ses doigts rugueux. Je ne veux pas. Je veux reculer mon visage. Il me dégoûte. Pourtant je ne peux rien faire. Je déteste cette impuissance.

Je ne comprends pas. J'ai fait très attention à mon verre, comme me l'a conseillé Simon.

Puis je me remémore les dernières minutes, quand je me suis faite bousculer, c'était exprès. Oh Non !
Comment ai-je pu être aussi stupide ? Pourquoi j'ai fini mon verre ?

Pourquoi il me fait ça ? Je ne comprends pas.

Il m'allonge dans l'herbe. La seule chose que je vois c'est le ciel étoilé. Dans d'autres circonstances, j'aurais pu le trouver magnifique.
Je sens ses mains qui me caressent le visage.

Tu es très jolie tu sais.

Il approche sa bouche de la mienne. Il pue. C'est un mélange d'alcool, d'after-shave et de sueur, ça me pique le nez. Il pose ses lèvres toute mouillée sur ma joue, sur mon menton sur mes lèvres. J'ai envie de vomir.

Tu es la première fille qui me dit non. Toutes les filles sont à mes pieds. Pourquoi tu me repousses ma jolie ? Ça m'a juste donné encore plus envie de t'avoir entre mes griffes.

Il me lèche la joue. Je sens de la bile remonter dans ma gorge.

Ton coeur bat si fort. Tu sens la peur. Tu as le goût de la peur. C'est délicieux. Ça m'excite.

Il passe alors ses mains sous mon haut et commence par me caresser le ventre.

  —  Je sais que tu ressens tout. Me murmure-t-il a l'oreille. Je t'ai donné un cocktail parfaitement dosé de différents venins. C'est la première fois que je l'utilise mais on m'en a dit beaucoup de bien. Et j'avoue que l'idée de faire de toi ce que je veux me plaît.

Je sens ses mains monter jusqu'à mon soutien-gorge puis redescendre jusqu'à la ceinture de mon pantalon.

  —  Je vais prendre mon temps avec toi. Tu vas voir. Je suis sûr que tu vas finir par aimer ça. Je vais te montrer que je peux être un vrai nounours.

Mais il se rend compte de ce qu'il est en train de dire ? Comment une fille pourrait aimer qu'on abuse d'elle ? Il est complètement taré.

Il continue de me caresser. Quand il arrive au niveau de la ceinture de mon pantalon, je sens qu'il cherche quelque chose. Il tâtonne le long de ma ceinture, jusqu'à ce qu'il tombe sur la fermeture éclair.
Il la défait doucement, continuant à me caresser. Enfin j'ai plutôt l'impression qu'il me ponce le corps avec ses mains rêches.

Je pleure à l'intérieur mais aucune larme ne coule. Je hurle à pleins poumons mais aucun son ne sort de ma bouche.

Au Secours ! Aidez-moi !

J'ai froid. Il a baissé mon pantalon jusqu'à mes chevilles.

  —  Et bien. On dirait que tu avais tout prévu pour moi ma jolie. Pas un poil qui dépasse de cette jolie dentelle.

Il me retourne, je me retrouve le ventre contre le sol,  il me tourne la tête sur le côté pour ne pas que je m'étouffe dans l'herbe.
J'entends les bruits de la fête au loin. Personne ne viendra à mon secours. Ils sont tous en train de s'amuser.

  — Oh mais regardez moi ces jolies petites fesses. Avec ton pantalon t'avais déjà un de ces culs mais alors là dans ton petit string, on en mangerait. Deux pêches bien juteuses.

Il me met une tape sur les fesses, ça ne fait pas mal mais ça me dégoûte. Et lui, il grogne de plaisir.

Dans ma tête j'imagine tout ce que je lui ferais si je pouvais bouger. Et je commencerais par ses bijoux de famille. Cette colère m'aide à tenir, à ne pas sombrer.

Il enlève mes chaussures pour finir ce qu'il a commencé avec mon pantalon.
Il me retourne à nouveau comme une crêpe, sans aucune délicatesse.
Je sens sa langue monter de ma cheville jusqu'à la limite de mon sous-vêtement entre mes jambes. D'un côté, puis de l'autre.

  —  Tu as bon goût. Un goût sucré, comme du caramel. Comment tu as su que c'était ma gourmandise préférée ?

Mais il est complètement taré. Comme si j'avais fait exprès de me parfumer pour lui.
En plus c'est le gel douche de Joy. Encore heureux qu'elle ne l'utilise plus, parce qu'en rentrant il dégage à la poubelle.

Il lève un peu mon haut et continue à me lécher. Ça me révulse. J'en suis presque à souhaiter qu'il fasse ce qu'il a envie de faire et qu'on en finisse. C'est un supplice.

Il fourre son nez dans mon entrecuisse, venant humer mon intimité.

  —  Hummmmm ! Soupire-t-il de plaisir. Tu sens divinement bon.  J'ai envie de te goûter.

Je sens ses mains jouer avec mon string. Quelque chose me griffe la hanche. Il a un couteau ?
Oh non non non !

Je commence à paniquer.

AU SECOUUUUUURRRRRSSSSS !!!!!

J'entends des bruits derrière nous.
Lui n'entend rien, il est trop occupé à grogner contre la peau de mon ventre.

D'un coup j'entends une voix qui prononce des mots que je ne comprends pas...

Lily et le cadeau du grand Esprit [Terminée]Où les histoires vivent. Découvrez maintenant