soixante-quatre.

543 19 0
                                    

J'ouvre difficilement les yeux ce matin

Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou mettre en ligne une autre image.

J'ouvre difficilement les yeux ce matin. Justin n'a pas fermé les rideaux de sa chambre et je déteste ça, être réveillé par la lumière du jour. Je souffle et me lève du lit pour les tirer devant la fenêtre, je retourne me coucher aussitôt et Justin vient se coller à moi.

— J'ai oublié les rideaux hier soir.

— Mmh.

— Ça va?

Il embrasse ma nuque.

— Oui et toi?

— J'aimerais rester au lit toute la journée, ça te va?

— On garde cette idée pour le retour à la maison ok?

Il embrasse encore une fois ma nuque.

— On fait quoi aujourd'hui?

— Je n'en ai aucune idée, je sais qu'il y a un endroit où on peut faire de la luge, c'est chouette là-bas.

— On a déjà fait de la luge bébé.

— Non, c'est comme de la luge d'été mais en hiver.

Justin ne dit rien, la pièce devient calme et je pense soudainement à hier soir. Notre nuit tous les deux a été superbe, incroyable. Justin a été parfait avec moi, il a eu peur que je pense qu'il voulait juste mes cuisses écartées et cela me donne doublement envie de lui pardonner. Je devrais sûrement le faire non? On n'a pas réellement parlé de ça depuis que ça va mieux entre nous mais je trouve ça génial de continuer de se retrouver comme ça. On profite l'un de l'autre, je crois qu'on en a vraiment besoin tous les deux.

Justin bouge derrière moi et me sort de mes pensées. Il emmêle nos jambes et je profite de sa peau chaude contre la mienne.

— Tu penses à quoi?

— Rien.

— À moi?

Je rigole doucement.

— Pourquoi je ferais ça alors que tu es juste derrière moi?

— Parce que tu m'aimes trop et que je ne sors jamais de ta tête?

Je continue de rire mais il a raison ce crétin.

— Je pensais juste que j'ai faim alors on va se lever.

Je me détache difficilement de Justin alors qu'il me regarde me lever du lit, j'ai froid soudainement. Je me tourne vers lui et lui tend la main.

— Tu viens?

— Toi, viens.

Je penche légèrement la tête sur le côté.

— De préférence toute nue s'il te plaît.

Il tire brusquement sur mon bras et je tombe sur lui, morte de rire. Il embrasse mon cou puis le mordille légèrement.

When Two Worlds Collide 2Où les histoires vivent. Découvrez maintenant