Slow Burn, Triangle Amoureux, Suspens, Vengeance, Drame...
✨ Les apparences sont souvent trompeuses...
D'un œil extérieur, vous pourriez croire que la vie de Riley, 25 ans, est géniale. New-Yorkaise pure et dure, vivant dans le très chic quartier...
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Adam
10 Août - 7 Heures - Pasadena.
L'alarme programmée sur mon téléphone vient de sonner et j'ai la flemme de me lever. Riley s'est glissée au beau milieu de la nuit dans mes bras et elle ne semble pas décidée à les quitter et surtout elle ne me facilite pas la tâche. Au moindre mouvement, elle resserre un peu plus son étreinte et à présent elle est complètement allongée sur moi et s'agrippe tel un koala à sa branche.
Un koala géant qui sent bon la vanille et surtout vêtue en tout et pour tout d'une petite culotte ultra sexy de dentelle noire qui me donne envie d'être très vilain, même si je résiste !
― Encore cinq minutes, me prie-t-elle dans un soupir d'aise.
― J'vais être en retard ma chérie, il faut faire la route, dis-je en me voulant raisonnable.
― Je sais, gémit-elle. Alors encore trois minutes, trois petites minutes, s'il te plait ? me supplie-t-elle.
― Va pour trois minutes, acquiescé-je tout en caressant son dos nu.
― Yeaaah, les meilleures trois minutes de la journée, glousse-t-elle avant de déposer quelques petits baisers dans mon cou tout en remuant lascivement ses fesses.
― Je t'en prie ne fais pas ça ! Arrête de remuer tes fesses de tentatrice infernale ! protesté-je en essayant de garder mon corps sous contrôle.
Elle pouffe de rire et se redresse sur mon torse.
― Tu veux dire comme ça ? me demande-t-elle d'un air espiègle en frottant sensuellement ses hanches contre les miennes.
― Exactement comme ça, dis-je en fermant les yeux pour ne pas croiser son regard aguicheur qui risque de me faire perdre le peu de sang froid qu'il me reste.
Je ne la regarde pas mais je peux sentir sa main s'infiltrer sournoisement entre nos deux corps et masser doucement ce traître d'appendice masculin qui contrairement à moi est déjà debout prêt à faire une petite cabriole matinale.
― Sois sage, articulé-je en tentant de rester de marbre.
― Je suis sage, c'est la faute de mes mains, réplique-t-elle d'une voix sexy tout en pressant ses seins contre ma poitrine. Elles ont besoin de te toucher dès le matin sinon elles font une dépression.
J'ouvre les yeux et fronce les sourcils.
― Ah oui ? Une dépression ? Tu m'en diras tant ! minaudé-je.
― Je t'assure, sourit-elle à demi pour essayer d'être convaincante. J'ai dû être kiné dans une autre vie ! décrète-t-elle. Kiné de jolis garçons ! Je ne peux pas m'empêcher d'avoir envie de te palper ! C'est la preuve irréfutable !
