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Il était un peu plus grand que moi , il semblait avoir entre 30 et 35 ans. Il ne ressemblait pas un à un bresilein il avait plutot l'allure du prince des milles et une nuits qu'on ne croise pas tous les jours,  les cheveux plaqués en arrière , noeud papillon et il semblait prendre soin de sa barbe

J'étais quelques peu déstabilisée. J'avais peur je dois avouer , mais j'étais incapable de lever mon fessier de cette chaise

Aghdal  : Si j'ai bien compris vous fêtez vos 19 ans ce soir ?

Moi : Que suis -je sensée fêter , un an de plus ou un an de moins ?

Il rit

Aghdal : J'ai jamais vu les choses de cette manière

Moi : A moi les questions ; d'où est ce qu'on se connaît ?

Aghdal : Tu as sûrement oublier mon visage. On s'est rencontré à la soirée que ton défunt mari avait organisé en ta faveur , je suis Aghdal

J'avais vu et rencontré tellement de gens qu'il m'était impossible de me souvenir de lui

Il me prend la main et l'embrasse avant de la reposer sur la table

Aghdal : Je suis sincèrement navré pour ce qui vous est arrivé. Ça a dû être terrible pour toi , je peux te tutoyer ?

Moi : Non je ne préfère pas. Revenons en au fait ; vous n'êtes pas syndicaliste ?

Il avait plutôt l'air d'être un fils a papa n'ayant jamais suer pour bien vivre

Moi : Vous pensez que j'ai le temps ?

Aghdal  : Mes bouquets ne vous ont pas plu ? 

Moi : Vous avez mauvais goût

Aghdal  : Vous vous trompez , j'ai un faible pour les belles choses comme vous.

Moi : Ça ne m'intéresse pas

Aghdal  : Vous vous trompez aussi sur ma personne , habituellement je ne suis pas tel que vous me percevez

Moi : Vous me faites du rentre-dedans

Aghdal  : C'est faux . Je réalise simplement mon unique rêve depuis que je vous ai connu , Jazeera

Le maître de salle arrivait et il prenait commande

- O que a garota quer ? (Que désire la demoiselle)

Malgré moi et contre toute attente je passais également commande. J'avais beau regarder cette homme son visage de me rappelait personne sauf un homme que j'avais toujours aimé mais avec qui je n'avais plus parler depuis des mois ; mon père

Moi : Vous êtes perse ?

Aghdal : Comme toi , n'est ce pas ?  Enfin tu es française aussi

Moi : Pourquoi m'avoir fais livrer tous ces bouquets ?

Aghdal : J'ai beaucoup entendu parler de toi depuis le décès de Ramos , j'ai d'abord pensé que tu étais retournée en France mais après quelques recherches j'ai compris que tu étais toujours à Brasilia

Dernière Danse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant