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Je n'ai pas regretté ce que j'ai fais. J'ai donné cet exemple à Jazeera qui en était d'ailleurs choquée , pour qu'elle comprenne à qu'aimer une personne ne l'excusait pas de tout et que je ne lui appartenait pas

Jazeera : Tu n'a pas le droit de faire ça

Moi : J'ai pas besoin de ton avis , c'était simplement un exemple

Jazeera : Donc tu m'a menti

Moi : C'était pas contre toi. Maintenant j'aimerais que tu t'en aille , Matob va bientôt rentrer j'aimerais passer du temps avec lui

Jazeera : S'il te plaît (... )

Elle s'agrippait a mon cou et me serrait contre elle

Jazeera : J'irai voir tes parents si tu veux ! Je te jure !

Moi : Ne complique pas (... ) les choses (...) Jazeera

Je la sortais de mes bras et m'éloignait d'elle

Moi : Je suis désolé , j'aurais aimé que ça marche parce que malgré tout tu es une fille extraordinaire. Mais je pense que tu dois faire un travail sur toi-même et envisager une relation avec un homme

Elle semblait désemparée. Je me haïssais de la mettre dans un tel état mais c'était nécessaire

Moi : Je demanderais à Khadov de te raccompagner à ton hôtel

Je ne saurais pas dire comment j'ai fais pour quitter le séjour mais je l'ai fais et mon cœur saignait

J'ai pris une minute pour souffler avant de voir mon fils rentrer de son cours d'escrime. J'ai dû reprendre le sourire. J'ai essayer de l'occuper pendant que Jazeera s'en allait avec mon chauffeur

Dans la peau de Jazeera

Aghdal avait réussi à me briser le cœur. Je ne saurais absolument pas dire si c'était de l'amour que j'avais pour lui ou si c'était seulement "la bouée" qui m'aidait à ne pas couler mais une chose était sûre il était hors de question pour moi de m'éloigner de lui

Il me complétait et outre le fait que j'avais tant besoin de lui j'avais espoir qu'un futur était possible entre nous. Je le sentais

Traduction

Moi : Vous me rendrez un service , Khadov ?

Khadov : Je suis là pour ça mlle

Moi : Ça vous dérangerais d'appeler votre patron et lui dire que j'ai eu un terrible malaise et que vous m'avez abandonner dans ma chambre

Il pensait à une blague , c'est vrai que c'était une idée quelque peu farfelue mais la fin justifie les moyens

Moi : Je suis très sérieuse

Khadov : Mais vous ne faites aucun malaise

Moi : Oui je sais mais il vous croira , jouez le jeu

Khadov : Vous ne connaissez pas Monsieur lorsqu'il est énervé. Il me renverra s'il apprend que c'est faux

C'est vrai que j'avais déjà mis le poste de la femme de chambre sur la sellette , j'étais pas fière de moi d'ailleurs
Il fallait croire que j'étais miss catastrophe

Dernière Danse Où les histoires vivent. Découvrez maintenant