Queen's eye

Chapitre 85

On c'est retenu de s'embrasser, sans faire attention tel un instinct de survie. La musique ce termine. On se sourie. On réalise d'un seul coup ce qui vient de se passer. Personne n'a réellement fait attention vu qu'ils dansaient où parlaient entre eux. Personne sauf Stéphanya et ma mère... . Également Jeannette au loin qui nous souriait. On tourne la tête toutes les deux en même temps en direction de ma mère. Elle nous regarde une dernière fois avant de me regarder intensèment avec surment des tas de questions. En même temps je m'en doutais bien, c'est pas comme ci on commencaient à ce lasser de se cacher.

Elle se lève d'un seul coup, Stéphanya essaie de la retenir mais elle se débat et cours en ma direction. Je crois qu'elle a compris... . Elle m'attrape la main d'un seul coup et me tire jusqu'à la cuisine. J'entend Magniola dire "attend".

Une fois dans celle ci, j'enlève ma main de son emprise.

"Tu peut m'expliquer ce qui vient de se passer là ? Me crie t elle dessus.

- Crie pas s'il te plait on est pas à la maison. J'ai juste danser avec Rackel.

- C'est ça que tu appel "juste" danser ? Tu as vu comment tu l'a collé Marley ?

- C'est ce qui s'appelle un collé serré. Il n'y a pas qu'avec elle que je fais cela.

- Marley c'est Rackel !! Ce n'est pas ta pote merde !! Et c'était quoi cette façon dont tu l'as regarder hein ?? Crie t elle en même temps de se calmer un peu.

- C'est ce que je voulais te dire tout à l'heure. Ce que je voulais te dire depuis longtemps mais que je n'arrivais pas.

- Quoi ?? Dit le moi maintenant !!??

- Arrête de crier ! Sinon je ne te parle pas !

- Ok.

- Je... .

- Ta fille aime aussi les femmes. S'exclame une voix masculine derrière nous.

- Quoi ?

- Papa !

- Fallait bien que tu lui dise même si tu aurai pu choisir un autre moment.

- Attend quoi ? Tu était au courant ??? Lui demande t elle en se tournant vers lui.

- Depuis une ou deux semaines seulement. Je ne sais plus.

- Attend mais depuis quand ton père sait des choses et pas moi ?

- C'est lui qui est venu m'en parler mais tel une conversation comme une autre. Et il le savait même avant moi.

- Je... .

- Maman je comptais te le dire... . Je n'ai juste pas trouvé le moment. J'avais peur aussi.

- Tu aime les femmes alors ?

- Pas que. J'aime les hommes mais j'aime aussi les femmes oui... .

- Tu ne voulais pas me croire. S'exclame mon père.

- Jamais je ne l'aurai pensé... . En même temps on n'y pense même pas à ça. Dit elle en mettant sa main devant son front puis sa bouche.

- Moi non plus je n'y aurai jamais pensé. Annonce ai je.

Ma mère s'en va sans prendre ni le temps de répondre ni le temps de me parler. Mon père hausses les épaules, vient m'enbrasser le front et pars voir ma mère. Une petite minuite après Rackel et Jeanette arrive en même temps.

- Ma belle ça va ? Me demande Magniola

- Ça pourrais être mieux.

- Elle est au courant ?