Chapitre 28

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"Je ne voulais pas que tu me vois comme ça mais tu était ma seule solution. Mes parents ne savent même pas que je fume déjà occasionnellement donc fumer des joints encore moins. Je ne voulais pas non plus que mes collègues me voit ainsi tu comprend ?

- Tu as de la chance que j'étais en ville. Je ne pensais pas que tu fumais ce genre de merde en étant vulgaire.

- Je n'en fume pas, j'en ai seulement fumer durant une mission car je n'avais pas le choix mais mon Boss et mes coéquipiers étaient au courant et m'obligaient un peu mais elle n'était pas forte.

- Ne gâche pas ta vie avec ça, tu as un métier super qui te correspond parfaitement, un don en or et tu est une super femme, cela ne te sert à rien.

Je ne l'a lâchais pas des yeux quand elle me parlais. Ses cheveux châtain carré aux mèches blondes bougeaient en même temps qu'elle parlait et conduisait avec ses beaux ongles manucurés. Sa robe lui vas vraiment à la perfection. Quand je pense que cette fameuse prof de la rentrée, du début de la mission je la connais depuis petite. Quel chance ! Bon depuis ce qu'il c'est passé samedi ça va être bizarre de revenir en cours.

- ... .

- Qu'est ce qu'il y a ? Demande t elle se sentant observée.

- Rien. Dis je en arrêtant de la fixer.

- On est arrivées descend.

- On est où ?

- Chez moi, c'est ma maison.

- Elle est aussi belle que toi.

Oups c'est sorti tout seul... putin.
Vive les joints... .
J'ai bien peur de continuer mes bêtises avec ça et franchement je ne sais pas où Stan là eu mais wow.
Attend ! Ça se peut son père est aussi dealer ? Non je pense pas. Peut-être que Stan lui est dealer ?

Elle rigole à ma remarque et sors de la voiture. Je sors également. Je la suis jusqu'à la porte d'entrée. Une fois à l'intérieur elle m'amène directement dans une chambre.

Oooh !

- Tu vas dormir un peu pour faire passer.

- On sens l'expérience.

- Non.

- Tu en as déjà fumer ? Parce que toi tu fume quotidiennement contrairement à moi.

Elle sors un plaid et le met au dessus du lit sur la place de droite. Elle me prend la main et me tire pour me faire asseoir sur celui-ci. J'adore cette scène. Le côté droit est à quelque centimètres d'un mur, elle a peut-être peur que je tombe. Une fois assise, elle prend un mouchoir sur la table de nuit, se baisse, prend et lève mon menton avec le mouchoir, trop mignonne elle a pensé à mon don, puis elle me regarde dans les yeux pour voir comment ils sont rouge mais je ne sais pas ce qu'il m'a pris, mais à ce moment là etant déjà très proche de son visage, je m'approche et l'embrasse. Elle recule d'un seul coup et me lache le menton par la même occasion.

- ... .

- Pourquoi tu fais ça ? A quoi tu joue Marley ?

- ... .

Je me met debout devant elle et la regarde une nouvelle fois de bas en haut puis regarde ces lèvres. Elle recule et se prend le mur qui était juste à côté du lit. Je rigole et la coince avec mes bras en rigolant, elle m'engueule. Je me tait. Elle me jette un regard interrogatif lorsque je ne fait plus aucun geste puis je l'embrasse de nouveau et mon ventre se rempli de papillons. Par ma grande surprise elle ne se défend pas, elle commence à me pousser violament quand quelqu'un entre dans la chambre. On se retourne toute les deux en même temps toujours à quelque centimètre l'une de l'autre et je reconnais une de ces nièces que j'ai vu quand elle m'a touché hier.
Une femme un peu plus âgée que Rackel arrive et s'exclame en nous regardant bizarrement.

Queen's eyeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant