Chapitre 83

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Il est 18h30 et nous avons rendez vous à 19h30 chez Rackel Magniola. Nous allons partir de chez moi à 19h15.
Ma mère voulais venir plus tôt pour qu'on emballe le cadeau au cas je souhaite rajouter quelque chose dedans mais surtout pour que je puisse le voir. Je me suis vêtu d'un tailleur rose qui fesait ressortir mes cheveux noir corbeau et mes yeux kaki. Le pantalon était moulant au début et finissait très large en bas. En haut je met la veste du tailleur seins nu en dessous ce qui laisse apparaître un décolleté plutôt grand. J'orne celui-ci de plusieurs chaînes dorés assortie à une de mes belles paires de créoles ainsi que de beaux gants en soie rose. Je me fait un eye liner graphique, artistique blanc avec lequel je rajoute des paillettes au coin interne de mon œil. Je met pas un rouge à lèvre mais un gloss cette fois, un gloss très glowy. J'opte pour des mule du même rose à gros talons épais en trapèze. Oui c'est full rose ce soir !
Évidemment avant de ma préparer j'ai refait mes bandage. J'ai encore du mal à marcher des fois.

On sonne à la porte. Mes parents sont arrivés. Je suis en train de pensé que j'ai tellement couru ces derniers temps que je ne les ai pas eu au téléphone et que je n'ai toujours pas dit à ma mère pour ma bisexualité. Je vais leurs ouvrir la porte. Ils me font un grand sourire et crie "waw" spontanément en même temps. Mon père me prend dans les bras mais sans le vouloir appuie sur ma blessure à l'épaule.

"Aïe !

- Mince je t'ai fait mal ?

- Ne t'inquiète pas c'est juste que on m'a recousu l'épaule et la cuisse opposé, de l'autre côté après mon attaque à la base secrète contre 6 hommes.

- Oh mon dieu ma princesse !! Crie ma mère en venant me prendre doucement dans ces bras.

- Merde ! Qu'est ce qu'ils t'ont fait ? Me demande mon père.

- Un couteau dans l'épaule et un shuriken dans la cuisse et mes propre armes en plus que je leurs avait planté juste avant. Dis je avec ma mère toujours dans les bras.

- Ma fille tu est une vrai warrior ! Contre 6 hommes en plus ! J'imagine qu'il n'en reste pas un ? Dit il fière de moi.

- Non ils sont tous morts !

- On se demande pourquoi je n'étais pas joyeuse quand tu m'a annoncé que tu voulais faire comme ton père !

- Désolée maman.

- Ça n'empêche pas que je suis très fière de toi. Si tu as besoins d'aide avec tes blessures n'hésite pas hein !

- Oui, merci maman. Entrez.

Ma mère passe devant, je laisse passer mon père devant moi. On s'installe sur le canapé et elle me montre le beau cadeau qui lui ont offert ainsi qu'une bouteille. Jeanette étant une grande amatrice de cuisine il lui avait acheter un kit d'ustensiles super beau ! Ils étaient vraiment magnifiques ! Moi j'avais pris un bouquet de fleurs en plus pour quand on arrive.

- D'ailleurs cela fait des années que tu ne l'as pas revu toi Jeanette.

Et merde. C'est ça de cacher une relation amoureuse. Ou plutôt même une relation qui ne sera pas apprécier par ses parents et surtout sa mère. Mon père a beau savoir que je suis Bi il ne sait pas que je suis en couple et encore moins avec Rackel Magniola, la tutrice professionnelle et la meilleure amie de sa femme.
Après depuis qu'elle est la prof de Victoire et qu'on as mangé au restaurant où elle a découvert mon identité et le métier de mon père et moi ils ont bien remarqués qu'on se voyait plus souvent. Ils savent également qu'elle est venue me voir quand j'allais mal... .

- En faite si je l'ai revu il y a deux semaines.

Ils me regardent tous les deux surpris.

- Ah bon ? Tu l'a croisé où ? Elle devait être contente de te revoir ! Tu n'a pas du la reconnaître et elle non plus ! Me demande ma mère.

Queen's eyeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant