Chapitre 31

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Islam: Nessrine, c'est finit
Moi: Quoi? Déjà on rentre?
Islam: Non jte parle de toi et moi.
Moi: Comment sa?
Islam: Bas... j'en ai finit avec toi.
La mon coeur a fait un bond et s'est stoppé... J'avais l'impression que le temp s'est arrêté l'espace de quelques secondes au tours de moi. Comme si tout se passaient au ralentis, comme si tout continu normalement mais que nous moi mon temp c'est arrêté. Je contrôle plus rien, j'ai jamais rien contrôler d'ailleur mais la ma vie à tourner à 180°.

Dans mon coeur c'est passé de l'amour, du bonheur, du calme au froid. Je sais pas ce que je ressentait, j'ai vais toujours cet amour fou en moi mais il a changé et je ne pourrais d'écrire comment...

J'ai regarder Islam avec de grands yeux, lui il me regarde avec un regard neutre, j'avais l'habitude de le voir zehef et parfois souriant mais j'aurais largement préféré ce regard zehef qu'il a d'habitude au regard indifférent qu'il me lance maintenant... Cet indifference me fait mal, donc à ces yeux je ne suis rien. Absolument rien? Au moin avec le regard zehef je savais que je lui faisais au moin un effet mais ce regard la me fait mal. Et pourtant même si Islam me dirait qu'il n'a rien ressentit pour moi je ne voudrais et pour as pas le croire.
Moi: Islam...
Lui: Quoi?
Moi: Pourquoi tu mfait sa?
Lui: pose pas dquestions.
Moi: J'ai besoin dsavoir.
Lui: jte le dirais pas.
Moi: dis moi au moin! J'ai cru que tu m'aimais! Jme suis investie dans notre couplé! Tu m'as-
Lui: Quel couple?
... La des larmes se sont formaient direct et j'ai commençait à chialer comme un enfant! Wallah j'ai honte. J'ai commençait à pleurer devant lui! J'messuiyais le visage, j'essayais de me contrôler. Mais comme deja dit j'avais plus le contrôle sur rien, Islam m'avait soulevé et laissez tombé comme une boule à ce moment là. Mes mains se sont mise à trembler, mon coeur fesais la grève et mon cerveau est tombé en panne. Ma respiration a accéléré et mes tout mon corps s'est raidit. Jme suis affaiblit en deux seconde mais lui il me regarde intact, debout devant moi.
Moi: Islam! COMMENT T'OSE ME FAIRE SA! TU M'AS PROMIS DES CHOSES! On était quelque chose! Je sais pas quoi moi même mais ce que je ressentait pour toi était vrai! Et je sais que toi aussi tu ressent un truc! Je compren-

Islam: Ce truc c'est rien. Je ressent rien pour toi.
Moi: Comment sa se fait!? Tu mentais pas pourtant!?
Islam: Pose pas de question.
Moi: Arrêtés! Arrête sa! Comment tu peut me faire sa à moi!?
Lui: pose pas de question wallah.
Moi: Islammm jsuis sah!!
Lui: je suis sah aussi.

Les larmes n'arrêtait pas de couler,j'étais comme une hegouna, sa faisait pitié wallah! Pff... jregardais Islam avec pleins d'espoir dans les yeux. J'espérais qu'il finisse at par me dire qu'il plaisante et qu'il me prenne dans ces bras et me fasse un bisous ou qu'il se met à rire devant moi pour que je puisse au moin comprendre que c'était une blague. Ou même qu'il me regarde zehef pour qu'il y ai un espoir qu'on se dispute puis qu'on arrange tout mais au lieu de sa il me regarde indifféremment. Comme si mes larmes lui font rien, comme si moi jlui fait plus rien, aucun effet!

Jpeux pas comprendre comment? Ni pourquoi? J'avais tellement de questions. M'a t'il jamais aimer? M'a til aimer? Il est sérieux? Il a une autre meuf? Il a peur? Il le fait pour moi? Kais lui a dit d'arrêter dme voir? Déjà en a til parlais à Kais? Zeubii.... je sais plus quoi faire. Je tremblais et pleurer devant lui comme sa. Sans aucune retenu, sans aucun contrôle, sans aucune honte et pourtant jm'en voulais pas, e qui compter à ce moment c'était Islam.

Lui: allez moi j'y vais.
Moi: non attend!
Lui: Quoi?
Moi: Tu peux pas mlaisser comme sa!!
Lui: sisi.
Moi: ramène moi.
Lui: appèle Farouk.
Moi: Islam arrêtes! Dis moi que c'est une blague!
Lui: Salam.
Moi: Non reste! Islam !

Jcris comme sa, quelques passants me regardaient chelou mais il tracaient juste et moi j'men foutais. Islam il s'est tourner et à degageais de la! Zeubi. Jme suis mise a désespérer, au moin si ma cheville me faisais pas autant mal je lui aurais courut après! Mais la rien. Les larmes on redoublé, j'ai continué de pleurer seule dans le parc. Jpeurais, mon ventre me fesais mal, mon coeur aussi, ma gorge était serré, ma respiration lourde et mon cerveau dérangé.

Chronique de Nessrine : De la tess au champs-ellyseesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant