Poussière d'Empire

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"Poussière d'empire ..
Souviens-toi d'hier pour l'avenir."

• Poussière d'Empire, Indila et Nessbeal.

  Je revenais de mon travail de nuit, d'ailleurs en parlant de travail, je crois que j'ai eux mon cotât, je me suis fais cinq clients, j'avais droit à deux heures de pause après chaque rapport.
J'étais tout de même épuisée, tellement la fatigue m'avait prît que j'eux la flemme de me changer.
De toute manière, il était six heures du matin, qui était reveillé à cette heure ci un bon dimanche ?
Je sortis de la bouche du métro, il n'y avait que quelques petits clochards ivres qui me sifflaient, mais bon rien de bien grave.
Je me sentais tout de même observer, mais je remis cette impression sous le coup de fatigue.
Lorsque j'arriva dans mon domicile, je balança mes affaires à droite puis à gauche, la seule chose que je fesais efficacement c'était mon démaquillage, si je prenais le "risque" de dormir démaquillée, je risquerais de me retrouvée quelques jours plus tard avec le visage envahît de boutons.

Par la suite, je m'endormis.
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Il était midi, je me fesais donc à manger (des pâtes à la carbonara),
lorsque mon téléphone sonna, en tant normal j'aurais répondu mais là, j'étais bien trop fatiguer.
La personne insistait mais je me dis que si il y avait autant d'insistance, c'était parce que les appels provenaient des entreprises ou des banques, qui appellaient à n'importe quelles heures de la journée pour nous vendre leurs produits.

Ce n'est que vers seize heure , que je me décida à sortir pour aller faire des courses, parce-que franchement l'affaire devenait critique, mon frigot était vide.

Je venais tout juste de sortir de mon immeuble, que mes narines furent effleurés par une odeur forte et familière : la Camélia.

Ce parfum que je sentais dans le cuire chevelu d'une personne : Imran.
Et merde, en plus j'étais habillée comme une bergère, j'avais attaché mes cheveux en chignon fait à la rache, j'avais encore en bouche les sortes de "cuillière" qu'on reçoit dès qu'on ouvre les pots de glace HaggenDazs.

Vous pensez sans doute, que je me suis figée , que j'ai jouer la fille troublée ?
Absolument pas, je ne lui lança même pas un regard et je continua mon chemin, enfin, je pensais pouvoir le continuer.
En deux temps trois secondes, je me retrouva par terre, j'avais une douleur affreuse au fessier.

Moi : C'est quoi ton problème.

Imran : T'es contente de toi, hein ?

Moi: de quoi tu parles ?

Imran : Combien, aller balance, combien ?!

Moi : Mais combien de quoi ? Je ne comprends rien de ce que tu me dis !

Il m'administra une giffle, instantanément, des larmes se mirent à coulées sur mon visage.

Imran : Tu me prends pour un hagoune c'est ça ?

Moi : Tu veux quoi de moi, en faite ?

Imran : Je te parle calmement Mélyah, t'étais où, hier ?

Moi : Ça ne te regardes pas.

Imran : Tu fesais la kehba, dis le tout de suite.

Moi : Tu crois que c'est en me collant une giffle que tu vas avoir tes réponses ? Et puis même si je fais la " kehba", il est où ton problème ?

MÉLYAH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant