MÉLYAH

Règlement de compte

La stratégie était, qu'au retour de Tiago, je l'entraîne dans notre chambre, et que je le laisse aux mains de Lucious.
Par la suite,... il n'y avait pas de suite, tout allait se jouer dans l'improvisation.
Durant les jours qui suivaient, j'avais une énorme boule au ventre, je redoutais son retour ou plutôt je redoutais que les choses se passent mal.

Deux semaines plus tard,

Tiago était rentré une semaine de plus que la date de retour convenue.
Mon coeur battait la chamade, à la minute où ses mains se posèrent sur mes hanches.
Non pas car j'étais amoureuse, mais plutôt car j'étais stressée.
Il ne se doutait de rien lorsque je l'emmèna vers la chambre, on tomba tout les deux sur le lit, il m'embrassait la nuque, tandis que je lui caressait le cheveux, j'eux un petit coup de stresse lorsque je me rendis compte qu'il n'y avait personne d'autre dans la chambre, mais au bout de quelques minutes, la porte de la salle de bain s'ouvra... laissant place à Lucious.
Instantanément, Tiago me lacha comme un vielle crêpe.
Il était tout rouge de la tête aux pieds, ses yeux "sortaient de ses orbites", bien sur ils ne sortaient pas réellement mais c'était une manière de dire qu'ils étaient grands ouverts, on pouvait même apercevoir les nombreuses veines sur ses tampes.
De la colère dans son regard et dans celui de Lucious, je ne l'ai avais jamais vu dans cet état , autant l'un que l'autre.
Ce serait mentir si je vous disais
que je n'avais pas pris peur.

Tiago : Le petit clébard est de retour, qu'est ce qui t'ammènes, tu veux le nonoss ? Combien ? T'inquiète pas y'a assez d'os pour gonfler ton ventre, j'ai l'intégralité d'un squellete humain, celui d'une petite pute, elle était d'ailleur bonne à baiser.. tu veux que je te donne un petit blaze ? Rebecca, Rebecca elle s'appellait.. Rebecca, c'est ça, je l'appellais comme ça lorsque je cognais mes reins contre son derrière, c'est un bon coup, très franchement si elle était encore se monde, je te l'aurais conseillé, en plus elle fesait des petits forfaits.. tout les moyens étaient bons pour qu'elle puisse recevoir son littre de sperme par jours.. ou plutôt par heures.. oh la petite catin.

Son sarcasme me glaçait le sang, comment pouvait-il parler d'un mort de cette manière, avec autant d'indifférences et de méprisances... Seigneur, mais cet homme est le Diable !

Ni une ni deux, Lucious lui sautta dessus, il était trois heures du matin tout le monde dormait et même les gardiens, surveillaient en somnolants, l'extèrieur de la maison et non l'intèrieur.
Il le ruât de coup, mais bien évidemment Tiago ne se laissa pas faire, j'avais clairement l'impression d'assistait à un match de catch...

Un fracassement, la lampe s'était fracassée sur son crane, tout son corps se retrouva au sol, du sang coulait de sa bouche, des bleux commençaient à se former sur son visage, il avait l'air inconscient...
Je dus retenir Lucious pour ne pas qu'il fasse plus de dégats qu'il y en avait déja..
Je n'avais jamais supporté tout se qui s'apparentait en champs lexical, de la blessure, je ne supportais que les blessures dans les films d'horreurs, puisque je savais que c'était irréel.

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C'est essouflée que je sonna à sa porte.

Moi : Léna, Léna ouvres-moi !

Et c'est à la minute même, que la porte s'ouvra, c'est avec précipitation que je me dirigea vers ma salle de bain.

Léna : Hey chouqette, je sais que ton appartement t'as manqué,
mais tu pourrais me dire bonjour, ou bien même me prévenir de ta venue.

Moi : Ouai, t'inquiètes euh bonjour.

Léna : Allo, la Terre, t'as l'air déboussolée merde, qu'est ce qu'il t'arrive, regarde t'as un bout de verre dans les cheuveux.

Mes pieds se mirent à trembler, ma tête à cogner tandis que ma vision devenait de plus en plus floue.
Je tomba dans les pommes.

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Léna : Hey.. Chouqette réveilles-toi, je t'ai fais des cookies.. accompagnés d'un verre de jus d'orange..

Moi : Léna, il faut que je te raconte.