Lucious : Eh, tu m'as fais flippé, ça fait cinq heures que tu dors, il est une heure du matin.J'étais étonnée, de me retrouver dans mon lit, toutes les dernières images, me revenaient en tête.
Lucious : Je t'ai fais des pâtes à la carbonara, je ne sais pas ce qui est le plus surprenant, que je cuisine, où que je cuisine aussi tard et pour une femme.
Moi : Merci, Lucious.
Il me rejoigna dans le lit.
Lucious : L'erreur est humaine, et puis tu ne peux pas retourner en arrière, ce qui est fait est fait.
N'empêche, tu as l'habitude de me traiter d'homme à merde, mais je te retourne le compliment.Moi : Va te faire foutre, bref, passe moi une cigarette s'il te plaît.
Lucious : Tu fumes ?
Moi : Non je te demande une cigarette, pour l'admirer.
Lucious : Tiens, d'ailleurs je vais en prendre une moi aussi.
Moi : Jamais un de mes petits amis ou un homme que j'aimais ne ma laisser fumer, et encore moins avec lui.
Lucious : Sauf que moi, je ne suis ni ton petit ami, ni un homme que tu aimes.
Moi: Humm, je pense que tu es le seul homme qui doit me soutenir, après ce qui sait passer...
Lucious : Il n'y que le temps, qui amène au pardon.
Crois-moi ce n'est que le temps.Moi : Un temps proche ou un temps lointain ?
Lucious : C'est Dieu qui décide.
Moi : Tu crois en Dieu toi ?
Lucious : Bien-sûr, j'y crois après cela ne veut pas dire, que je le suis aveuglément.
Moi : Idem
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Les jours passaient, et je n'avais des nouvelles de personnes, même pas de mon Père et encore moins d'Aïden.
J'avais envie de savoir si il était toujours avec Kaïlani, mais ce ne serait pas approprié, ce n'est pas le bon moment.TROIS ANS PLUS TARD :
J'étais toujous avec Lucious, au fil des années, nous nous étions raprochés, je ne peux pas encore dire que je l'aimais, mais j'étais fortement attacher à lui.
Nous habitions maintenant, dans Paris Centre, j'étais encore plus loin de l'ancienne ville où habitait ma famille, et mes anciens proches.
Toutes les photos de famille, avec mes amis ou autres proches, je les avais jetté dans un coffre, que j'avais balancé dans le grenier, cela me fesait beaucoup trop de mal, de les regarder.C'était les vacances d'été, et durant celles-ci, j'avais décidé d'être annimatrice en colonie pour les jeunes, d'ailleurs c'est aujourd'hui que je devais me rendre à la gare, en direction d'Arcachon.
Je n'allais revenir que dans deux semaines, ce qui est énorme pour Lucious et moi, nous avons l'habitude d'être très souvent ensemble.
Je lui dis donc au revoir, puisqu'il est sept heure, et je prend un taxi qui m'emmène vers La Gare Montparnasse./////////////////////////////
En milieu d'après-midi, nous sommes enfin arrivés à Arcachon, dans une grande héberge, moi je m'occupais des petites enfants, ceux de trois à huit ans.
Ils étaient vraiment adorables et au fil des jours, j'ai crée un lien assez fort, avec une petite fille de quatre ans, elle s'appellait Mélyah comme moi, elle avait de beaux petits yeux verts en amande, et des jolies cheuveux frisées, qui passaient du noir profond au marron claire, en fonction du temps.
Elle n'était pas plus haute que trois pommes, elle était dynamique et vous allez me prendre sans doute pour une psychopathe, mais ce que j'aimais le plus chez cette gosse, c'est qu'elle sentait la Camélia.Il était 00h30, je sortais de ma cabine de toillete pour me laver les mains, lorsque j'entendis des petits pas se rapprochés de la pièce, c'était Mélyah.
Moi : Hey, qu'est-ce que tu fais debout à cette heure ci, mistinguette ?
Mélyah : Hum.. J'arrive pas à dormir, en plus j'ai compté les moutons, j'arrive toujours pas.
Normalement, en tant qu'animatrice, j'aurais dut l'envoyer dans son lit, mais j'eus un petit moment de faiblesse, je la porta sur mon dos et c'est à la pointe des pieds que nous sommes allées sur un banc, pas très loin des buissons.
Moi : Qu'est ce qui t'empêche de dormir, mon sucre d'orge ?
Mélyah : Je te le dis, mais ne le dis à personne, c'est un secret sinon tout le monde va me prendre pour un bébé cadum.
Moi : À quatre ans on est plus un bébé cadum, petite Princesse.
Mélyah : Mon Papa et ma Maman, me manque.
Moi : Et bien je vais t'avouer, que moi aussi mon Papa et ma Maman, me manque.
Elle se mit à sourire, puis elle sortie de son tee-shirt, une photo.
Mélyah: Regarde, c'est ma Maman et moi, le jour de l'anniversaire de mes deux ans.
Moi : Elle est très belle ta Maman, elle a de beaux yeux bleux, et de long cheveux noirs.
Mélyah : Oui t'as vu, on dirait la princesse Jasmine, mais encore plus belle, puisqu'elle, Ma Maman, elle a des beaux yeux bleux.
Moi : Et bien, il est vrai qu'il y a une forte ressemblence avec la Princesse Jasmine, et ton Papa,
à quoi il ressemble ?Mélyah : J'ai pas pu prendre de photo de mon Papa, mais il est aussi beau, il ressemble à Aladin.
On a parlé encore un certain temps, puis tout d'un coup elle s'endorma et retomba sur mes genoux.
Par la suite je la déposa dans son lit.{ À la minute, où j'ai vu cette petite, j'ai su qu'elle allait joué un rôle dans ma vie, je ne sais pas quel rôle, je ne sais pas non plus à quel longévité, mais cette petite allait marqué ma vie. }

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MÉLYAH
Ficção AdolescenteMelyah, une jeune femme qui rencontrera des hauts et des bas mais qui trouvera la force de les surmontés. Du jour au lendemain, sa vie va changer et elle va devoir s'adapter. Les gens changent, les gens jugent, les gens partent et oui c'est les être...