La bataille

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* Sur la photo en haut,
imaginez que le personnage Giovanni Ademeo ressemble
à Flavio Sergio.

[...]

Conversation téléphonique:

- De quelle garde partager tu me parles, t'habites à l'autre bout du monde, et puis merde fou moi la paix c'est pas des enfants qui te manque, je viens d'apprendre que t'avais eu une fille, t'as qu'a en baiser une autre elle te fera sans doute un petit garçon.

Zuhìr :
T'entends ce que tu dis là ?
Tu crois sincèrement que j'en ai rien ciré de Fahim ? Détrompes-toi, je l'aime, c'est ma chaire, mon sang et en tant que père, je trouve cela normal d'être présent dans la vie de mon fils.

- T'es complêtement timbré, mon pauvre, tu penses sincèrement que je vais te laissé embobiner mon fils, tu veux le rendre comme vous autres !

Zuhìr :
C'est la religion musulmane que je lui inculquerais, et parallèlement la culture mayas, il se doit de la connaitre, cela ne veut pas dire qu'il va devenir un adepte, mais je veux qu'il soit instruit,cultivé,
je veux faire de lui un vrai homme, je veux qu'il apprene à magner une nimcha, qu'il puisse monter à cheval à crue ou avec selle, je veux qu'il arrive à se repérer dans le désert, Mélyah, toi même tu sais qu'il n'y a pas que du negatif dans ce que je dis, ne me dit pas que tu n'apréciais pas lorsque je t'apprenais à te repéré, et à monter à cheval, ou quand nous campions dans le desert, jusqu'à en dormir, quand nous nous guidions à l'aide des étoiles, Mélyah rappeles toi !

- Oui, je me rappelle aussi, quand dès mon arrivée j'ai faillis mourir, et que j'ai vu comment on a arraché brutalement le coeur d'une innoncente !
Je me rapelle, quand tu me battais parce que je ne disais ou ne fesais des choses qui te plaisaient.
Je me rappelle, du jour où j'ai faillis perdre la vie, sous les mains fortes et glaçantes de ton Père.
Je me rappelle, quand ta soeur m'avait menacé avec un poignard.
Je me rappelle, lorsque j'ai découvert la tête de Nadiya dans une boîte à cadeau.
Je me rapelle, lorsque j'ai appris vos drames familliale !

Zuhìr :
T'oublie nos beaux moments,
quand nous nous fesions des confidences le soir, quand nos corps fusionnaient.
Quand nous avions conçu Fahim, quand je baisais ton ventre, pour être en contact avec lui, pour voir si il bougeait..

- Quelles sont les condditions de cette garde ?

Zuhìr :
Je voudrais l'avoir pour les grandes vacances et parfois celles de Noël, et le voir lorsque je serais en déplacement en France.

- Je suis d'accord pour que tu le vois lorsque tu es en déplacement en France, mais tu peux toujours rêvé pour la garde durant les vacances et encore moins les grandes !

Zuhìr :
Alors tu verras très prochainement que mes rêves deviendront réalité.

Et il raccrocha instantanément.

Fin de la conversation téléphonique.

[...]

Je n'arrivais pas à croire,
qu'il c'était permis de me menacer,
quel salopard !

Ma mère n'hésitait pas à me dire qu'elle avait raison dès le départ et que j'aurais dûs l'écouter.

Finalement durant les vacances d'Avril, les enfants étaient à Marseille, avec Médina, ils allaient rejoindre Imran et sa famille,
pour ensuite aller vers Nice, Saint-Raphaël et Canne.
Ils allaient s'amusé, sans compter que la présence d'Imran, leurs fesait du bien, autrefois il jouait une figure parternel pour tout les deux.
Tandis que moi, ça m'arrangeait,
j'aurais d'autant plus de temps de travailler sur mon affaire personnelle et les affaires du bureau, et je pourrais au passage être un peu plus sereine.

[...]

Giovanni passait souvent à la maison,
il n'habitait qu'a quinze minutes de chez moi,
alors le déplacement n'était pas vraiment compliqué.
On prenait point par point,
chacunes des requêtes,
on essayait de trouver de bons argments cohérents et surtout persuasif, et le plus dure était de trouver des preuves.

Nous avions fait des recherches sur la Communauté,
et j'en fus très fortement déçue,
pour la simple et bonne raison,
qu'il n'y avait aucuns témoignages.
Malgrès les accusations,
puisqu'une enquête avait été ouverte mais sans grande avançé,
les victimes étant mortes,
étaient plus particulièrement des anciennes prostituées, des femmes avec un passé de toxicoman, des alcooliques, ou des femmes ayant vécues dans des quartiers très pauvres.
Donc vous comprenez que pour le gouvernement méxicains, ses victimes avaient forcément une durée de vie très courte, alors en plus en manque de preuves, l'état ne pouvait pas vraiment faire de poursuites à cette Communauté.
Tandis que les hommes de la Communauté était pour la pluparts des hommes importants,
alors il était bien normal qu'il ne veuille pas se mélanger avec le reste de la population mexicaine et puis quand à leurs rites,
il ne laissaient aucunes traces de leurs vicitimes et il ne faut pas oublié qu'il fut un temps, le Mexique fut sous une domination Mayas, alors il n'était pas choquant pour L'Etat Mexciain que cette religion se pratique encore de nos jours.

Même si tout avait l'air d'être perdu d'avance,
je ne baissais pas les bras,
Giovanni était tout aussi déterminé que moi,
alors je gardais espoir.

En parlant de Giovanni,
il ne me laissait pas indifférente à son charme, il était beau, élégant,
il avait un certain charisme et était surtout un brillant avocat,
se qui me fascinait d'autant plus.

Mais j'étais bien consciente,
qu'il ne fallait pas mettre la charrue avant les bœufs, une éventuelle histoire ne devait pas nous éloigner de notre objectif,
et puis il ne fallait pas non plus prendre le risque d'être découvert,
sinon nous allions perdre ce procès.
Une relation entre un client et son avocat n'est pas raisonnable et elle peut nous porter préjudice,
le camp adverse pourrait s'en servir pour nous nuire.

Malgrès tout,
sa compagnie ne me déplaisait pas, au contraire, nous étions passés de deux fois par semaine, à quatre.
parfois nous allions mangé dans des restaurants, et même d'autres fois nous, nous faisions un cinéma ou un bowling, où on en profitait pour s'éclater.
Néanmoins,
nous gardions tout de même une certaine barrière, il ne connaissait pas mes proches et je ne connaissais pas les siens,
on parlait seulement de l'affaire ou de nos goûts mais rien de plus, on ne parlait pas de nos problèmes familiale ou bien même de notre jeunesse.

MÉLYAH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant