Carte sur table

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" On peut choisir, ses amis mais pas sa famille."

Précédemment :

Moi : Non Mama, je ne connais personne qui se nomme Tijuana !

Mama : Tía (tante) Maríssa, m'a mise au courant, la rumeur circule qu'une Algésiras aurait été, l'une des concubines d'un Tijuana.
Regardes- moi, ma fille, il t'a fait du mal ?

Moi : Qui ? Mama, qui ?

Mama : Le fils d'Alberto Tijuana, son fils légitime, Tiago Tijuana.

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Je pense qu'à ce moment -ci, ce fut un miracle, de ne pas être tombée dans les pommes, à l'évocation de son prénom.
Mon cerveau ce mit à chauffer, j'essayer de comprendre par A+B, quelles étaient les probabilités qu'il y est un lien, neceraisse que minime entre ma Mère et Tiago.

Mama : Mélyah, pour l'amour de Dieu, répond moi !

Moi : Ce n'est pas qu'une simple rumeur, Mama...

Ces yeux étaient mille fois plus remplient de désespoir qu'il y a quelques instants.
Elle me prit dans ses bras et ses les membres tremblants, qu'elle me caressa le visage et qu'elle me déposa un baiser sur mes cheveux à l'avant de mon crâne, proche de mon front.

Mama : Je me doute des circonstances de ta rencontre avec Tiago, et j'espère que tu as changé.
Il n'est plus l'heure pour les leçons de morales.
Trouves une solution, même les plus absurdes pour qu'il ne t'approche pas.

Moi : Ne t'inquiètes pas Maman, je doute qu'il est à nouveau l'occasion de m'approcher.

Mama : Ne soit pas si sûre de toi, ma fille.
Il te cherche, il te traque, et la chance que nous avons est qu'il ne connaît pas ton identité, seule notre famille au Méxique t'as reconnu, lui il pense que tu te nomme María, mais pour combien de temps ?
Les résaux de trafiqants sont partout, partout dans le monde, dans chaques pays, ils font des alliances.
Et malheureusment il y en a un en France, prions pour qu'il ne remonte pas jusqu'à toi.

Moi : C'est impossible.

Mama : Rien est impossible, mais qu'est ce qui te pousse à affirmer cela ?

Moi : Tiago Tijuana est mort, j'ai vu jaillir des litres de sang provonant de son corps, c'est impossible qu'il est pu survivre, il n'y avait personne pour le sauver.

Mama : Tu l'as tué ?

Moi : J'ai joué en partie un rôle dans celle-ci..

Son expression du visage, changea radicalement.
C'est comme si, elle c'était refroidie.
Elle ne montra aucunes ondes, de compassion ou d'horreur.
Elle me regarda dans les yeux, un regard vide.
Et elle me dit.
" Et bien la prochaine fois que tu envisages de mettre fin à la vie d'un être, fait le efficacement s'il te plaît, c'est insultant, ma fille vient de se salir ses mains pour rien, ce n'était qu'un cafard de toute manière. "

Un jolie sourire mesquin s'afficha sur son visage, avant qu'elle ne prenne ma main dans les siennes.

Moi : Mais Mama..

Elle m'interromput.

Mama : Ne te laisses jamais marcher dessus, Bella.

MÉLYAH Où les histoires vivent. Découvrez maintenant