Commande Steve Rogers 2

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Cela faisait maintenant quelques mois que tu sortais en secret avec celui que tout le monde connaît sous le pseudonyme de capitain America. Pourquoi en secret ? Car vous saviez parfaitement que si vous osiez vous montrer, Nick Fury ne vous laisserait plus vous rendre en mission ensemble, Steve en tant que Avengers et toi en tant qu'agent du Shield, et que donc, par conséquent, vous n'alliez plus pouvoir vous protéger mutuellement sous prétexte d'être déconcentré par la présence de l'autre.

Bien que tu trouvais cela particulièrement débile, tu pouvais cependant le comprendre car tu n'étais pas la dernière à ne pas être déconcentrée par ses muscles toniques et ses calleuses fesses. Tu passais souvent pour une petite fille mignonne de par ta petite taille, Tony te disant régulièrement, bien que cela te donnait l'envie de le frapper, que "Tout ce qui est petit est mignon".

Et même si les Avengers disaient régulièrement que tu étais un brin fofolle, la vérité était tout autre, tu avais l'esprit complètement tordu. Bien que tu essayais réellement de faire des progrès à ce sujet-là, tu ne pouvais pas empêcher les différentes pensées perverses d'entrer dans ton esprit. Tu avais pensé qu'en sortant avec le petit puceau de Brooklyn, tout innocent, cela allait changer. Tu t'étais finalement bien plantée, il fallait croire que tu avais le don de dévergonder même les personnes les plus chastes comme Steve.

Évidemment, ce n'était pas la chose dont il était le plus fier et qu'il allait crier sous tous les toits, mais c'est ainsi. Le super soldat se trouvait actuellement dans la salle de gym, tapant de ses poings fermes un sac de frappe.

Tu étais accoudée à l'embrasure de la porte, observant d'un œil qui se voulait discret, ton petit ami

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Tu étais accoudée à l'embrasure de la porte, observant d'un œil qui se voulait discret, ton petit ami. Sans que tu ne t'en rendes compte, ta vision s'était directement posée sur le tonique fessier du jeune homme. Tu partais du principe que quand on a le cul de l'Amérique en petit ami, il fallait en profiter pour mater.

Malheureusement, tu te rendais compte que tu n'étais pas aussi discrète que tu ne le pensais car, après quelques minutes, Steve se tourna vers toi pour te demander ce que tu faisais. En sachant que tu n'avais aucun intérêt à lui mentir, tu préférais jouer la carte du direct et de la sincérité en lui disant que tu matais sans vergogne son magnifique cul.

Fidel à ses origines, le visage de Steve devînt cramoisi te provoquant l'hilarité tandis que le soldat essayait comme il le pouvait de garder le peu de dignité qu'il lui restait, puis, après avoir soufflé un bon coup, te prit aisément dans ses bras et t'embrassa follement. Décalant finalement son visage du sien, à bout de souffle et un sourire narquois aux lèvres, tu parlais d'une voix qui se voulait ferme :
- Direction la chambre soldat !

Steve ne pût s'empêcher d'éclater de rire et faire avec amusement un salut militaire avant de se rendre au lit, tous deux faisant tranquillement votre petite affaire avant de vous endormir, exténués, dans les bras de l'autre. Vous aviez pour habitude de beaucoup bouger la nuit, du moins, surtout toi alors, le lendemain matin, cela ne t'étonna pas de voir que ce qui t'avait servi comme oreiller durant la nuit n'était nul autre que le fessier de ton cher et tendre qui te demandait avec amusement si tu avais bien dormi.
- Très bien ! En revanche mon oreiller était un peu dur, va falloir mettre du gras dans tout ça.

Après cela et tandis que tu avais soudainement des questions existentielles du style : "Quel est l'intérêt d'un yoyo ?", Steve, quand à lui allait se préparer pour son footing matinal accompagné de Sam et Bucky. Ces derniers étaient d'ailleurs amusés de constater à quel point l'innocence de Steve s'en allait petit à petit avec toi à ses côtés et qui sait, peut-être qu'il serait, un jour, aussi pervers que toi.




Et voilà pour toi LolaDaSilvaSantos ! En espérant que cela t'ait plu !

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