Chapitre 48

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Lors de la fin de soirée, tout le monde avaient quitté la maison pour la leurs. Yogina, la mère de Keisuke, venait enfin de rentrer, et elle était encore plus belle qu'elle ne l'était déjà. Elle avait prit son fils dès qu'elle ait mis un pied entre les murs de son lieux de vie, et l'avait pris dans ses bras, en n'étouffant à moitié.


Elle était encore plus gentille avec Kei, en lui donnant encore plus de surnom affectueux qui semblait lui gêner, lui. J'ai eus le temps de faire un peu de rangement, même si Hina, Emma, Mitsuya et Draken ont rangés avant de partir. Mikey s'était endormie et m'avait collé au baskets, ou plus aux talons toute la soirée parce qu'il avait adoré le gâteau : il voulait que j'en refasse un. Nous avons passé une excellente soirée, j'en étais fière et rassurée, au comble du bonheur, j'avais même remercié les cieux.


Après avoir mangé quelques plats que sa mère ait amené avec elle, je lui ait proposé une des plus grosses parts de mon gâteaux que j'ai mis de côté pour sa personne. Elle avait bien aimé, et m'a félicité de longues minutes. Après avoir regardé la télé en parlant surtout des derniers jours, nous nous sommes rendus chacun dans nos chambres, « nos », je squatte actuellement la chambre de Keisuke.


Je me suis changé à la vas vite, en ignorant le faite qu'il soit dans la même pièce que moi. Passant une main rapide dans le tas de vêtements dans son armoire, je me suis engagée à enfilé un large t-shirt blanc, large qui m'arrive jusqu'aux milieu des cuisses. La fatigue prit le dessus, je m'en alla donc me coucher sans plus juger ma tenue ; Kei se glissa à mes côtés, torse nue. J'éteins la lampe, nous prolongeant le noir totale. Cela ne m'étonne pas plus que ça que Yogina nous force presque à dormir ensemble. Il est vrai que nous sommes la plus part du temps inséparable, elle doit savoir ce que cela fait, et surtout avoir confiance à son fils, pour faire ce choix là.











Keisuke - Je n'arrive pas à dormir, ou alors je dors très mal quand t'es pas à mes côtés.












Moi - Pauvre chou.











J'essaie de rire sans faire de bruit, mais c'est sans compter sur le fait qu'il commença a me chatouiller. Il s'arrête soudainement en se souvenant de ma blessure.











Keisuke - Désolé.











Moi - Ça fait pas mal, j'ai rien sentie, rassure toi.










Nous emmêlons nos jambes, je pose ma tête contre son torse et lui pose une main contre mon dos, l'autre caresse mes cheveux que j'ai attaché en une queue de cheval basse. J'emplie mes poumons de son odeur, les yeux fermés, mon cœur bat la chamade. Je ne me suis jamais sentie aussi bien de toute ma vie, est-ce un rêve? Si oui, faites un sorte que je ne me réveille jamais.











Moi - T'as eus 20ans ! C'est énorme tu sais?












Keisuke - Tu exagères la, tu insinues que je suis vieux?











Moi - Non, seulement que par rapport au lycée, c'est assez étonnant. Ça ne me dérange pas plus que ça moi, je peux au moins t'avoir aussi la semaine, en cours.












Keisuke - Tu ne regrette pas le choix de t'être inscrite?












Moi - Non, honnêtement. Tu avais raison, c'était la meilleure chose que je me devais de faire. Merci...








Je change de position pour me mettre sur le dos. Je sens sa tête se poser soudainement sur ma poitrine, m'efforçant d'ouvrir les yeux, surprise. Je n'ose presque plus respirer, mon cœur bat extrêmement vite, comme à son habitude auprès de lui. Finalement, peu à peu, je pris mes aises, et caresse ses cheveux.





















Keisuke - Je t'aime, Hanaé.

❝𝐋𝐔𝐌𝐈È𝐑𝐄 𝐃𝐄 𝐅𝐄𝐔❞ || 𝑲𝒆𝒊𝒔𝒖𝒌𝒆 𝑩𝒂𝒋𝒊 Où les histoires vivent. Découvrez maintenant