De Rock et de Feu

Chapitre Bonus 69k vues

Bon bon, je me dépêche de vous livrer mon petit chapitre bonus, avant qu'on atteigne les 70k, que ça ait encore de la saveur, vu le contenu...

Je replace rapidos le contenu ; fin du chapitre 72, alors qu'ils rentrent de chez Flav et qu'elle leur a offert la nouvelle MPC à Lo et tout... 

Bonne régalade ! A mercredi, pour de vrai cette fois-ci ;)

Ps : à lire avec le son que j'ai utilisé pour l'écrire, un de mes pref' sur cette terre !

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Point de vue Ken

A peine elle retire ses Suede, que je viens me coller à elle. J'agrippe ses hanches, mais elle tente de s'en défaire en se dirigeant vers le pieu. Elle croit franchement pouvoir m'échapper ?

Je la rattrape, la ressaisis, et comme prise au piège, elle se retrouve coincée face au mur contre lequel repose mon pieu. Elle ne bouge plus, j'en profite pour me coller davantage contre son dos, et la bloquer face au mur. Je laisse une main envelopper sa hanche, que je presse délicatement. Avec l'autre main, j'encercle à peine son cou, et laisse glisser mes doigts tout autour, la retenant vraiment prisonnière de moi. Jusqu'alors, elle n'a rien dit, s'est laissée faire en silence mais enfin elle me demande :

- On peut savoir ce que tu fous ?

Ça me semblait pourtant évident. Ne pas me laisser démonter.

- Je te remercie. A ma façon.

Elle m'énerve à faire l'innocente. Mais bizarrement, ça m'excite encore plus. Il me tarde de passer à l'étape supérieure.

Elle savait très bien qu'en passant la porte de ma piaule, je me jetterais sur elle pour la remercier. C'était le deal. J'aurais voulu le faire plus tôt, mais bon, lui faire l'amour devant tous mes reufs, je suis moyennement fan du concept. Voire pas du tout. J'ai déjà donné deux fois avec ses vieux, où on était à deux doigts de se faire choper en pleine dinguerie. Là chez moi, on risque rien. Ma sœur a tendance à débarquer à l'improviste mais je compte sur elle pour rester sagement chez les vieux ce soir. Et à 17 ans, à 1 heure du mat', j'aime l'imaginer au lit. Seule.

Maintenant j'aimerais pouvoir pleinement me concentrer sur ce petit corps à moi, rien qu'à moi.

Ce même petit corps dont je sens la température grimper doucement alors que je glisse une main sous son tee-shirt. Je relâche son cou, et viens tirer sur son menton pour amener son visage contre son épaule et pour que je puisse lui mordre la lèvre, insérer ma langue dans sa bouche et jouer avec la sienne. Sa salive se mêle vite à la mienne. Pendant que je me délecte de ce cocktail gouteux, je remonte mes doigts, lentement, le long de son ventre, avant de venir les glisser sous le fin rembourrage protégeant ses seins appétissants, et dont l'extrémité durcie me laisse penser que ma manière de la remercier lui plaît. Je n'en suis qu'au début.

Je joue tranquillement avec un des bouts de chair tendue. Je sens son souffle fruité s'introduire en moi, en se faufilant entre mes deux lèvres qui se referment sur les siennes. Trop tenté par la peau douce le long de son cou, je m'arrache de ses lèvres pour venir pincer doucement entre mes dents, un repli de son épiderme tendu et foutrement réceptif. Elle redouble alors l'intensité de son souffle, alors que je joue toujours avec un de ses tétons excités.

Mon autre main, valide, préfère descendre vers l'hémisphère sud de son corps, et s'affaire à lui déboutonner le jeans. Un peu gauche pour le coup, trop agité pour y arriver d'une seule main, la deuxième rejoint l'ouverture de son jeans pour ôter les derniers boutons récalcitrants. Je fais rouler le haut de son pantalon le long de ses cuisses, et pour une fois, je galère pas 10 ans à passer l'obstacle qu'est son gros boule. Aurait-elle maigri ?