69. – « T'étais ou quand j'avais besoin de toi bordel ? »
(déjà pour ce qui est question de ce que Bilel a demander à Niro de faire, c’est infesable ça, on le sait tous, mais c’est juste pour faire une morale à la fin de la chronique. Mon but d’écrire cette chronique c’est de faire une morale à la fin, et s’il y’a des choses que vous trouvez « exagerer » c’est pour faire une morale à la fin, et si vous y réflissait bien pour chaque partie, y’a une petite morale de vie. Voila.)
(merci à celle qui a fait le montage, mercii sah ♥)
Je rentre et va rejoindre Sara dans le salon, où y’avais aussi Khelti Fatima, Leila, Sara ma cousine, Souleyman et .. Elle fout quoi là cella ? .. Et Wassima avec son gosse..
Ils étaient entraine de bien rire, surtout Souleyman qui lui avait son bras autour du cou de Wassima.
Moi – salem Alaykom.
Amir le fils de Souleyman qui vient vers moi.
Amir – Miraaa !
Je sent tout les regards posé sur moi, je souris pour faire bonne figure, et m’abaisse pour le prendre.
Moi – ça va lapinou ?
Amir – nan !
Moi – pourquoi ?
Amir – mama elle m’a fait bobo à moi.
Moi – oh, et ta mal ou ?
Amir – ici !
Moi – je te fais un bisou magique, et ça va partir d’accord ?
Amir – oui !
Je lui fais un bisou sur son bobo, il rigole et me fait un calin puis dit à Souleyman.
Amir – mira elle est gentille, mama elle mechant !
Souleyman - …
Khelti – Labess benthi ?
Moi – Hamdoulillah et toi khelti ?
Khelti – El Hamdoulillah aussi. Ta maman elle va bien ?
Moi – Oui, hamdoulillah.
Khelti – ewa mezian (c’est bien) ! Ta sœur Samia elle va bien elle ?
Moi – oei El Hamdoulillah aussi. Leila bien ?
Je souriai de toute mes dents pour faire l’heureuse zahma, pour que ça l’atteint au clochard.
Leila – Hamdoulillah, et toi ma grosse ?
Moi – Hamdoulillah aussi. Eh Sara tes frères ils viennent pas ?
Sara – si, normalement. Pourquoi ?
Moi – comme ça mdr.
Sara – vient avec moi à la cuisine, fait moi le gateau au chocolat fondu là.
On se lève et va à la cuisine, elle sort les ingrdients et dépose le tout sur la table. Elle s’assoie en face de moi et me mate mélanger les ingrédients.
Sara – pourquoi tu souris ?
Il me faut un mytho pour que je lui dise, parce que connaissant Sara, elle a jamais la langue dans sa bouche, elle dit tout et je sais que si je lui dit un mytho, elle va y croire et aller le dire à Souleyman.
Moi *en souriant* - rien.
Sara – nan sah, ta quoi ?
Moi – jure tu dis rien ?
Sara – tu me connais wesh, dit !
Je rigole et lui dit :
Moi – mon gars il va venir me khtob.
C’était même pas vrai hein, j’avais même pas de gars.
Sara – ton gars ? Mais t’es déjà fiancée à Souleyman wesh.
Moi – ben nan, t’appelle ça fiancée toi ? Il a sa meuf c’est bon, je refais ma vie moi hein.
Sara – toi t’es zinzin ! Plus tu grandis, plus tu fais n’importe quoi et tu deviens zinzin !
Elle se lève et va ouvrir un placard et en sort le chocolat et elle le fait fondre.
Moi – quand ça à finit de fondre, dit le moi comme ça j’arrete de tourner.
Elle me répond pas, elle est surement entraine de penser. Mon plan il commence à marcher, mais là il me faut un gars pour qu’elle y croit vraiment, mais qui ? Et si.. Et si j’en parlais à un de ces frères pour qu’il joue le role avec moi ? Oei je vais essayer en sah. Qui ne tente rien, n’ar rien mais surtout qui joue avec le feu finira par se bruler.
Sara – c’est qui ton gars ?
Moi – si tu veux, je te le présente.
Sara – t’es sah en plus ? Ou tu me disait pour dehak ?
Moi – je te parle sah w’Allah, ta cru quoi toi ? J’allais attendre Souleyman longtemps ou quoi ? Il part sans donner de nouvelles, puis revient comme une fleure, je suis pas un jouet ! En plus ma mère, elle le veut plus. En plus mon gars, même si des fois il a le même caractère que mes frères et Souleyman, ce qu’il le differencie des autres c’est qu’il connait le respect envers la femme lui au moins.
Sara – mais Samira, je te comprend pas w’Allah. Mate tout ce que ta vécu avec Souleyman et du jour au lendemain tu tourne la page comme si y’avais jamais rien eu.
Moi – je fais pareil que lui, et moi j’ai pas tourner la page, j’ai bruler le livre entier.
Sara – le chocolat il est prêt. Fait comme chez toi.
Moi – oei azy. Tu parle, je te tue.
Sara – t’inquiète.
Je la mate se diriger vers la porte de la cuisine où y’avais le clochard adoser à la porte de la cuisine. –‘ Je fais comme si je l’avais pas vu et continue de préparer le gateau.
Sara – ah.. Souleyman, ta besoin de quelque chose ?
Souleyman – nan. Je me sert moi.
Sara – d’accord.
Elle a surement du bouger. Le clochard, il s’assoit en face de moi et mate mettre le chocolat avec la pate.
Souleyman – t’es sur de toi ?
Moi – quoi ?
Souleyman – ce que tu disais à Sara, avec ton zemel là.
Moi – ta gueule.
Souleyman – parle bien, je suis pas ton pote.
Moi – encore heureuse hein.
Souleyman – tu joue à quoi là sah ?
Moi – déjà ta gueule, c’est toi qui joue. Pas moi.
Souleyman – même si je t’explique ce qu’elle fait là l’autre, tu va pas comprendre.
Moi – oei ta raison. J’ai pas envie de savoir de toute facon. C’est ta vie ça maintenant.
Souleyman – tu préfére quoi chez ton zemel ?
Moi – ta gueule.
Souleyman – je vais pas me zehef betement tahu, mais parle cash. Pourquoi tu cache ?
Moi – si si la rime.
Souleyman – c’est marrent ?
Moi – j’ai rigoler ? Nan ben ta ta réponse.
Souleyman – ta gueule. Tu fous le seum vie de moi.
Moi – c’est toi qui parle là ? Ta cru quoi toi là ? Tu me dis vient on recommence à zéro, puis du jour au lendemain plus de nouvelles, et quand j’ai des nouvelles de toi c’est que t’es entraine de dehak avec ta p*te là ! C’est bon maintenant, je suis pas un jouet hein.
Souleyman – ta gueule pour voir ?
J’ai pas chercher à comprendre plus loin avec lui, le bol de pate et chocola, je lui ai balancer dessus, m’enfou que je chocolat fondu soit chaud ou pas. Et je me suis casser chez moi.
Sara – Samira, tu va ou ?
Je lui répond pas et claque la porte de chez elle et me casse chez moi. Je prend le bus et descend à deux trois arrèt après, j’avais trop besoin de prendre l’air w’Allah. Je descend et m’assoie à l’arret de bus. J’avais ma tête entre mes mains, je me retenais de pas pleurer et j’essayai de calmer la douleur dans mon cœur.
…. – Samira ? Ca va ma belle ?
Je relève ma tête et mate c’est qui, c’est la meuf à Bilel au mariage la dernière fois, la « Fadoua ». Je lui répond et remet ma tête entre mes mains.
Elle – qu’es ce qu’il y’a ? T’es sur que ça va ?
Moi – oei, je pete la forme. Bouge.
Elle – parle bien, je suis pas ta pote tahu. Et dit ta quoi là ? Qu’est ce qu’il va pas ?
Moi – tu veux quoi toi ? Et t’es qui au juste aussi ? Ta cru que ma vie c’était un film pour que mate normale ou quoi ?
Elle – je te connais c’est tout ce que tu peux savoir. Et tu peux me faire confiance les yeux fermer w’Allah. C’est encore ton frère Bilel c’est ça ?
Moi – ta gueule.
Elle – en sah je vais pas me zehef betement tahu, déjà parle bien tahu, je suis pas ta pote. En plus j’éssaye juste de t’aider tahu, hassoul salem.
Elle se casse, si elle croit que je vais la ratraper c’est qu’elle est sortie du Madagascar. Je suis rester uen heure à l’arret de bus assise tel une no-life, je calculais personne. Je refesais le parcourt de mes dernières années, je commencais à regretter doucement mais je me suit rattraper, pas le temps pour les regrets. Faut jamais regretter dans la vie.
… - tu fous quoi là ?
Je relève ma tête, mon frère Bilel et sa « meuf » Fadoua. –‘ Elle voulait que je lui fasse confiance, mais madame elle poucave ou je suis.
Moi – tu parle à qui toi ?
Bilel – ta quoi là ? A qui tu parle comme ça là ?
Moi – à toi tien, t’es qui toi ?
Bilel – je vais te gifler, tu va rien comprendre. Tu fous quoi là ?
Moi – Ok c’est cool.
Elle – parle lui bien Bilel, et expliquez vous tranquillement. Tu l’a touche, tu connais la suite.
Bilel – tu joue à quoi là toi ?
Elle – à rien, juste respecte ce que je t’ai dit.
Bilel – déjà ta gueule et décale là bas ! Y’a pas marquer zemel sur mon front tahu !
Là c’est parti dans une bagarre où ils se criaient dessus de ouf. Une fois la bagarre finit, elle lui dit :
Fadoua – t’es sur de toi là ?
Bilel – c’est pas écrit chien sur mon front Fadoua.
Fadoua – j’ai jamais dit ça p*tain ! Pourquoi t’es devenu comme ça ?
Bilel – comme ça, c’est la vie c’est tout.
Fadoua – ton pote Yanis si je l’égorge pas, je m’appelle pas Fadoua w’Allah !
Bilel – ferme ta gueule, parle bien de lui, je dehak pas !
Fadoua – ah quand c’est Yanis, y’a de la défendance et quand c’est ta propre sœur, y’en a pas hein ! Bah bravo Bilel ! T’es tomber bien bas w’Allah ! Je te connaissait pas comme ça moi !
Bilel – ferme ta gueule nan ?
Fadoua - …
Elle parle de moi comme si elle me connaissait depuis des siècles cellà. –‘