70. – « Regardez-moi sourire, regardez-moi pleurer, m'aimez pas car je ne veux pas qu'une fois partie là-haut, que vous me regrettez. »
(merciii infirniment à Myriam Eb poiur son montage ! Il est juste magnifique ♥)
Fadoua – ton pote Yanis si je l’égorge pas, je m’appelle pas Fadoua w’Allah !
Bilel – ferme ta gueule, parle bien de lui, je dehak pas !
Fadoua – ah quand c’est Yanis, y’a de la défendance et quand c’est ta propre sœur, y’en a pas hein ! Bah bravo Bilel ! T’es tomber bien bas w’Allah ! Je te connaissait pas comme ça moi !
Bilel – ferme ta gueule nan ?
Fadoua – nan, quand il s’agit de Samira, je l’ouvre et toi-même tu sais pourquoi !
Elle parle de moi comme si elle me connaissait depuis des siècles cellà. –‘
Moi – si c’est pour le coup de p*te qu’il voulait me faire que vous vous disputez, ben oublie par ce que ça à pas marcher. J’ai plus de connaissance que lui je crois.
Bilel – toi ferme ta gueule toi aussi, je fais ce que je veux saha ?
Moi – oei mais pas avec n’importe qui.
Bilel – ferme ta gueule avant que tu te retrouve encore dans une chaise roulante.
Moi - …
Fadoua – OH ! PARLE LUI BIEN ! C’EST PAS TA P*TE ELLE BILEL !
Bilel – ferme ta gueule toi aussi, si tu veux pas te trouver enrouler d’un tissus blanc dans un coffre.
Elle a exploser en sanglot et lui il l’a mattait normale, il lui manquait plus que les pop corn w’Allah. C’est à ce moment là que j’ai réaliser un truc, c’est que Bilel il est devenu le diable en personne.
Bilel – ta finis ou c’est comment là ?
Fadoua – p*tain t’es dégeulasse Bilel !
Elle se retourne et trace sa route en pleurant. Bilel il se rigole, je le matte choquer. Il est possédé w’Allah.
Bilel – écoute moi bien toi, tu bouge ton c*l et tu retourne chez Sara, mama elle est sortie et y’a personne à la maison, monte je te ramene.
Moi – je vais prendre le bus c’est bon. Je rentre à la maison, je sais rester toute seule.
Bilel – ta gueule et monte.
Je lui répond pas et le suit. Il monte, je fais de même. Il me dépose en bas de chez Sara. Je reste deux bonnes minutes à fixer la porte, jusqu’à ce qu’elle s’ouvre toute seule. C’était un gars qui était dans le hall –‘.
Lui – wesh, ta quoi là à fixer ?
Moi – je te fixe pas toi, mais la porte, c’est pas de ma faute s’il y’a des carreaux en verre et que tu te sent mater hein.
Lui – ta logique zéro sah, tu rentre ou ?
Moi – oei, merci pour la porte.
Lui – tranquille.
Je rentre, il était lui et un autre gars, ils parlaient de je ne sais quoi, j’voulais monter les escaliers quand je trébuche avec un sac. –‘
Eux deux – ptdddr
Moi – c’était pas marrent sah.
Celui qui m’a ouvert la porte – si wesh, mddr tu sais pas marcher oulah ?
Moi – si mais y’avais ce sac, j’avais pas vu.
L’autre gars – ce sac ?
Il vient vers moi et s’abaisse et ouvre le sac, je fais des gros yeux.
Lui – ta rien vu saha ?
Moi – c’est à toi ?
Lui – nan, mais ta rien vu saha ?
Moi – ben si j’ai vu. Remet à sa place si c’est pas à toi wesh, qu’est ce que tu va faire avec des armes là ?
Lui – ça c’est pas tes affaires, ok ? Monte chez toi et chut.
Il se relève et prend le sac et se casse avec celui qui m’a ouvert la porte. Je monte chez Sara au ralenti, la seule question que j’avais en tête c’était « avec une arme, tu peux te faire combien d’argent ? » parce que sah j’avais trop besoin d’argent pour faire mon permis et m’acheter une voiture. Je sonne chez Sara, c’est Wassima qui m’ouvre, elle me dévisage, je l’a calcule à peine et je rentre au salon. Y’avais Leila, Souleyman, Samir, Khelti Fatima, Amir le gosse de Souleyman, Sara et ses frères : Ahmed, Nasser et Samad. Je les salem, et m’assoit à coté de Leila.
Khelti Fatima – t’étais ou ? Pourquoi t’es partie comme ça ?
Moi – je devais faire un truc urgent.
Samad – t’étais venu et tu t’es casser comme ça toi ?
Moi – oei tranquille.
Samad – ta vu l’heure Samira ?
Moi – commence pas stp.
Sara – bref, Leila et Samira venez m’aider à approter à manger.
Je lui répond pas et me lève, w’Allah j’étais ailleure, je pensais au sac d’armes là.
Leila – t’es partie ou et pourquoi t’es revenu ?
Fallait que je continuais de jouer mon jeu avec mon « gars » imaginaire là.
Moi – je devais aller voir mon gars vite fait, puis je suis rentrer chez moi et je suis revenue.
Leila – ton quoi ?
Sara – oei madame elle est fiancée mais elle a un gars sur le coté qui veut venir la khtob.
Moi – tu veux quoi toi là ? C’est ta vie ? Nan ben voila !
Sara – j’ai rien dit c’est bon, ta raison c’est ta vie pff.
Moi – ta gueule.
Je prend les verres et les boissons, Sara elle prend l’assiette, ell avait fait du poulet, Leila elle a pris le pain et les frites. On dépose le tout et on s’assoit pour manger. Ils parlaient de tout et de rien, moi j’étais encore avec le sac d’armes là. Je suis trop conne, au lieu de rien dire et prendre le sac, je me justifier du poourquoi je suis tomper à des inconnus –‘ !
Samad – wesh Samira ta quoi ?
Moi – rien, pourquoi ?
Wassima – y’a qui qui veut que je le sert ?
Nasser *le frère de Sara* - moi, wesh Samira ta quoi ? Tema on est venu de Lyon, et tu fais une de ces têtes là, ta quoi sah ?
Khelti Fatima – j’arrive moi, je vais chercher du sel.
Sara – nan laisse j’y vais moi Khelti, rassied toi !
Khelti Fatima – pas grave, je suis déjà debout !
Khelti Fatima elle se lève et va à la cuisine.
Nasser – allez ta quoi là ?
Moi – je peux te poser une question ? Mais jure tu fais rien ?
Nasser – w’Allah, azy dit là !
Moi – un sac avec plusieurs armes dedans, ça apporte combien d’argent ?
Ahmed mon autre cousin et le frère de Sara, il recrache tout ce qu’il avait en bouche, je le dévisage. Il est bizarre lui.
Nasser – ben je sais pas, pourquoi ?
Samir – c’est quoi ton coup encore là ?
Moi – ben rien wesh, juste j’ai parler avec des gars et ils m’ont expliquer vite fait un truc et c’est tout.
Souleyman – quoi comme truc ?
Moi – rien, c’est pas tes affaires ça.
Samir – nan sah, y’a quoi là ? C’est Niro encore ?
Nasser – Niro ? Le rappeur là ?
Samir – nan, c’est Hamza, elle l’appelle Niro, va chercher pourquoi.
Ahmed – Hamza Hamza tah ***** ?
Samir – oei lui.
Ahmed il lui répond plus et me fixe, y’a un truc qui tourne pas rond chez lui, ça c’est sur, et je vasi pas tarder à le savoir.
Nasser – c’est qui ça Hamza ?
Samir – je crois pas que tu connais.
Nasser – dealer ?
Samir – oei.
Samad – mmh.. Pourquoi tu pose la question d’armes là ?
Moi – mais comme ça wesh, c’était une bête question w’Allah, ça m’est venus comme ça à l’esprit.
Souleyman – on y croit hein.
Je le dévisage, il parle mais il est trop mal placer pour l’ouvrir lui.
Khelti Fatima – malkom 3awed (qu’est ce que vous avez encore ?) ?
Sara – rien, t’en a pris du temps khelti, ta trouver le sel ?
Khelti Fatima – oui, mais il s’est renverser par terre, et j’ai ramasser c’est rien.
Sara – mais pourquoi ta ramasser ? Fallait m’appeler je l’aurai fait Khelti.
Khelti – beleh fomok (tait-toi). C’est rien.
Sara – rolalala, vous voulez boire quelque chose ?
Ahmed – nan, j’arrive moi.
Sara – tu va ou ?
Ahmed – je vais chercher un truc à la voiture, je reviens tranquille.
Samad – on y croit hein. –‘
Ahmed – oei. Samira ramène ta gueule.
Souleyman – pourquoi faire ?
Ahmed – je t’ai jacter toi ? C’est ta femme ok, mais c’est ma cousine aussi. Samira vient.
Moi – pourquoi ?
Ahmed – vient je te dit, tu choisis avec moi un truc.
Moi – Ok.
Je me lève, me lave les mains et le suit. On descend deux étages et il se retourne vers moi.
Ahmed – parle.
Moi – de quoi ?
Ahmed – le sac, il est ou ?
Moi – de quoi tu parle ?
Ahmed – le sac d’arme z*bi ! Il est ou ?
Moi – c’était à toi ?
Ahmed – c’est pas tes affaires, il est ou z*bi ?
Moi – pourquoi tu te zehef là déjà ?
Ahmed – MAIS QU’EST-CE QU’ON S’EN BALEK DE POURQUOI JE ME ZEHEF ? IL EST OU LE SAC Z*BI ? YA QUOI QUE TU PIGE PAS LA ?
Moi – ta gueule, je l’ai pas ton sac. Saoule pas toi aussi.
Ahmed – tu va ou là, reste là oei !
Il m’attrape par le bras, et prend son phone et appelle je ne sais qui, il lui demande de venir au bloc de Samir et il raccroche.
Ahmed – descend, vient.
Moi – lache-moi là, tu me fais mal Ahmed. Ta quoi là ?
Ahmed – tu fous le seum w’Allah, descent et ta gueule.
Je lui répond pas et descend pour voir ce qu’il y’aura. Une fois tout en bas, y’avais personne, il me fait sortir du bloc et attend devant la porte.
Moi – t’attend quoi ?
Ahmed – un gars.
Moi – ben je monte moi alors.
Ahmed – nan tu reste, parce que Samad il va encore parler pour keudal lui.
Moi – Ok.
Deux minutes après ta un gars qui sort d’une vago et se dirige vers nous. Il salem Ahmed et me dévisage.
Le gars – c’est quoi les bails là ?
Ahmed – le sac, il est ou ?
Le gars – comment ça ?
Ahmed – j’ai rien reçu moi mec !
Le gars – tu te fous de ma gueule Ahmed là ah oei ?
Ahmed – nan, je te parle sah là, il est ou ? Il y est pas dans le hall.
Le gars – p*tain ! On fait comment là ?
Ahmed – je sais pas, faut un plan là.
Le gars – quoi comme plan ?
Ahmed – ma zine, elle a vu les gars qui ont pris le sac, donc faut un plan pour les retrouver et recuperer le sac.
Ils se retournent tout les deux vers moi et me regard, s’ils ont cru que je vais leurs rendre service, ben c’est mort d’avance, enfin c’est ce que je me suis d’abord.
Moi – je vous aide en rien moi, je suis pas la pigeonne de service.
Le gars – t’a besoin de biff ?
Moi – nan.
Le gars – on me l’a fait pas à moi cella, je te donne 3 milles euro si tu me retrouve les gars, et je t’en rajoute si tu me retrouve le sac.
Moi – t’es rigolo toi w’Allah. Salem oei.
Je suis rentrer et je suis monter, j’ai laisser Ahmed parler avec le gars. Je sonne, Souley’ qui m’ouvre –‘.
Souleyman – c’est lui ton gars ?
Moi – si tu veux, bouge.
Souleyman – t’étais ou ?
Je lui répond pas, et le fait bouger un peu et rentre dans le salon. Les garcons se sont poser devant la Play –‘ Khelti elle était dans la chambre à coucher de Sara, elle se reposait et les filles elles parlaient entre elle. Moi je m’assois sur le coté et matte à quoi ils jouent. 3000 euro pour les retrouver seulement mais après, si je leurs dit qui sait, ils vont les tuer ça c’est sur, et moi je ne veux aucune mort sous ma conscience.
Samad – il est ou Ahmed ?
Moi – il arrive.
Samad – je t’ai dit il est ou, pas quand il arrive.
Moi – dans les escaliers.
Samad – ta quoi encore ?
Moi – rien wesh, c’est vous vous psychopathez là wesh.
Y’a quelqu’un qui sonne, je me lève et va ouvrir. Ahmed.
Ahmed – garde ça pour toi.
Moi – t’inquiète.
Il me sourit et me fait un bisou sur la joue, première qu’il sourit lui dit donc. On rentre dans le salon, il s’assoit en face de moi, sur l’autre canapé.
Samad – ta ramener quoi de la voiture ?
Ahmed – de quoi tu jacte toi ?
Il est trop con cet enfant, il oublie vite ce qu’il it lui.
Moi – on a pas ramener parce qu’il a oublier les clés dans sa veste.
Ahmed – hein ?
Samad – il se fait cramé solo, et toi arrete de mentir.
Ahmed – bref, vos gueules.
Samad – t’étais ou ?
Ahmed – nulle part.
Samad – et pourquoi t’es descendu en bas alors ?
Ahmed – chercher un truc, tranquille.
Samad – ramène pas la petite dans ta m*rde je te le dis déjà.
Moi – je suis pas petite, j’ai 21ans hein.
Samad – par rapport à nous t’es petite donc ta gueule. Et pourquoi tu le défend là ?
Moi – envie. Pourquoi tu te mêle de ce qui ne te regard pas toi aussi ?
Samad – parle bien déjà, je suis pas tes frères pour que tu me parle mal moi, saha ?
Moi – oei c’est bon j’ai rien dit. Qui peut me raccompagner ? Je vais rentrer.
Sara – dort ici avec mes frères nan ?
Ahmed – nan laisse-là rentrer.
Sara – y’a quoi entre vous deux là ? Pourquoi elle resterai pas ?
Ahmed il me fait un clin d’œil et il rigole, c’est soit il a un plan derrière la tête, soit il est mehboul.
Nasser – ça pue les loves par ici p*tain c’est chaud là.
Ahmed – c’est marrent ?
Nasser – oei un peu ptdddrr.
Samad – vos gueules ! Je vais maintenant rater là !
Moi – Insh’Allah que tu rate, Amin y’a Rabbi.
Samad – ta gueule la bicraveuse.
Moi – c’est marrent ?
Ahmed – oei j’avoue c’était pas marrent là.
Moi – ta gueule toi aussi, qui me ramène chez moi ?
Ahmed – bouge, je t’enmmene.
Je le fixe dis bonnes secondes, d’un coup il voulait que je me casse et maintenant genre il veut me ramener, il est pas clean lui w’Allah. Je vais lehess Souleyman, pas grave c’est pour la bonne cause.
Moi – nan c’est bon, Souleyman tu m’accompagne ?
Je le regard et zahma j’éssayai de faire des yeux doux zahma –‘. Il me regard en levant un sourcil puis il dit :
Souleyman – oei azy, tu prend le même chemin que Wassima donc je te ramène avec elle.
Je le dévisage et dévisage Wassima avec, elle elle souriait cette connasse.
Souleyman – azy nous on va rentrer, Leila va reveiller Yemma.
Elle lui répond pas et se lève pour aller reveiller sa mère. Bref tout le monde se prèpare et on part. On monte dans la voiture et il démarre, il dépose d’abord Wassima et son gosse, puis sa mère et Leila et puis moi après. J’suis sur il l’a fais expret ce clochard.
Sa mère et Leila elles descendent puis il redémarre. Y’avais un silence de ouf.
Souleyman – t’es une grosse connasse en sah.
Moi – si tu veux.
Souleyman – ta gueule sah, tu saoule la vie de moi Samira. Pourquoi tu tombé sur toi z*bi ?
Moi – c’est la vie.
Souleyman – tu sors d’où sah ?
Moi – je sais pas.
Souleyman – je t’ai pas demander de répondre.
Moi – je répond à toute question.
Souleyman – ah oei ?
Moi – oei.
Souleyman – t’a foutu quoi avec Ahmed ?
Moi – rien, parler.
Souleyman – de quoi ?
Moi – je t’en pose pas des questions moi donc c’est pas tes affaires.
Souleyman – en même temps, t’en pose pas tahu.
Moi – tu sais pourquoi d’abord ? Nan ben ta gueule.
Souleyman – dit toujours.
Moi – parce que je sais que même si je te pose la question, tu va pas me répondre, donc autant pas t’en poser.
Souleyman – oei ta gueule c’est mieux.
Moi - …
Souleyman - …
Moi – t’es rechercher par qui sah ?
Souleyman – tu bave quoi là ?
Moi – je connais, sah dit Souleyman.
Souleyman – y’a deux minutes tu me disais que tu t’enfoutait et tu me pose la question, t’es skyzo oulah ?
Moi –je voulais faire un effort et t’aider, masi bon t’enpis hein. Je te force pas.
Souleyman – le seul effort que je peux te demander c’est de parler à aucun gars et de rester chez toi, et quand tu veux sortir, tu me le dis et je te fais sortir quand tu veux w’Allah.
Moi – je veux pas de ça moi, je veux vivre normale. Pas cacher par peur qu’on s’attaque aux proches ou j’sais pas quoi là.
Souleyman – qu’est ce que tu jacte là ? C’est qui qui ta raconter ça ?
Moi – on s’enfou de ce qui qui m’a dit ça, ta fais quoi encore ?
Souleyman – rien tranquille, manque d’oseilles c’est tout.
Moi – c’est tout ?
Souleyman – nan, je dois de l’argent à un gars et c’est tout, il les veut maintenant mais il pige pas que je suis en hess d’argent.
Moi – je sais t’en preter moi si tu veux.
Il freine la voiture et se retourne vers moi d’un coup.
Souleyman – ah oei ? Et tu va trouver ou de l’argent toi stp ? Tu travaille ? Nan ben voila ! Tu veux les toruver ou cette sommes toi ?
Moi – pourquoi tu crie ? Ben je demande qu’on m’enprunte c’est tout.
Enfaite j’avais pas penser à ce qu’on m’enprunter, j’avais plutôt penser à l’offre du pote à mon cousin Ahmed.
Souleyman – sah ta quoi derrière la tête là ? Ton plan foireux avec ton zink c’est ça ?
Moi – hein ?
Souleyman – tu prend prendre qui tu veux pour des cons, mais pas moi Samira. Le bisness je m’y connais mieux que tes cousins, donc prend moi pas pour un con, le plan tah Ahmed je le connais donc ta pas interet à rentrer dedans. Je dehak pas.
Moi – ou sinon ?
Il fronce les sourcils et me regard avec un regard de tueur, j’essaye de le fixer un maximum et de ne pas baisser les yeux, je voulais lui faire comprendre que j’étais pas soumise moi.
Souleyman – ou sinon, tu connais la suite, pas besoin de dessin.
Moi – de toute facon, ma mère elle te veut plus donc ça va rien changer.
Il se retourne et redémarre, y’avais un silence pesant dans la voiture w’Allah, j’aimais ce qu’il était devenu moi. Une fois devant chez moi, il arrete la voiture et attend que je descend mais je le fais pas.
Souleyman – tu veux là maintenant ?
Moi – pourquoi tu change comme ça d’un coup ?
Souleyman – pourquoi ? Tu veux vraiment savoir ?
Moi – oei.
Souleyman – PARCE QUE LA P*TAIN DE TOI, J’AI DEJA DES SOUCIS AVEC LA MALADIE DE MON GOSSE ET TOI TU REMET UNE COUCHE AVEC TA P*TAIN DE GUEULE LA Z*BI ! TU SAIS PAS RESTER CALME ET ATTENDRE QU’ON SE MARIE ET ON SE MET BIEN NAN ? NAN MADAME PREFERE CHERCHER DES EXPLICATIONS A TOUT CE QU’ON LUI DIT !
Moi – pourquoi tu gueule ? C’est de ma faute s’il est malade ton gosse c’est ça ? Je remet pas de couche, juste j’essaye de faire mon travail de fiancée tahu, mais c’est bon j’abandonne, je fais plus aucun, quand je te dis plus aucun, c’est plus aucun effort w’Allah. Maintenant c’est bon, tu peux respirer et clamser comme tu le veut, j’ai juste essayer de t’aider moi sans plus. Hassoul, salem.
Souleyman – nan reste, ton devoir de femme, tu le fais bien Samira, et sah jamais je l’oubirai ton devoir, mais juste le fait que tu cherche des explications à tout ce qu’on te dit, sans savoir si c’est vrai ou pas ! Ca sa me zehef w’Allah !
Moi – c’est bien.
Je descend sans chercher plus loin, je rentre chez moi, c’est mon père qui m’ouvre la porte.
Moi – salem.
Baba – t’étais ou toi à cette heure-çi ?
Moi – chez Sara.
Baba – t’es venu comment ?
Moi – Souleyman qui m’a accompagner.
Baba – mmh.. Y’Allah va dormir, il est bientôt minuit.
J’acquit de la tête et me dirige vers ma chambre. Le lendemain, c’était comme oujours la routine, je me reveille vers 11 heures, je fais le rituel du matin puis je vais rejoindre ma mère sur le canapé, je déjeune avec elle. Elle me dévisage.
Moi – chno (quoi) ?
Yemma – t’es rentrer avec qui hier ?
Moi – Souleyman.
Yemma – je t’ai dis quoi ?
Moi – mais yemma, c’est rien wesh, pourquoi tu fais ça ?
Yemma – moi je veux que ton bien benthi, après fait ce que tu veux, je m’enfou maintenant.
Moi – arrète, moi je m’enfou pas.
Yemma – c’est bien.
Je baisse la tête et finit de manger puis débarasse le tout. Je vais dans ma chambre et prend le pc, je réeteind parce que ça m’avait saouler. Je vais au salon et mate la tv avec ma mère.
Yemma – va te chercher du travaille.
Moi – demain.
Yemma – nan aujourd’hui, y’Allah lève toi et va te chercher du travaille.
Je soupire et me lève, je me prépare bien comme il le faut et je prend le phone à ma mère et appelle Sara.
Sara – mmh ?
Moi – tu dors encore ?
Sara – nan, qu’est ce qu’il y’a ?
Moi – rien, tu fais quoi là ?
Sara – rien, avec Samir et mes frères devant la Tv. Tu vien ?
Moi – nan, tu vien avec moi ?
Sara – ou ?
Moi – chercher du travail.
Sara – nan la flemme, demande à quelqu’un d’autre.
Moi – nan c’est bon, envoit moi le num de Leila, je lui demande.
Sara – d’accord, après passe sur moi.
Moi – oei si tu veux.
Elle raccroche et m’envoit le num de Leila, je l’appelle.
Leila – ALLO ?
Moi – pourquoi tu crie ?
Leila – ah c’est toi, bien ?
Moi – oei et toi ? T’es ou ?
Leila – chez moi et toi ?
Moi – pareil, tu fais quoi là ?
Leila – rien, Facebook.
Moi – t’es encore dessus ? Passe au level supérieur wesh.
Leila – mddr laisse moi tranquille toi aussi.
Moi – d’accord, tu vien avec moi ?
Leila – ou ?
Moi – chercher du travail.
Leila – oei azy, moi aussi il me faut un boulot là, vient chez moi, le temps que je m’habille et tsa.
Moi – d’acc’, j’arrive.
Je raccroche, salem ma mère et sort de chez moi, je prend le bus et direction chez Leila. Une fois en bas de son hall, je sonne à l’interphone, c’est Souley qui répond –‘.
Souley – oei c’est qui là ?
Moi – dit à Leila que je suis là.
Souley – c’est qui là ?
Moi – c’est moi.
Souley – nan ? Jure ? Ils sont chelou tes parents, ils te donnent un déterminant au lieu d’un blase.
Je rigole, il est trop con cet enfant.
Moi – mdr c’est pas marrent.
Souley – oei c’est pour ça tu dehak, sah c’est qui ? Leila elle sort pas avec des déterminants donc rentre chez toi petite.
Moi - --‘ mddr c’est Samira, dit à Leila de descendre.
Souley – vous allez ou ?
Moi – dehors.
Souley – t’y ai déjà hmara, je t’ai dis quoi hier Samira ?
Moi – rien.
Souley – tu zehef la vie de moi. Azy elle descend maintenant ta pote. Tss.
Moi – Ok. Y’a Wassima qui arrive.
Souley – j’arrive.
P*tain le connard. L’autre elle arrive, elle me sourit. –‘
Wassima – salem.
Moi – salem.
Wassima – ça va ?
Moi – oei.
Wassima – Hamdoulillah alors. Souleyman il est là ?
Moi – je sais pas, m’enfou.
Wassima – pourquoi t’es compliquée comme ça ?
Moi – pourquoi tu me parle déjà toi ?
Elle soupire, et sonne à l’interphone.
Souleyman – quoi encore ?
Wassima – c’est Wassima, descend stp.
Souleyman – oei j’arrive.
Il arrive trois minutes après, il l’a salem, puis lui dit :
Souleyman – alors ?
Elle lui répond pas et lui tend un papier.
Souleyman – c’est quoi ?
Wassima – prend wesh.
Souleyman – nan, c’est quoi ?
Wassima – me fatigue pas toi aussi stp, prend stp.
Souleyman – oh tu me fais quoi là ? Il est ou mon fils ?
Wassima – hopital. J’y retourne maintenant, il doit passé un séjour là-bas pour être sur, je vais reester avec lui.
Souleyman – z*bi ! Azy je passe après moi.
Wassima – oei si tu veux, azy tien. Y’a tout marquer dessus, salem.
Souleyman – oei azy, salem.
Elle lui sourit puis part, il s’assied sur la marche d’escaliers de dehors et ouvre le papier et l’a lit. Je le regard sans réagir, je fais plus d’effort moi, je m’enfou maintenant.
Souleyman – quoi ?
Moi – rien.
Souleyman – Ok.
Je continue de le fixer, lui il lit et secoue sa tête en guise de « non ».
Souleyman – p*tain z*bi !
Moi - …
Souleyman – rend moi service hecheik ?
Moi - …
Souleyman – je te jacte là !
Moi – quoi ?
Souleyman – accepte.
Moi – quoi ?
Souleyman - …
Il se fout de ma gueule lui w’Allah.