47

25K 1.1K 23
                                    

47 – « Oublier pour avancer.. »



Elle – ben, c’est pour savoir, Souleyman il est là ?

Moi – nan, mais il arrive, c’est pour ?

Elle – ben il m’a dit de venir en bas, et depuis la toute à l’heure j’attend et je suis monter.

Moi – oei et tu savais pas attendre encore nan ?

Elle – ben je sais pas. T’es qui toi enfaite ?

Elle se fout de ma gueule à oei ?

Moi – c’est plutôt moi qui devrait te poser la question.

Elle – moi c’est Wassima.

Je l’a regard de haut en bas, ya rabbi donne moi la patience de ne pas la tuer maintenant.

Y’a quelqu’un qui monte les escaliers, je me penche pour voir qui c’est, c’est Souleyman qui est remonter.

Souleyman – tu fou quoi toi là ?

Wassima – ben, rien je suis monter par l’ascenceur.

Souleyman – oei et qui ta dit de toquer chez moi ?

Wassima – ben personne.

Souleyman – ferme ta gueule c’est bon. Recule toi.

Moi – stp c’est pour les chiens ?

Souleyman – commence pas stp et fait rentrer l’autre là.

Wassima – comment ça l’autre ? Tu crois que je suis un chien ou quoi ? Et toi, matte moi bien !

Souleyman – parle lui bien, et ferme ta gueule c’est pas ta pote et moi encore moins ! T’es pas un chien, mais une chienne ! Soit rentre et ferme ta gueule, soit casse-toi, choisit.

Souleyman il me prend par le bras et me fait rentrer au salon, l’autre conne elle nous suit.

Moi – j’ai réver ou elle m’a parler à moi ?

Souleyman – fait pas attention, nie-là.

Moi – ta gueule clochard, d’où tu l’a ramène ici ? C’est bon moi je me casse.

Il me fait assoier sur ces genoux et me bloque.

Moi – lache moi là.

Souleyman – nan, tu reste.

Samir – wesh il se passe quoi là ? Wah, elle fout quoi elle ici ?

Wassima – j’ai un prénom hein.

Samir – parle pas avec moi toi.

Souleyman – laisse-là, elle reste un peu et elle bouge.

Moi – mais lache-moi là wesh !

Souleyman – reste tranquille, je dehak pas.

Moi – ta gueule.

Je croise les bras, zahma pour montrer que j’étais zehef, le clochard il rigole.

Souleyman – mddr.

Moi – ta gueule.

Souleyman – parle bien avant que je te viole.

Moi – ta gueule.
Il prend la manette et continue mon jeu.

Moi – joue et lache moi.

Souleyman – nan, tu reste.

Moi – allez stp.

Souleyman – nan mddr.

Y’a le bébé qui pleure, Souleyman il met pause et me fait assoier à coté de lui, je voulais me lever mais il m’attrape par le bras.

Souleyman – Wassima donne le moi.

Wassima – tien.

Elle lui donne le petit, il le prend dans ces bras puis me le donne.

Souleyman – prend-le.

Moi – nan, bouge.

Souleyman – prend wesh, me zehef pas.

Je soupire et lui prend le petit, il sourit de toute ces dents et me fixe le clochard.

Souleyman – fait le dormir pour voir si tu sais.

Moi – tu joue à quoi là ?

Souleyman – à maman, papa tahu mddr. Nan sah, tu t’imagine avoir un gosse ?

Moi – oei mais pas avec toi.

Il fronce les sourcils, il a pas aimer ce que je vien de dire je pense.

Souleyman – ah oei ?

Wassima – bon ben je vois que je derange, je vais y aller moi.

Moi – bon débara. Tien ton gosse.

Souleyman il soupire et me prend le petit des mains et se lève pour accompagner Wassima à la porte. Moi je prend la manette et joue, p*tain le connard il a le don de m’énerver ! Je sais pas il joue à quoi en me ramenant l’autre conne, mais j’aime pas son jeu là !

Il revient avec le petit dans ces bras et s’assoie à coté de moi.

Souleyman – elle est partie c’est bon, le petit il reste avec nous.

Moi – m’enfou de ta vie.

Souleyman – pourquoi tu fais la gamine là ?

Moi - …

Souleyman – oh je te parle !

Moi - …

Il approche sa tête de mon oreille, et me dit :

Souleyman – croit pas que je fais ça pour te rendre jalouse hein, je voulais juste que tu vois c’est qui et que tu vois ton futur gosse.

Moi – m’enfou de ta life, et c’est pas mon gosse.

Il soupire puis se lève et part je ne sais ou. Je jouais tranquille quand ta le petit qui pleure –‘ ! Waaaah ! Je met pause et le prend, il pleurait toujours, je me lève et le secoue doucement dans mes bras pour qu’il puisse dormir. Il se calme doucement, je le prend et va dans une pièce pour le déposer et pour qu’il puisse dormir tranquillement. Je rentre dans la première pièce, Souleyman il est coucher sur le lit, il se retourne et me fixe.

Je m’aproche de lui et dépose le petit à coté de lui, il est trop mignon le petit, je lui fais un bisou, il voulait pleurer, je le secoue sur le lit et il s’endort. Je me lève et allait sortir quand t’a l’autre con qui se lève et vient m’attraper par le bras.

Moi – lache-moi là.

Souleyman – nan, pourquoi tu fais la gamine comme ça ?

Moi – parce que tu rend ouf ! Tu comprend jamais rien !

Souleyman – c’est toi qui rend ouf Samira ! Tshek normalement je dois avoir la haine contre toi pour ce que tu m’a dit hier mais nan, je suis la comme un con à te courir après.

Moi – tout ce que je t’ai dit hier, je le pensait pas, je voulait juste te faire réagir, tu fais du mal à ton entourage pour rien. Sah chut, je veux rien savoir, ta raison j’ai voulu t’aider comme une conne, mais je vois pas pourqui tu changerai pour moi si tu change pas pour ta mère.

Je sors de la pièce et me réfugie dans la salle de bain. Pourquoi je t’ai laisser rentrer dans mon cœur ? Pourquoi il est compliquer comme ça ? Pourquoi il rend la vie difficile ?

Toc.. Toc..

Moi – occupé.

Sara – ta quoi ? Vient manger.

Moi – j’arrive.

Sara – tu pleure ?

Moi – nan.

Sara – vient manger alors.

Moi – j’arrive je t’ai dit.

Je m’assoie sur le bord de la salle de bain, et pense à Bilel mon frère, p*tain il va me tuer ! Et Yemma je parie qu’elle est entraine de me chercher, et à Foued lui il va pire que me tuer, et Mourad ? Lui il va même pas m’adresser la parole jusqu’à la fin de sa vie, je suis sur ! Et Baba ? Lui je m’enfou, tout ça à cause de lui.. Nan enfaite, tout ça à cause de ce sentiment qu’on appele « L’amour », ce sentiment qui te fait faire l’infairable ! Tout ça à cause des sentiments que je porte pour l’autre gros con qui pense qu’a sa gueule. Je crois que je vais rentrer chez moi c’est mieux, quitte à me faire tuer et me marier avec Aymen, pas grave, après tout le vrai amour n’est qu’autre que dans le Hlel nan ? Quitte à être soumise, pas grave, j’ai plus la force de me battre !

Je séche mes larmes, me lave le visage et sort de la salle de bain et va les rejoindre dans le salon. Je m’assoie et mange avec eux.

Sara – Samira ça va ?

Moi – oei.

Sara – ta les yeux tout rouge, ta pleurer ?

Je sent le regard de Souleyman sur moi.. Croit pas que j’ai pleurer pour ta gueule connard !

Moi – nan, j’ai mis du démaquillant.

Souleyman – y’a pas de démaquillant dans la salle de bain.

Il ose encore parler le clochard.

Moi – j’en avais.

Samir – laissez-la tranquille.

Sara – comment ça laissez-la tranquille ? Ton batard de frère il l’a fait pleurer et tu veux que je me l’a ferme ? Oei ben autant être soumise alors !

Samir – parle moi correctement, je suis pas ton pote ! Et c’est pas tes affaires, c’est entre eux !

Sara – ma cousine, c’est moi ! Ok ? Les affaires de ma cousine, c’est à moi ! Ok ?

Samir – ferme ta gueule ! Et bouffe !

Sara – ferme ta gueule toi-même ! Je suis pas un chien pour bouffer ! Bouffe toi connard !

Il l’atrape par la machoire, ben oei qu’est ce que vous croyez, Samir il est hnine mais faut jamais le chercher.

Samir – parle bien, avant que je te séqueste.

Sara – smeh, c’est bon Samir.

Ben oui, faut pas oublier que Sara elle fait partie de la deuxième catégorie, elle a une grosse gueule mais elle n’assume jamais par après.

Samir – c’est bon, mange maintenant et tait-toi.

Sara – mais ça se fait pas ce que tu lui fait Souleyman sah.

Moi – ferme ta gueule, je m’enbat les c**illes de sa vie !

Sara – oei et genre tu va me dire que t’a pas pleurer pour lui ?

Moi – tu m’a prise pour qui ? Ferme ta gueule, j’ai pas pleurer et encore moins pour sa gueule ! Samir tu me ramène après chez moi ?

Sara – comment ça ?

Moi – je vais rentrer chez moi wesh, je fous quoi ici ? Rien, donc autant rentrer chez moi.

Sara – et si ils te marient à Aymen tu fais quoi ?

Moi – ben rien, le mariage tien.

Sara – t’es sah là ?

Moi – oei c’est mieux.

Sara – ta quoi ?

Y’a que j’ai envie de partir, partir loin, loin de ce connard, loin de Baba, loin de ce monde, dans un monde ou la vie est belle et non où la vie est chaque jour un combat..

Moi – rien, tranquille.

Sara – ta quoi derrière la tête ?

Y’a que j’ai envie d’oublier ce connard à coté de moi !

Moi – ben rien, tranquille wesh.

Sara – t’es bizarre.

Samir – laisse-là, elle sait ce qu’elle fait, elle est assez grande pour s’assumer.

Sara – oei mais y’a quelque chose de pas rond dans ce qu’elle dit Samir, c’est quoi ton plan là ?

Moi – pourquoi tu vois le mal partout ? Y’en a pas wesh ! Je rentre, je me fait tabasser, je me fait traiter, je me fait ignorer puis je me marie puis voila khlass.

Sara – nan t’es bizarre mais bon, comme tu veux alors.

Souleyman – tu va nulle part oei.

Là j’ai cru halluciner, j’ai fais comme dans les films, j’ai arreter de manger et j’ai relever ma tête au ralentie et je l’ai fixer dix bonnes secondes et j’ai pris mon verre de Fanta et je lui ai balancer à la gueule, le verre avec !

Moi – C’EST PAS TOI QUI VA ME DIRE QUOI FAIRE ! TOUT CA C’EST DE TA FAUTE ! TOUT CA ! MAIS TU T’EN BALEK TOI ! MAIS MAINTENANT N*QUE TA RACE BIEN COMME IL ME FAUT ! CLOCHARD ! CONNARD !

J’ai peter un plombs, je le traitai de tout les noms et ce qu’il me rendait ouf le plus c’est qu’il réagisait pas ! Je petais un cable comme une hystérique ! Samir il me prend dans ces bras.

Samir – arrète Samira. 

Moi – MAIS CASSE-TOI TOI AUSSI !

Il me prend tel un sac de patate et me fait rentrer dans une chambre et referme la porte derrière lui. Je tappe sur la porte et l’insulte lui aussi, à force j’avais épuiser mon energie, je me pose contre le lit et met ma mains entre les mains. Ya Rabbi éloigne-le de moi ! Aide-moi à l’oublier !

Amir – ouiiiiiiin !

Je relève ma tête et regard sur le lit, le petit Amir il s’est reveiller et pleurait. Je me lève et le prend dans mes bras et le fait rendormir, il voulait pas dormir Je m’allonge sur le lit et le fait allonger sur moi, il suce mon pouce tout en me regardant. Il est trop mignon sah, je lui enbrasse le front et lui parle tel une no-life.

Moi – ton papa c’est un batard tu sais ça ? Et ta maman, laisse tomber sahbi ! Sah t’es un bete de beau gosse toi, mais dommage que depuis ta naissance la vie elle t’a pas fait de cadeau, à ta naissance tu subit des problèmes de cœur, des échanges entre ta mère la conne et ton père le batard ! Pourquoi tu me regard ? Je sais que je suis belle t’inquiète ! Nan, sah toi aussi t’es beau t’inquiète, mais sah même si on se reverra plus, ben ta interet à jamais te laisser faire et à te battre comme moi, laisse personne te marcher dessus, et détruire tes rêves ! Ah oei ? Parle wesh ! Nan sah, je passe pour vla la conne moi aussi, hassoul dort là !

Il continue à me fixer tout en souriant et à sucer mon pouce.

Moi – c’est bien, tu m’écoute pas ! Ta tout compris ! Faut pas te laisser faire ! T’es trop hloue en sah la vie de moi !

Je lui tire la langue, il rigole puis continue à sucer mon pouce et doucement il s’endort. Je lui caresse les cheveux et finit par m’endormir moi aussi.

Samir – laissez-les dormir wesh ! Sortez de là !

Sara – haaaaaaan ils sont trop beau ! P*tain, je veux un gosse moi aussi !

Samir – rève alors, tu l’aura dans longtemps !

Sara – t’es pas serieux là ?

Samir – je te parle sah là, je veux d’abord profiter puis après je te fait deux gosses par ans !

Sara – nan mais je m’enfou moi ! J’en veux un !

Je souris et ouvre les yeux doucement, Souleyman il est assie à coté de moi et me caresse les cheveux, à la porte d’entrée y’a Sara et Samir entrainent de se disputer.

Souleyman – vous l’avez reveiller là wesh !

Je le dévisage et enlève sa main de mes cheveux, il me regard tout en soupirant.

Sara – smeh hbiba, rendort toi.

Moi – nan, c’est bon c’est rien tranquille.

Samir – je t’accompagne demain matin, il fait nuit là.

Je soupire et accepte.

Samir – smeh mais tranquille un jour de plus c’est rien.

Moi – oei c’est bon, prend le petit.

Souleyman – dépose-le sur le lit.

Moi – je t’ai pas parler à toi.

Souleyman – ta gueule.

Je prend le petit de moi et le met à coté de moi, je lui donne mon pouce, il se rendort directe. J’enlève mon pouce doucement et me lève doucement et sort après les autres et referme la porte derrière moi. Je me pose au salon avec les autres, Souleyman il s’assoit en face de moi et sms je ne sais qui. Si il croit me rendre jalouse, ben c’est rater parce que je suis deter à l’oublier !

Sara – tu t’y connais avec les petits 3afrita !

Moi – normale.

Samir – sah ta quoi ?

Moi – rien.

Samir – tu nous a fait quoi la tentot ?

Moi – je sais pas, comédie.

Samir – oei c’est ça –‘ ! Hassoul, toi bouge on va dormir !

Sara – oei azy ! Bonne nuit toi !

Moi – oei azy.

Je lui claque la bise et tshek Samir, je me lève à la cuisine et me fait àà manger. Ta l’autre qui rentre.

Souleyman – fait pour deux stp.

Je lui répond pas, et continue de faire à manger. Je lui fait une assiette et lui dépose devant lui, je prend mon assiette et va manger dans le salon. J’allume la tv et regard 2M. Y’avais rien d’interessant mais je regardai quand même. L’autre il arrive et s’assoie à coté de moi.

Moi – recule-là bas.

Souleyman – nan.

Je lui répond pas, et finit de manger.

Souleyman – un jour tu comprendra.

Moi – j’ai pas besoin de comprendre, j’ai plus besoin.

Souleyman – ta gueule.

Moi – toi-même, je t’ai trop laisser prendre la confiance toi, mais maintenant prend pas la confiance et parle bien !

Souleyman – ta gueule y’a quoi ?

Faut pas que je rentre dans son jeu ! Je me lève, débarasse et bouge me coucher dans une autre pièce. Je cogitai tel une conne, je suis sur que je vais me faire tabasser demain, voir même égorger !

Souleyman – Samira, tien prend Amir, il veut pas dormir.

Moi – donne-le moi.

Il rentre et me le donne, je le fait coucher près de moi et lui donne mon pôuce, il rigole et me mord le pouce, je rigole avec lui.

Moi – il a pas de biberon ?

Souleyman – si, attend j’arrive.

Il va et revient avec le biberon, je lui donne, il ferme les yeux et tien mon pouce. Il dort doucement mais finit par dormir.

Moi – c’est bon, va dormir. Laisse-le avec moi.

Souleyman – nan, je dors avec vous.

Moi – nan, va dormir ailleure stp.

Souleyman – c’est pas toi qui décide.

Il s’allonge à coté de moi, enfin de l’autre coté d’Amir, il caresse les cheveux de son fils puis il me dit :

Souleyman – il te keaf déjà.

Moi – oei, mais faut pas pour longtemps.

Souleyman – ta gueule, t’es à moi.

Moi – nan, je serai à Aymen bientôt.

Souleyman – rève toujours.

Moi – dit ça à toi plutôt.

Souleyman - on verra.

Moi – oei ta gueule, laisse moi dormir.

Souleyman – tu vien de te reveiller alors ta gueule.

Moi – oei ta gueule.

Je ferme les yeux pour pas voir encore sa gueule, il me fatigue sah. Je l’entend soupirer, il me caresse la joue et s’endort je crois.

Le lendemain, y’a Sara qui vient me reveiller.

Sara – Samiraaaa !

Souleyman – laisse-nous toi ! Casse toi wesh !

Sara – mais ta gueule toi, elle doit partir.

Souleyman – nan, elle reste j’ai dit ! Casse-toi !

Je me reveille, et m’étire.

Souleyman – rendort toi toi !

Moi – nan, je dois y aller.

Sara – on est dans le salon, on t’attend.

Elle part. Souleyman il se lève et me fixe.

Souleyman – tu reste avec moi, je dehak pas.

Moi – nan, déjà que je vais me faire tuer ! Rester avec toi ? Du coup, j’en ai moins envie.

Je me lève et sort, je me rince le visage, mange et va rejoindre Sara et Samir au salon. Y’a Souleyman aussi avec le petit –‘.

Moi – on y va ?

Samir – oei azy.

On bouge tous en bas, on monte en voiture et on va direction chez Souleyman, je devais récuperer mes affaires là. On arrive, je récupére le tout et met dans le coffre, je salem Khelti et on part. Dans la voiture, je stresser de ouf, j’avais une p*tain de boule au ventre..

On arrive devant la maison, Samir il rentre dans le jardin, je fais des gros yeux à Sara, elle hausse les épaules cette conne.

Je descend en première, y’a Foued qui sort de la baraque suivit des autres, il m’attrape par les cheveux et ta ….

Il tien pas à sa vie lui, la vie de moi..

« Princess ? Qui ta dit qu'aimer était facile ? » - Chronique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant