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55. – « Le reflet du miroir-vérité. »



(merci à Lectrice DeChro pour son montage  !)



Lui ai moins il a compris qu’il est en tord, pas comme Bilel qui celui-çi dit :

Bilel – zahma quoi si on te demande ça va ? Y’a quoi ? C’est de notre faute si tu t’es tej par la fenetre peut être ?

Moi – si tu le prend comme ça, dégage c’est mieux. Tu veux quoi au final toi ? Dégage de ma vie p*tain !

Bilel – de ta vie ? T’en ai sur ?

Moi – oei.

Aussitôt les lettres prononcer, aussitôt je regrette de ouf. Il me fixe cinq bonne secondes puis part.

Foued – tu déconne.

Moi - …

Foued – pourquoi t’a fais ça ?

Moi – je sais pas.

Foued – si ta tout ces problèmes à l’heure qu’il est, dit toi que c’est de ta faute Samira. Pas la notre, nous on t’a juste eloigner de Souleyman sans plus. On t’étouffe ? Peu être mais dit toi qu’on te laisse plus de priorité que certains grands frères avec leurs petites sœurs. Maintenant remercie juste Yemma d’avoir fait des dou’aa pour que tu te reveille, parce que sinon t’aurai clamser à l’heure qu’il est.

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Je passe des mois parce que c’était la galère chez moi, je pouvais rien faire à cause de mes jambres, je fesais rien de mes journées juste à aller à l’hopital avec Mourad pour mes jambres, j’étais toujours chez ma tante, Yemma et Mourad ils se sont installer chez ma tante pour moi. Samia, Foued et Bilel eux ils sont rester sur Paname avec mon père. Souleyman je l’oubliai petit à petit, j’ai jamais eu des nouvelles de lui et de ceux que je connaissais sur Paname, j’étais couper du monde w’Allah.

Mes journées je les vivait mal sah, je pouvais rien faire sans demande de l’aide à quelqu’un, moi qui avait l’abitude de me débrouiller seule. Je fessait rien de mes journées w’Allah, et chaque jours qui passaient, je m’en voulait d’avoir sauter de la fenétre, dire qu’ils y’a certains personnes qui completement pas de jambres.. Dire qu’il y’a pire que mon cas, dire qu’il y’a des gens qui vivent bien pire que moi, chaque jours je me haissait w’Allah, pas le fait de ne pas savoir marcher, mais le fait d’avoir été ridicule et de ne pas me retourner vers Allah.. La prière je l’ai commencer, je l’a fessait assise, j’implorai Allah de me pardonner de mon péché. Je passais mes journées sur le net à regarder des invocations et tsa, j’apprennai doucement mais surement ma religion .
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Un an et deux mois exatement après que j’ai pu enfin marcher normalement sans biquies sans rien, El Hamdoulillah.

Mourad – sii sii ma sœur ! Tshek !

Je lui souris et le tshek, il me prend dans ces bras et m’enbrasse le front. Sur le chemin, il rigolait et tsa, je souriai de temps en temps, j’avais une boule au ventre, un présentiment bizarre w’Allah, je sais pas c’était quoi.

Mourad – ta quoi ?

Moi – euh.. rien, ça fait bizarre c’est tout.

Mourad – mddr tranquille wesh, wah comment ça à vite passer, vingt ans déjà sahbi !

Moi – oei tahu.

Il me répond pas, et se concentre sur la route. Une fois à la maison, on rentre normale, Yemma et Khelti elles me regardent et youyoute, je souris, elles me prennent dans leurs bras, on rigole vite fait puis je pars dans ma chambre me reposer. Je m’allonge et m’endort.

Kassim – wesh, reveille toi wesh ! Wesh c’est ton jour aujourd’hui et toi tu dort ! T’es sah ? T’es pas contente ?

Moi – hier, aujourd’hui et demain, les jours sont pareils juste le nom des jours qui changent. Si mais je sais pas, j’ai un mauvais présentiment.

Kassim – kheir Insh’Allah, lève toi manger là. On t’attend.

Il sort de ma chambre, je me lève et descend au salon au ralentie. Je rentre, y’avais mon père, Samia, Foued et Bilel, ils ont surement du venir y’a pas longtemps.

Moi – salem.

Je m’assoie à coté de Kassim, et soupire.

Yemma – malek ?

Moi – rien, je suis fatiguer c’est tout.

Baba – ben mange et va te reposer.

Je lève ma tête et le regard, il me sourit.. C’est soit je rève ou c’est soit je réve là. Je lui rend son sourire et baisse la tête.

Bilel – Mourad, vient, on doit parler.

Ils se levent tout les deux et sortent de la pièce. Nous on mange, enfin ils mangent, moi j’ai jjuste manger un peut et je me suis lever pour aller à la cuisine. Je me lave les mains et j’allais retourner dans le salon quand je vois la porte d’entrée ouverte, j’allais la refermer quand j’entend Bilel et Mourad parler de moi.

Bilel – et Samira ? On fait quoi ?

Mourad – pourquoi tu viens chez moi là ? Dém*rdez vous !

Bilel – t’es sah là ? Wesh fait pas le radin là, donne un prétexte là !

Mourad – c’est pas toi qui décide Bilel, c’est elle. Arrète ta mentalité d’ancien là ! Elle va pas se laisser faire, et je suis de sn coté cette fois ci !

Bilel – t’es sah là ? Wesh donne juste un prétexte et c’est bon, je t’ai rien demander de plus !

Mourad – va voir Foued, demande-lui toi !

Bilel – azy lui, il est déconnecter depuis que l’autre elle s’est jetter de la fenetre là, il parle à plus personne, il est mort de l’intérieur lui.

Mourad – il a quoi ? Impossible que c’est à cause de Samira, parce que son suicide il date de un an et des mois maintenant.

Bilel – je sais pas, il est bizarre depuis longtemps lui, d’une part à cause de Samira et d’une autre part à cause de je sais pas quoi là.

Mourad – et à cause de qui tout ça ? Ben Bilel ***** ! Tu croyais bien faire ? Ben continue a croire bien faire !

Bilel – tu comprend pas pourquoi je fais ça moi ! Donc n*que ta race, je t’ai rien demander c’est bon !

Mourad – mdr t’es rigolo toi la vie de moi ! J’ai compris ton plan t’inquiète, mais sa marchera pas, je te le dit déjà ! Meilleur pote ou pas, ça va pas marcher.

Bilel – tu parle de quoi toi ?

Mourad – de Yanis ton shab, lui je l’ai pister de près donc ta gueule, garde tes disquettes ! Tu crois bien faire en lui avoir dit ça, mais tu détruit ta famille khey. Azy moi je rentre.

Je recule et marche vite jusqu’au salon, je rentre et m’assoie. Les parents ils parlaient entre eux, moi j’étais loin dans mes pensés, ils parlent de quoi eux deux ? Il est ou le rapport avec Yanis ? Et si.. Nan y’a pas de si, je sais même pas de quoi ils parlent, je vais pas recommencer avec mes films.

Mourad – ta quoi ?

Je sors de mes pensés et lui sourit difficilement.

Moi – ben rien.

Mourad – t’es sur ?

Moi – ben oui, Hamdoulillah hein.

Mourad – oei oei, si ta hajja tu vien vers moi hein, pas vers la fenetre.

Je le dévisage, il rigole puis demande à Foued de sortir. Ils sortent dehors je crois, ta Bilel qui rentre, il me dévisage, je fais de même.

Bilel – ta quoi toi ?

Moi – c’est toi qui matte.

Bilel – a…

Yemma – commencez pas.

Je me lève et monte dans ma chambre, Samia elle toque et rentre. Elle me saute dessus et éclate en sanglots, je l’a sert dans mes bras et la laisse pleurer.

Moi – ta quoi ?

Samia – tu m’a manquer p*tain !

Je lui souris et lui dit moi aussi, on parle de tout et de rien. Elle me raconte sa vie avec Jawad son fiancé là.

Moi – le mariage c’est pour quand ?

Samia – je sais pas, l’année prochaine je crois c’est mieux. En septembre un truc du genre.

Moi –ah tranquille alors, il manque plus que juin, juillet, aout et septembre. Dans quatres mois quoi.

Samia – oei Insh’Allah.

Moi – ta des nouvelles de Sara cette connasse ? Elle est venue me voir un jour et elle est repartie mdr.

Samia – oei elle m’a raconter mdr, elle est folle elle. Mais ça va de Lyon jusqu’ici c’est pas loin contrairement à Paris.

Moi – oei mdr. Faress ton beau frère il va bien ?

Samia – oei mskine, il fait que de me demander après toi, il me dit « p*tain, c’est qui qui va me choquer avec ces histoires de machoire ? », mddr. Il va bien, il a une meuf je crois, mais reste à vérifier encore mdr.

Moi – mdr laisse-le un peu, je plait ton mari w’Allah.

Samia – ta gueule mdr, en parlant de Sara elle m’a dit de te dire qu’elle va se marier en fin juin avec Samir là, elle me l’a dit de te dire parce que ta pas de phone toi –‘ mdr. Vieille blédarde.

Moi – mdr ta gueule, ah oei elle est toujours avec lui elle ? Elle va bien Leila ?

Samia - …

Moi – je te parle.

Samia – je sais pas, j’ai plus trop de nouvelles d’elle.

Moi – comment ça se fait ?

Samia – elle a disparut.

Moi – comment ça ?

Samia – je sais pas, elle est partie de chez elle.

Moi – comment ça se fait ?

Samia – je sais pas, elle s’est disputer avec Souleyman à cause de toi, enfin j’ai pas trop compris l’histoire, mais maintenant elle habite chez sa cousine Amina là, celle qui a pas de parents là.

Moi – ah..

Samia – t’inquiète Souleyman lui aussi il va bien.

Moi – je m’enfou.

Samia – ça créve les yeux que tu voulais me poser la question, mais fièrté que ta hein.

Moi - --‘ apprend moi à lire dans les yeux parce que moi et les yeux, je vois que la pupille.

Samia – mddr ta gueule. Zahma ta jamais compris quelqu’un ?

Moi – si, mais avec l’expression de son visage, pas les yeux.

Samia – bref, Yanis il te passe le salem.

Moi – en parlant de lui, faut que tu m’informe.

Je lui raconte vite fait ce que j’avais entendue, elle devient pale puis baisse la tête.

Moi – ta quoi ? Samia sa va ?

Elle s’allonge sur mon lit et commence à pleurer sans raison.

Moi – ta quoi p*tain ?

Samia – ils m’ont dit de pas te le dire, mais je m’enfou ! Ma sœur avant les frères.

Moi – de quoi ?

Samia – Souleyman, il est parti voir Baba et lui à dit qu’il voulait te demander la main, Baba il voulait accepter mais Bilel il a pas voulu. Baba il a demander à Bilel pourquoi, Bilel il lui a dit parce qu’il t….

P*tain..

« Princess ? Qui ta dit qu'aimer était facile ? » - Chronique.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant